VIDEO : Le général Denis LETTY parle
http://eisenbei.club.fr/ap5_no31_aout_2004.htm
Bulletin de l'association des personnels de la «5 » Base aérienne 115 - 84871 ORANGE Cedex Téléphone : 04.90.11.57.49 - Fax : 04.90.11.57.50 New's N° 31 août 2004 |
EDITORIAL |
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QUESTIONNAIRE MILITAIRE SUR LES OVNI
Les OVNI exitent.
Les militaires de l'armée de l'Air française confirment enfin officiellement cela.
Une première mondiale:
Un questionnaire a d'ailleurs était fourni à tous les pilotes de l'Armée de l'Air pour savoir s'ils ont déjà vu un OVNI lors de lors mission de vol.
Le résultat de cette enquête sera fourni au public fin 2008. Une information énorme.
Le Général Denis Letty va même jusqu'à dire que la moins mauvaise ou la meilleure explication est que ces engins sont pilotés par des gens venant de l'extérieur, sous entendu pilotés par des Extraterrestres.
Tout est donné dans ce mini reportage tiré de l'émission "Investigation" de Canal+ de mars 2008.
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Le général Denis LETTY, grand spécialiste des OVNI, adresse ces quelques mots en complément des articles déjà parus. A noter que D. LETTY nous fera une conférence sur les OVNI le 1er octobre. Retenez la Date. TOP
Pierre Colombe m'ayant fait part des articles parus dans les derniers numéros d'AP5, et de l'invitation qui m'était faite de réagir, c'est bien volontiers que je destine ces quelques lignes à l'AP5.
Le cas du RB47 de juillet 1957 rapporté dans le précédent numéro est très intéressant, il figure d'ailleurs dans le rapport Condon comme non identifié. Mais ce n'est qu'un des quelques 1300 cas aéronautiques recensés depuis 1916 dans le monde entier dont certains cas en France.
Je cite pour mémoire les pilotes de l'armée de l'air confrontés à ce phénomène sur Mirage IV en 1977, sur T33 en 1976, sur MIIIC en 1975, sur Vampire en 1951, sur MIIIE et N262 en 1988 et qui ont bien voulu témoigner.
A ces faits aéronautiques s'ajoutent les observations faites du sol, là encore je pense qu'il est intéressant de rappeler les cas français les mieux étudiés : Cussac en 1967, Valensole en 1968, Dijon en 1979, Trans en Provence 1981, Nancy en 1982 :
Cussac et Valensole mettent en présence d'êtres de petite taille dont l'un braquera une sorte de torche lumineuse sur le témoin qui restera conscient mais paralysé jusqu'à l'envol de l'engin.
Le cas de Dijon est rapporté par un pilote de MIII qui voit à moins de 250m de chez lui une " soucoupe " en stationnaire devant une rangée d'arbres (ce qui a permis de mesurer avec précision la distance d'observation).
Dans les 2 derniers cas les engins observés sont de dimensions réduites. Le cas de Nancy est particulier : l'engin, de forme ovoïde de 1m de diamètre et de 80cm de haut, est resté 20 minutes en stationnaire au-dessus d'un jardinet de quelques m² devant le propriétaire médusé qui, chercheur en biologie cellulaire, a eu le réflexe de mesurer l'engin sous tous les angles sans toutefois oser le toucher ; il est dommage que son appareil photo n'ait pas fonctionné.
Je termine avec celui de Trans en Provence qui est un des cas les mieux étudiés au monde car à cette époque les procédures établies par le GEPAN étaient en place. Le 8 janvier 1981 vers 17 heures un homme qui construit un petit abri sur une restanque observe la descente puis l'atterrissage brutal d'un objet métallique de forme ovoïde, cet objet restera quelques brefs instants sur le terre-plein en n'émettant aucun bruit puis décollera et disparaîtra à une vitesse très élevée. Les traces au sol, les empreintes mécaniques et les analyses de végétaux permettent d'affirmer qu'un objet pondéreux s'est posé et a causé des profondes perturbations sur la végétation environnante vraisemblablement soumise à un puissant champ électromagnétique pulsé dans la gamme des hautes fréquences (micro-ondes).
Compte tenu du nombre de témoignages authentifiés, on peut aujourd'hui affirmer que des objets volants non identifiés sillonnent parfois le ciel et qu'en conséquence nous avons le devoir de les étudier sérieusement ; c'est d'ailleurs l'avis que le général commandant à l'époque la Défense aérienne a exprimé dans la revue Armées d'Aujourd'hui du mois de juillet 2002.
Que sont-ils, voire qui sont-ils ? Que doit-on faire face à ces phénomènes ?
Je ne pourrais mieux faire que de reprendre ce qu'écrit le professeur Meessen de la faculté de Louvain dans la conclusion de sa critique du livre récent de Monsieur Claude Poher, " Gravitation, les Universons énergie du futur ", proposant un axe de recherche pour les vols interstellaires inaccessibles à l'homme avec la physique d'aujourd'hui.
" … D'autres scientifiques sont également invités à prendre position, mais il importe de constater que Claude Poher a quand même soulevé un problème important. Il s'agit du problème des Ovni et même plus spécifiquement du problème des voyages interstellaires. Il nous semble utile de saisir cette occasion pour attirer l'attention des scientifiques sur ce type de questions, en essayant de dégager des pistes de recherche et des perspectives d'avenir.
A l'échelle mondiale, on a accumulé au moins de l'ordre de 100.000 observations d'objets volants non identifiés. Ce qui en résulte est fort cohérent, du moment qu'on admet qu'il pourrait s'agir de manifestations d'une technologie extraterrestre et donc de civilisations beaucoup plus avancées que la nôtre. Ceci n'est pas prouvé mais probable. Il y a toutefois une objection qui semble capitale aux yeux de certains. Au lieu de partir des faits observés, ils affirment en effet que des voyages interstellaires sont inconcevables ou du moins hautement improbables. C'est exact quand nous nous basons sur nos connaissances scientifiques et techniques actuelles, mais que savons-nous de ce qui est éventuellement possible pour des civilisations qui ont pu émerger dans d'autres systèmes planétaires ? L'évolution cosmologique est telle que ces civilisations pourraient avoir des millions d'années d'avance sur nous. Il est donc plus réaliste d'admettre que nous ne sommes pas en mesure de juger de leurs capacités techniques et scientifiques. "
Je cite d'autant plus volontiers cette conclusion qu'elle va dans le sens des recommandations que l'association COMETA, que je préside, a formulées dans son rapport " Les ovni et la défense " paru en 1999. Nous demandions en effet :
" (que soit) créer au plus haut niveau de l'Etat une cellule en liaison avec le SEPRA (CNES) chargée :
- d'élaborer toute hypothèse prospective,
- de promouvoir des actions scientifiques et techniques,
- de participer à la mise au point d'accords de coopération avec d'autres pays. "
Il y a d'ailleurs tout lieu de penser que les USA, entre autres, ne sont pas restés inactifs si l'on se réfère aux travaux sur les futurs véhicules de l'espace (2025- 2030), conduits depuis plusieurs années par l'équipe de Leyke Myrabo du Rensselaer Polytecnic Institute de Troy (Etat de New York).
Il vient dès lors à l'esprit que ce que l'homme sera capable de réaliser dans 20 ou 30 ans, d'autres que nous, ayant une avance technologique et scientifique ne serait-ce que de 100 ans, ont pu le faire ; s'ils ont des millions d'années d'avance n'en parlons pas.
Pourquoi alors ce silence ou plutôt cette chape de plomb sur ces phénomènes que l'on ne peut plus nier ?
Les choses bougent malgré tout, l'avis précité du général commandant la D.A. en est la preuve. De plus en plus de personnes acceptent l'existence des ovni même si certains continuent à faire état de leur " expérience aéronautique" pour nier l'évidence ; sans doute par ce qu'eux-mêmes n'ont pas été témoins de ces phénomènes ou qu'ils n'ont pas pris conscience que la Terre n'est qu'une petite planète parmi les milliards de planètes en orbite autour des quelque 200 milliards d'étoiles de notre galaxie… qui n'est d'ailleurs qu'une galaxie moyenne parmi les centaines de milliards d'autres.
Denis LETTY