L'atterrissage d'OVNI de Forbach (1954) en France
L'atterrissage de Forbach (1954)
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La "soucoupe" était sur la route
FORBACH (de notre correspondant) - Jeudi soir [7 Octobre 1954], vers 19 h 20, revenant de sa tournée de distribution, le chauffeur de la firme Coca-Cola, M. Bou Charles, 30 ans, demeurant à Stiring-Wendel, 21 rue Nationale, se trouvait, après la traversée de Rosbruck sur la Route Nationale n° 3, à l'entrée de Morsbach lorsque tout à coup, son attention fut attirée par un engin se trouvant sur cette route. M. Bou, étonné, crut à un accident de la circulation et stoppa son camion à quelques mètres de l'engin. C'est alors qu'il se rendit compte, en descendant de son véhicule, qu'il s'agissait d'un engin circulaire d'un diamètre de 9 m et d'une hauteur de 4 m environ (plus de 2 fois la taille d'un homme normal), qui était éclairé par plusieurs faisceaux de lumières dirigés vers la terre. S'étant approché et se trouvant à quelques mètres de cet engin bizarre. M. Bou vit tout à coup l'engin décoller à la verticale et s'élever à 10 m environ en l'air, pour se propulser ensuite en direction de Morsbach. Toute cette scène se passait dans l'espace de quelques secondes devant le chauffeur ahuri. M. Bou, encore sous le coup de l'émotion, reprit sa route et se rendit chez son patron, à qui il décrivit la scène, et alla en référer à la gendarmerie. Le capitaine Bohler, averti, se rendit avec M. Bou sur les lieux, mais ne put déceler aucune trace sur la chaussée. Il interrogea longuement le chauffeur, qui lui déclara que la soucoupe avait la forme d'une assiette géante, de couleur bleue. Il n'a pas vue d'ouverture ni d'occupant. L'engin en décollant, ne fit aucun bruit, pas de déplacement d'air et ne changeant pas de couleur. Au moment de l'apparition il pleuvait et M. Bou déclare que lorsque l'appareil s'est élevé et disparu il avait une vitesse excessive n'étant même pas à comparer avec un avion à réaction. Le plus étonnant de l'affaire et que M. Bou, visitant un client quelques instants avant, à Merlebach, déclarait à celui-ci qu'il ne croyait pas à ces histoires de soucoupes volantes. Il fut d'autant plus effrayé en voyant cet engin.
Le chauffeur que nous avons vu au cours de son interrogatoire par le capitaine Bohler, paraît être de bonne foi et était encore hier matin sous le coup d'une émotion visible [Le Lorrain, Nancy, Samedi 9-Dimanche 10 Octobre 1954, p. 7 < Sider 1997].
En 1989, Jean Sider écrit au Ministère de la Défense ainsi qu'à la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale qui lui répondront que le dossier est classifié pour 60 ans.
http://www.lejdu.com/archives/2005/octobre/science-censuree/
J'ai également noté à partir de divers courriers obtenus avec la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale et notre Ministère de la Défense, que la terminologie Objet Volant Non Identifié et l'acronyme OVNI figurent en bonne place dans le vocabulaire de ces organismes. De plus, pour obtenir des documents émanant des Gendarmeries sur l'observation de ces phénomènes, il faut attendre soixante ans ! (Lettres de la DGGN, Sous-Direction Organisation Emploi, n°17712, du 11 juillet 1989, et du Ministère de la Défense, Cabinet du Ministre, n° 002548, du 25 octobre 1989, à l'auteur).
D'autre part, j'avais demandé au Centre des Archives de la DGGN, la copie d'un procès-verbal concernant l'atterrissage d'un ovni près de Forbach le 6 octobre 1954. Or cet organisme m'a fait savoir que les PV de cette gendarmerie avaient été détruits (Lettre du Centre Administratif de la Gendarmerie Nationale, Dépôt d'Archives, Le Blanc, n°1333/2 EM.ARCH, du 6 juin 1989).
Ce qui m'avait incité à manifester ma surprise à la DGGN devant ce que je considérais comme une contradiction soit : une destruction de PV avant les soixante ans permettant son obtention. La DGGN dans le courrier du 11 juillet 1989 cité ci-dessus, m'a répondu qu'il n'y avait pas contradiction, mais qu'il existait un régime différent de conservation des archives selon leur nature (procès-verbaux, rapports, registres...).
Pourtant j'ai bien demandé un procès-verbal et on m'a assuré que ce procès-verbal était détruit, alors que pour obtenir ce type de document une loi ne permet pas sa délivrance avant soixante ans. Il n'a jamais été question d'une autre terminologie dans ma demande ni dans les deux réponses obtenues. Comprenne qui pourra...
Enquête et conclusions |
Bien sur même si le témoignage est intéressant, il reste quand même succinct. L?objet est d?un type peu courant mais déjà vu, la trace de l?aveu du témoin paraissant fort étrange ne peut pas être liée au phénomène OVNI car aucun objet n?a été vu. |
http://ufologie.net/1954/7oct1954morsbachf.htm
[Ref. 711] JEAN SIDER:
L'ufologue français Jean Sider a appris les informations sur ce cas dans le journal Le Lorrain, de Metz, du 9-10 octobre, en page 7, dont il rédigé le résumé suivant:
Le 6 octobre 1954 à 19:20 sur la Route Nationale 3 entre Rosbruck et Morsback en moselle, Charles Bou, 30 ans, chauffeur de la firme Coca-Cola de Forbach, habitant à Stiring-Wendel, rentrait en camion d'une tournée de livraisons, sous la pluie, quand son attention a été soudainement attirée par un engin se trouvant sur la route.
Mr. Bou a été étonné, a pensé à un accident et a arrêté son véhicule à quelques mètres de l'objet. En descendant de son camion, il vit qu'il s'agissait d'un engin lenticulaire d'un diamètre de neuf mètres et d'une hauteur de quatre mètres environ, plus de deux fois la taille d'un homme normal, qui était éclairé par plusieurs faisceaux de lumière dirigés vers le sol. L'engin était en forme d'assiette géante de couleur bleue, n'a jamais changé de couleur, n'avait pas d'ouverture, aucun n'occupant n'étant vu.
Il s'est approché à quelques mètres de l'objet, et l'a alors vu s'élever soudainement à environ dix mètres de hauteur, pour se propulser ensuite vers Morsbach. La scène a duré quelques secondes, il n'y a eu aucun bruit au sol ni lors du décollage. L'appareil est parti à une vitesse si grande "qu'elle ne se compare même pas avec celle d'un avion à réaction."
Mr. Bou a repris sa route très ému et, parvenu au dépôt de son employeur, a raconté l'incident à son patron qui l'a dirigé sur la gendarmerie de Forbach.
Le capitaine Bohler s'est rendu sur les lieux avec Mr. Bou, mais aucune trace n'a pu être trouvée sur la chaussée.
Le témoin ne croyait pas aux soucoupes volantes avant cette affaire et a paru de bonne foi au journaliste venu l'interroger.
Jean Sider, des décennies plus tard, en 1989, a tenté d'obtenir les documents ou rapports de gendarmerie relatifs à cette affaire. Tandis que lorsdqu'il demandait des documents relatif à des chutes de satellite, ils lui étaient refusés par le gouvernement français au motif qu'il faut attendre 30 ans avant que le secret ne soit levé, pour cette affaire de soucoupe volante, le gouvernement français lui a refusé tout document relatif à l'incident en vertu des règles sur le secret militaire, qui en ce qui concerne les OVNIS, rendent les documents secrets pour 60 ans, sans aucune exception.
Jean Sider a publié les copies de ces courriers de refus dans son livre "Ultra top secret - Ces OVNIS qui font peur" (voir Ref. 712.)
EXPLICATIONS:
Non encore recherchée.
MOTS CLES:
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Morsbach, Moselle, Forbach, Charles Bou, chauffeur, camion, route, engin, atterrissage, circulaire, lumières, faisceaux, rayons, durée, gendarmerie, Bohler, soucoupe
REFERENCES:
[-] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
- [1005] Article dans le journal régional "Le Lorrain", Nancy, page 7, 9 octobre 1954.
- [711] "Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste", livre par Jean Sider, Ramuel éditeur, pp 97-98, 1997.
- [712] "Ultra top secret - Ces OVNIS qui font peur", livre par Jean Sider, Axis Mundo éditeur, pp 429-431, 1990.
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