*** Avertissement :
la plupart de ces récits ne sont pas vérifiables et non vérifiés.
- Table des Matières (Dossier en 4 partie) :
1 - Les objets fossiles impossibles : (cette page)
2 - :[ O.V.N.I ] & l’Histoire .II (PREHISTOIRE)
3 - :[ O.V.N.I ] & l’Histoire .III (ANTIQUITE)
4 - :[ O.V.N.I ] & l’Histoire .IV (TEMPS MODERNES)
Les traces de présences extra-terrestres dans l’art au travers des âges
On a retrouvé des dessins à des époques très reculées dans toutes les parties du monde, et représentant de manière non ambiguë des êtres et des engins que nous pourrons sans problème qualifier d’extra-terrestres.
Il ne faut pas oublier que les artistes préhistoriques dessinaient ce qu’ils avaient l’habitude d’observer :
peut-on en conclure qu’à une époque où la Terre était complètement sous-développée, l’activité extra-terrestre se faisait au grand jour ? En effet, supposer que des extra-terrestres nous ont découvert subitement, il y a seulement 50 ans, c’est tout bonnement manquer de bon sens, étant donné que les civilisations extra-terrestres n’ont aucune raison de s’être développées en même temps que nous ni toutes à la même vitesse.
Statistiquement, ils devraient nous avoir découverts il y a des dizaines de milliers d’années, voire des millions d’années, et d’autres devaient continuer de nous découvrir au cours des milliers d’années qui s’écoulèrent et continueront à nous découvrir.
Il existe aussi des récits du moyen âge décrivant des boules lumineuses, des soucoupes et autres Ovnis, bien sûr en termes du moyen âge (mais à nouveau sans ambiguïté), ainsi que quelques gravures accompagnant ces récits. Certaines peintures sont aussi très éloquentes ! Je crois que tout ceci est cohérent : les extra-terrestres nous visitent depuis des centaines de milliers d’années et continuent à le faire ; et manifestement, ils ne sont pas belliqueux, sans quoi nous ne serions plus là depuis longtemps pour nous poser cette question.
A l’époque où l’ancien testament a été écrit, on observait des "colonnes de nuées et de feu", et récemment, un témoin d’Ovni a vu le phénomène sous forme de colonne de feu. Il y a quelques années, un témoin a observé un Ovni de forme très bizarre qui n’avait pas été répertoriée et dont la forme particulière figurait très exactement parmi des gravures rupestres anciennes. Ceux qui pensent que les "soucoupes volantes" sont sorties droit de l’imagination de nos contemporains devraient s’intéresser un peu plus à ce type d’information.
Quant à ceux qui mettent en avant la très grande diversité des formes d’Ovnis pour en discréditer la réalité, ils feraient bien d’y repenser à deux fois. A mon avis, la technologie de déplacement des civilisations extra-terrestres est au point depuis des temps imémorables, et ils n’en changent plus les formes, mais par contre il existe tant de civilisations nous visitant, et tant de "modèles" d’engins volant par civilisation, que nous ne sommes pas près d’arriver au bout de nos peines (par analogie, il suffit de considérer tous les modèles de voiture existant sur Terre pour essayer de se donner une idée, et de multiplier par le nombre de civilisations extra-terrestres pouvant nous visiter).
Un autre élément à ajouter est que certains Ovnis semblent pouvoir prendre la forme extérieure qu’ils veulent (peut-être des projections holographiques ?) si ils le désirent, comme ces Ovnis qui essaient d’imiter les Sky-Tracers (la revue "Lumières dans la Nuit" en a beaucoup parlé). Jacques Vallée a lui aussi beaucoup étudié la question dans ses livres, et il a pu trouver trace d’"Ovnis" prenant la forme de dirigeables au 19ème siècle.
1 - Les objets fossiles impossibles.
Les objets sortis des entrailles de la terre qui sont exposés dans les musées sont ceux qui s’inscrivent parfaitement dans la lignée orthodoxe de la science officielle. Ceux qui vont suivre sont ces "objets hors contexte", appelés OOPs ou OOPARTs ( Out-Of-Place ARTifacts ) outre Atlantique, qui viennent remettre en cause cette belle architecture simpliste.
Malheureusement, beaucoup de ces objets ont disparu ( ou bien on les a laissés disparaître quand ils étaient trop gênants ), et pour la plupart il ne nous reste que leur description lors de leur découverte.
Peuvent-elles être considérées comme des canulars ? On remarquera plusieurs éléments :
Ces gens tout à fait respectables n’ont gagné que le ridicule, en réponse à leur honnêteté et leur courage d’avoir rendu publique leur trouvaille.
Ces découvertes fortuites se sont produites la plupart du temps devant témoins.
Enfin, on a du mal à imaginer que des plaisantins se soient donnés la peine d’incruster des objets dans la roche, ( il faudrait aussi qu’ils nous disent comment ils auraient procédé ), sans jamais se dévoiler, ( où serait alors le plaisir de la farce ? ), juste pour mettre dans l’embarras les scientifiques du XXe siècle !
Voici donc quelques-unes de ces découvertes impossibles :
XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d’une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres. Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir. La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans.
Entre 1786 et 1788, près d’Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans une carrière de calcaire, dans laquelle les couches de roche alternent avec des strates de sable et d’argile. A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche de sable, des ouvriers trouvèrent tout d’abord des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ; plus bas, des pièces métalliques faisant penser à des pièces de monnaie, des manches d’outils en bois pétrifiés, une grande planche de bois également pétrifiée. Et tout cela daterait de 300 millions d’années, si l’on admet que les théories classiques de la géologie, quant à la formation des roches d’une part et du délai de pétrification d’autre part, sont exactes.
1844, en Ecosse, entre les rivières Tweed et Rutherford, des ouvriers trouvèrent un fil d’or incrusté dans la roche à 2,5 mètres de profondeur. Il fut exposé au siège du journal local, le Kelso Chronicle.
autre clou en fer a été retrouvé, au milieu du XIXe siècle, en 1845, dans un bloc de pierre de la carrière écossaise de Kingoodie, sa tête mesurait 2,5 centimètres. Elle était en contact avec une couche de gravier et légèrement corrodée, alors que le reste du clou était prisonnier de la roche.
à Dorchester ( Massachusetts ), au cours d’une opération de minage, les deux parties d’un vase ont été arrachées de la roche dynamitée. Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d’argent semble-t-il, et finement décoré ; âge estimé, 100 000 ans ( voir photo en haut de page ).
Il a, à l’époque, voyagé de musée en musée, puis a disparu…
même année, dans le même Etat, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de quartz aurifère qu’il avait ramené de Californie.
A l’intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit avec une tête parfaitement formée.
La pierre est âgée d’un million d’années.
Toujours en 1851, dans le Comté de Whiteside ( Illinois ), deux objets en cuivre ont été remontés d’une profondeur de 36 mètres lors d’un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d’environ 150 000 ans.
1865, un morceau de feldspath, retiré d’une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes oxydés d’une vis effilée. La pierre est âgée de 21 millions d’années.
En août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria ( Illinois ), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravats du puits artésien qu’ils étaient en train de forer.
Professeur A. Winchell étudia l’objet composé d’un alliage de cuivre non identifié à l’époque. Malgré la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d’une couronne, semblait avoir été gravé à l’acide. Sur l’autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était accompagné d’un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d’une écriture inconnue se laissaient deviner.
Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100 000 à 150 000 ans.
En automne 1885, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60 millions d’années ) dans une mine en Allemagne.
Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D’après les publications faites en 1886 sur cet objet, il est interprété tout d’abord comme une météorite fossile, et semble avoir été "retravaillé, usiné" !…
L’objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur.
Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle.
En 1910, il disparaît de l’inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé.
On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d’Oberosterreichisehes de Linz ( Autriche ), où est également conservé le moulage.
Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche. Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et 1986, concluent définitivement que l’objet en fonte, n’est pas une météorite et a été coulé dans un moule.
Cet objet a-t-il été réellement trouvé dans du charbon ou bien est-il issu d’une fonderie de l’époque ?
1891, à Morrisonville en Illinois, en cassant un gros bloc de charbon, madame S.W. Culp trouva une petite chaîne en or, d’environ 25 centimètres de longueur, dont les extrémités étaient encore prisonnières dans deux morceaux séparés.
1912, à Thomas ( Oklahoma ), un ouvrier, alimentant le four d’une centrale avec du charbon, en brisa un gros morceau qui contenait un pot en fer.
1937, en Pennsylvanie, en nettoyant les cendres du poêle où elle avait fait brûler du charbon, une femme trouva une grosse cuillère en céramique .
L’artefact de Coso
En 1961, trois copropriétaires d’un magasin de minéraux, à Olancha en Californie, en prospection dans les monts Coso, ramenèrent une géode surprenante.
- La gangue extérieure de cette géode est composée d’argile durcie, de cailloux, de fragments de coquillages fossiles et de deux objets, ressemblant à un clou et à une rondelle.
- A l’intérieur, un cylindre en céramique est pris dans un manchon hexagonal en bois pétrifié, avec des fragments de cuivre entre les deux. Au milieu du cylindre est insérée une tige métallique de 2 millimètres de diamètre.
- Cet objet , qui serait âgé entre 250 000 et 500 000 ans, est resté trois mois exposé à Independance, au musée de l’Eastern California. En 1969 il fut vendu pour 25 000 dollars.
Des photos aux rayons X ont été prises.
En Afrique du Sud, au Transvaal Occidental, près d’Ottosdal, les mineurs ont remonté depuis 30 ans, près de 200 objets métalliques sphéroïdaux.
Les professeurs de géologie, J.R. Mac Iver ( de l’université de Witwaterstand à Johannesburg ) et A. Bisshoff ( de l’université de Potsshefstroom ) ont étudié ces globes aplatis d’un diamètre moyen de 2,5 à 10 centimètres.
Ces sphéroïdes sont de couleur bleu acier avec des reflets rouges et tachetés de petits filaments blancs. Ils sont en acier au nickel, que l’on ne trouve pas à l’état naturel, ce ne sont donc pas des météorites !
Certains, accidentellement cassés, sont remplis d’un matériau spongieux qui se transforme en poussière au contact de l’air.
Ces globes sont extraits d’une couche rocheuse datée géologiquement de 2,8 à 3 milliards d’années ( confirmé à l’aide de techniques de datation isotopiques ) !
Ils sont exposés au musée sud-africain de Klerksdorp, où le conservateur R. Marx a remarqué que mystérieusement, alors qu’ils sont enfermés dans leur vitrine, ils tournent lentement sur leur axe ( ?).
Glozel, petit hameau de la montagne Bourbonnaise, est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l’Allier à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy.
Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon ( rebaptisé plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de 17 ans, Emile, et son grand-père, Claude Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l’une des plus violentes controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause ce que l’on savait sur les origines de l’écriture.
En défrichant un morceau de terrain, l’une des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l’intérieur duquel Emile trouve des ossements humains. Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers objets, des urnes, des vases, des haches et des tablettes gravées. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre, déception, le trou est rebouché et l’avoine est semée.
Au cours de l’été, la Société d’Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des échantillons et les envoie au Dr Capitan des Beaux-Arts. A l’époque, le Dr Capitan, l’abbé Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le triumvirat incontournable de la préhistoire.
13 mois après avoir reçu les premières pièces, le Dr Capitan se rend sur place. "Vous avez là un gisement merveilleux..", il demande au Dr Morlet un rapport détaillé.
Les grands pontes de la préhistoire, tout d’abord très favorables à Glozel, pris de cours par cette fabuleuse découverte, se retrouvant "hors jeu", prennent alors position contre Glozel.D’autant plus qu’à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement que l’écriture est née en Phénicie, 1 600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de Byblos, recouvert d’inscriptions ).Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées à 5 ou 6 000 ans av. J.C..
Les deux découvertes sont contradictoires et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes de science.
Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d’escroquerie, le juge d’instruction va le cuisiner pendant les 63 heures de l’interrogatoire. On veut qu’il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la préhistoire, a sa conscience pour lui, il n’a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.
Finalement, deux ans plus tard, l’inculpation finit par un non-lieu. Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets, jusqu’en 1941 où la loi Carcopino est votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français sans l’autorisation de l’Etat. Ceci met fin au fouilles de Glozel.
En 1972, Henri François, ingénieur au Commissariat à l’Energie Atomique, en visite à Glozel, fait des prélèvements et les envoie à 3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode de datation au carbone 14 pour les os gravés et la thermoluminescence pour les céramiques et la terre cuite. Pour les trois laboratoires indépendants ,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien !Henri François écrira à Emile Fradin :"…Seuls quelques attardés mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les regroupements des mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaits et indiscutables…"
Les résultats sont les suivants :
- les ossements ont entre 15 000 et 17 000 ans,
- les céramiques ont 5 000 ans,
- les tablettes gravées ont 2 500 ans.
En 1974, une équipe du Centre de Recherche Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre, montrant qu’il existerait encore des objets enfouis.
En 1975, après un congrès d’archéométrie tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l’authenticité du site. L’Etat reconnaît l’authenticité de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.
De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ des morts, ensuite, aucun résultat n’est publié ( ?).
Voila une longue histoire laissant perplexe, d’un coté des institutions qui ont peur de chambouler la société par des découvertes fantastiques. De l’autres des scientifiques conservateurs qui n’ont à l’esprit que le mot renommé et réputation. L’affaire Glozel met en jeu des intérêts, à l’instar de nos piles, nos ampoules…. se dessine une curieux mélange d’étrangeté, de vérité mais aussi de faire en sorte de ne pas tout dévoiler ; continuons notre prospections…
En évoquant des machines plutôt relatifs à notre 20e siècle, regardons du coté de Palenque, les images sont significatives à l’instar de "l’homme dans le serpent" trouvée sur le site Olmèque de la venta.
En effet la dalle recouvrant le sarcophage montre de curieuses gravures. Elle serait datée par les archéologues serait de 683 après J.C. et serait la tombe d’un souverain de l’époque, parfois aussi représenté avec Baalam son fils. Les dessins sont les répliques exactes que sont se trouvant sur la dalle
L’explication traditionnelle de ce dessin de dalle est la montée du seigneur Pakal dans le royaume des morts, assis en position recroquevillée sur un arbre. Or Pakal est assis sur une sorte de siège sous lequel s’échappent des flammes, signes renforcés par de la fumée stylisée sur les côtés.
Pakal semble être assis à l’intérieur d’une forme et non pas posé sur une branche.
Il semble tenir des manettes, notamment par la main droite, et regarde devant lui vers le seigneur du ciel ( peut-être s’agit-il du seigneur Kukulkan, qui représenterait également un point de la constellation du serpent, point vernal de l’ époque). Ce seigneur du ciel est représenté en habit à plumes traditionnel.
Certains rejetteront l’idée que Pakal pouvait être le conducteur d’un vaisseau spatial.
Sur un autre dessin de la dalle, Pakal semble recevoir du personnage de droite l’objet se trouvant au milieu. Comme pour les représentations Égyptiennes, le personnage de droite a les bras tendus en signe d’offrandes. Etrangement, Pakal est monté sur un objet qui le rehausse et le met à la même hauteur que le personnage de droite.
… tandis que les archéologues essaient de nous expliquer qu’il faut regarder la dalle verticalement et que cela n’est qu’une synthèse des concepts fondamentaux de la religion des Mayas et que Pacal est assis sur "l’Arbre de Vie"…
Toujours en parlant d’engins volants et non identifiés, rendons nous en inde. Dans la littérature Védique de l’Inde ancienne, nous trouvons des descriptions de machines volantes qui s’appellent généralement les Vimanas. Les Vimanas, dit le texte Védique, sont des vaisseaux qui volent à l’aide "d’ailes d’oiseaux", et sont pilotés d’une façon "mystérieuse". Ces vaisseaux ne sont généralement pas faits par les êtres humains mais par les dieux. Ces machines sont décrites principalement dans les travaux médiévaux et séculaires Sanskrit traitant de l’architecture, des automates, de moteurs utilisés lors de sièges militaires, et d’autres adaptations mécaniques. Ces appareillages sont décrits dans les travaux antiques tels que le Rig Véda, le Mahabharata, le Ramayana, et le Puranas,
Les Vimanas peuvent avoir une contenance d’un homme à une trentaine . D’après les descriptions, une sorte de tableau de bord semi circulaire permet de manœuvrer le vaisseau avec la "rapidité de l’éclair". Parfois utilisés pour des mouvements de troupes, nous les retrouvons aussi sous forme de bombardiers lâchant des bombes dont les explosions ressemblent à nos champignons atomiques …. Avec de telles descriptions, comment ne pas penser à nos actuels avions militaires ?
Voici quelques lignes extraites des nombreux textes anciens :
" une fois, tandis que le Roi Citaketu voyageait dans l’espace extra-atmosphérique sur un appareil resplendissant donné par seigneur Vishnu, il vu le seigneur Siva… "
" les flèches libérées par le seigneur Siva apparurent comme les faisceaux ardents émanant du globe du soleil et couvrirent les trois avions résidentiels, qui pourraient alors plus n’être vus. " - Srimad Bhagasvatam, Sixième Canto, Partie 3
Quelquefois, les Vimanas sont décrits comme des cités volantes, ce qui explique le terme "d’avions résidentiels" dans le texte.
Les Vedas, poésies hindoues antiques, passent pour être le plus vieux de tous les textes indiens. Elles ont été amenées en Inde par les peuplades Aryennes dont nous ne connaissons que peu de choses. Elles décrivent des Vimanas de diverses formes et tailles :
" l’ ahnihotra-vimana avec deux moteurs, l’ éléphant-vimana avec plus de moteurs", et d’autres types baptisés du nom de "poissons pécheurs, d’Ibis et d’autres animaux".
En voici un court extrait :
" le vaisseau occupé par Salva était de ceux très mystérieux. Ils étaient si extraordinaires que parfois beaucoup de vaissesaux semblaient être dans le ciel, et parfois il n’y en avait apparemment aucun. Parfois le vaisseau était visible et parfois non visible, les guerriers de la dynastie de Yadu furent embarrassés au sujet du vaisseau particulier. Parfois ils voyaient le vaisseau sur la terre, parfois volant dans le ciel, se reposant parfois sur la crête d’une colline et flottant parfois sur l’eau. Le vaisseau merveilleux a volé dans le ciel comme un tison de tourbillonnant - il n’était pas régulier même pendant un moment. " - Bhaktivedanta, Swami Prabhupada, Krsna .
D’autres armes sont aussi mentionnées. Dans le passage de la montée des tensions il est dit :
"Le fils de Bharadvaja dit alors au grand guerrier :
"Prends cette arme suprême et irrésistible nommée Brahmasiras que je te donne avec le moyen de la lancer et de la faire revenir à soi. Mais en aucun cas tu ne devras l’employer contre des humains car elle consumerait l’univers si elle était lancée sur quelqu’un qui n’a pas suffisamment de tejas ( pouvoirs)".
Autant de documents dessinent une vérité qui semble nous échapper. Mais alors que comprendre, ou sont ses machines, les réelles preuves comme on dit. La réponse serait que cette civilisation date de très longtemps et donc les preuves que l’on souhaiteraient ont disparu. Soit elles seront découvertes ou l’ont déjà étées, mais apparemment on n’est pas au courant.
Faudra-t-il encore s’en remettre au Dieu Hasard, qui aurait placé tous ces objets pour éprouver la foi des scientifiques du XXe siècle en sa toute puissance ?
Pour la plupart des scientifiques, le simple fait d’étudier un de ces artefacts vaut caution pour des théories hérétiques.
Ils préfèrent donc la politique de l’autruche et se disent qu’il leur suffira simplement de discréditer la chose pour qu’elle disparaisse, en la balayant d’un simple sourire sarcastique.
Il est très regrettable que les scientifiques restent figés sur leur position actuelle.
En effet, certaines personnes connaissant ces artefacts commencent à se détourner de la science officielle et prônent un retour au créationnisme biblique, dont l’enseignement a été ré-autorisé dans certains états américains.
De la même manière, beaucoup de gens croyant aux OVNIs se tournent vers les sectes.
Plutôt qu’un retour en arrière de plus d’un siècle, ne serait-il pas préférable, quitte à réécrire l’Histoire, de le faire un peu plus intelligemment, avec un point de vue moins égocentrique ?
Est-ce si dérangeant de penser que nous ne sommes peut-être pas les premiers ? … Si nous trouvons des objets fabriqués, nous devrions trouver également des traces d’hominidés…