LES MUTILATIONS DE BETAILS : 10 000 animaux mutilés atrocement et abattus aux USA : Qui est le coupable ? Les OVNI ou les militaires américains ?

LES MUTILATIONS DE BETAILS : 10 000 animaux mutilés atrocement et abattus aux USA : Qui est le coupable ? Les OVNI ou les militaires américains ?

La plus part des mutilations de bétail, en général des bovidés, ont été faites aux USA. 10 000 bovidés environ ont été mutilés selon des procédés spéciaux.

 

Qui est l'auteur du crime ? Cette vidéo est une enquête passionnante :

http://www.dailymotion.com/relevance/search/dossiers+ovnis+12/video/xvef1_dossier-ovnis-612

 

 

LES MUTILATIONS DE BETAILS

http://secretebase.free.fr/ovni/mutilations/mutilations.htm


Des têtes de bétail retrouvées mortes et mutilées principalement au états unis.

Depuis le premier cas signalé en 1967,10000 à 20000 têtes de bétail ont été retrouvées mortes et mutilées principalement au états unis. Les animaux gisent dans leurs milieux naturels : (champs, prés, prairies). Il semble que personne ne c'est aperçu de la tuerie. Pas de traces aux alentours. Certains sont entièrement vidés de leur sang et de tout fluide vital .Les organes vitaux manquent, les os sont brisés à plusieurs endroits. Dans cette affaire l'insolite règne. Après analyse (des cadavres, des alentours et des témoignages) ont constate quelques faits étranges:

La langue et Les organes sexuels ont été prélevé de façon chirurgicale avec précision.
Le rectum laisse place à un trou béant.
Il manque parfois un ou deux yeux
Certaines plaies sont cautérisées
Le scalpel et le laser semblent avoir été utilisés
La multitude d'os cassés fait penser à une chute.
Des témoins ont vu des hélicoptères noirs non immatriculés voler au-dessus des lieux
On a retrouvé certaines traces parallèles ressemblant étrangement aux sabots d'hélicoptère.
Il n'y a pas de traces de morsures ce qui exclut la thèse de l'animal prédateur
Quelques observations font états de la présence d'ovni avant la découverte des cadavres.
Un niveau anormalement élevé de radiation a été détecté sur les lieux et cela avant que quiconque ne touche l'animal.
Les animaux sont parfois marqués sur le dos par des taches visibles en lumière ultraviolette pour être repérables de nuit par les intervenants.
Un opérateur au sol effectue rapidement les prélèvements d'organes après découpage avec un instrument tranchant (voir fig. 6-a), un scalpel classique, au laser ou à ultrasons. La bête peut être vidée de son sang par une ponction. L'opérateur ne laisse pas de traces de pas ou de véhicule au sol, utilisant un équipement approprié.


Il semblerait, d'après les affirmations de la police et vétérinaires que les mutilations ont été réalisées avec une précision chirurgicale, ce qui exclu l'utilisation d'un couteau. Le laser pourrait être une explication mais difficilement utilisable dans un champ, sans que personne ne le remarque. Une vache possède de onze à quinze litres de sang.

Pour la vider entièrement il faudrait couper le cou de la bête, la suspendre tête en bas, et attendre qu'elle se vide, sachant que le cœur doit continuer de battre. Le fait que de nombreux os soient brisés sur tout le corps fait penser à une chute de plusieurs mètres. Certains pensent que ces agissements seraient le fait de sectes aux cultes plus ou moins sataniques. Cela peut être aussi des expériences de laboratoires privés ou les militaires et leurs armes chimiques.


La thèse extraterrestre paraît assez improbable parce que tous les cas se déroulent sur le continent américain, il n'y aurait pas de fait similaire en Europe, ni ailleur dans le monde. Un physicien obtient une explication de certains indiens : "le peuple des étoiles sait ce qu'il fait, il faut les laisser faire". Aujourd'hui encore, les cas de mutilations existent toujours, la police classe systématiquement les dossiers et conclu le plus souvent aux rites sataniques, agissement de sectes, ou de malades mentaux. Le gouvernement Américain a investit des milliers de dollars pour enquêter sur le phénomène des mutilations d'animaux aux USA sans que rien ne filtre.


Le bétail n'est plus l'unique victime de mutilations. D'autres espèces se voient confronter à ces atrocités inexpliquées. Outre la volonté de l'armée américaine d'entretenir la croyance aux extraterrestres, il doit exister d'autres mobiles que chacun est libre d'imaginer : entraînement en réel des commandos mais aussi des services de désinformation, test d'armes chimiques et bactériologiques ou à micro-ondes, éradication discrète d'un virus bovin ( la vache folle ? ) etc.

Cependant, la plus plausible hypothèse quant au mobile est celle d'une évaluation par l'armée américaine des retombées radioactives sur l'environnement à la suite des centaines d'essais nucléaires effectués depuis les années 50 et dont on sait que certains furent contaminants (recherches de David Perkins, de Richard Sauder…).


L'examen de certains organes de bétail herbivore permettrait d'évaluer le taux de radioactivité du sol dans les régions où le vent avait propagé de gigantesques nuages radioactifs.

En janvier 1993, un rapport de l'agence américaine de protection de l'environnement a affirmé la nécessité d'exercer un contrôle des animaux destinés à la consommation qui broutaient près des sites à risques de contamination tels que les anciennes zones d'essais nucléaires, les mines d'uranium et les dépôts de déchets. Ce contrôle devait se faire à partir de sang et d'organes prélevés. Mais pourquoi ne pas prélever discrètement ces organes dans les abattoirs ? On a suggéré que les animaux devraient peut-être d'abord recevoir une injection et être marqués avant de procéder ultérieurement au prélèvement des organes, mais cela reste jusqu'à présent spéculatif.

Il est difficile ici de résister à la tentation de rapprocher ces tests animaux des prélèvements de sécrétions effectués sur les victimes d'enlèvement extraterrestre, auquel cas ces milliers d'enlèvements ne seraient qu'une autre mise en scène de l'armée américaine. Cela semble très improbable, bien qu'il soit prouvé que des enlèvement d'humains furent montées par l'armée. Le concept de MILAB (Military abduction) est en fait apparu il y a quelques années à la suite des recherches de Helmut Lammer qui se base sur les récits d'enlèvement où des militaires sont impliqués, parfois au côté des extraterrestres. Une fois n'est pas coutume, il semble que les militaires soient ici innocents des crimes dont on les accuse.

Dans certains états américains, les fermiers mécontents se regroupent en milices d'autodéfense armées de fusils et ils tirent sur tout ce qui survole leurs champs la nuit. Des arrêtés d'interdiction de vol de nuit ont donc été pris dans certaines régions.

En octobre 1975, deux bêtes mutilées furent découvertes près de l'entrée de l'usine de fabrication d'armes nucléaires de Rocky Flats située à proximité de Denver, tandis qu'en août 1976, un autre animal était trouvé à l'entrée du quartier général du NORAD (North American Defense Command) au Colorado. Une fois encore, aucun farceur ne pourrait se prévaloir d'avoir pu réaliser un canular dans ces zones sous haute surveillance militaire et les coupables sont tout désignés (même si les tenants de l'hypothèse extraterrestre considèrent pour leur part que ce sont les extraterrestres eux-mêmes qui viennent ainsi nous rappeler le pacte secret qu'ils auraient signé avec l'armée américaine pour pouvoir effectuer librement des prélèvements biologiques sur le bétail…).

Si le pot aux roses venait à être découvert, comment l'armée américaine pourrait-elle se disculper de ses activités scandaleuses aux yeux des fermiers, et pourrait-elle accepter d'assumer ses responsabilités tant par rapport à la contamination nucléaire des populations que par rapport à ses agissements clandestins et illégaux ? Il est clair que cela peut prendre des dizaines d'années de dénégations officielles avant que des preuves tangibles ne soient enfin disponibles et que l'armée ne reconnaisse sa participation aux mutilations. Elle aura veillé auparavant à réduire progressivement le nombre de mutilations perpétrées pour diminuer l'importance du sujet aux yeux du public, jusqu'à son oubli. Ultérieurement, l'armée pourra invoquer l'éradication discrète d'un virus bovin mentionnée, en exhibant la " preuve " que les derniers cas de mutilation concernaient bien des vaches contaminées, alors qu'il s'agit en réalité le plus souvent d'animaux sains. Bien sûr, il sera impossible de vérifier que tous les animaux mutilés étaient effectivement contaminés, et les médias devront se satisfaire de cette explication qui devrait permettre d'enterrer l'affaire.



19/07/2007
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