Le cataclysme de Toungouska : la chute d'une météorite géante ? - Partie 2
Nos recherches ont montré que la terre possède une modulation, une fréquence précisément réglée et qui affecte toute chose, tout être vivant. Il y a 12.500 ans, cette fréquence était réglée sur les 360 jours de l’année -celle étudiée par le calendrier égyptien- jusqu’à ce qu’un astéroïde heurte la terre. Nous pensons que l’orbite et la trajectoire de la terre ont été modifiées artificiellement pour compenser cet évènement. Notre planète évolue à une plus grande distance du soleil, à un rythme, une fréquence de 365. Cela nous a amené à croire que nous avons des amis, des amis qui veillent sur nous, discrètement. De fait, ils n’ont pas permis et ne permettront pas qu’une planète, une comète ou un astéroïde entrent en collision et ne détruisent la terre. Pour nous, tout cela est absolument limpide. Ceux qui veulent militariser l’espace… pour vous dire la vérité, nous tous qui sommes impliqués dans ce projet ressentons de la douleur dans nos cœurs.
Nous sommes là, nous enquêtons sur cette installation, sur d’autres choses, sur des choses très matérielles, concrètes, des choses qui n’ont pas été construites par des Russes ou des Américains mais par quelqu’un d’autre, quelqu’un venu de l’espace lointain. Cela nous attriste de penser à ce qui pourrait arriver si des armes sont introduites dans l’espace. Laissez-moi parler franchement. Cette installation possède un générateur, une source d’énergie. Nous l’avons localisée. Durant le conflit de l’ex Yougoslavie, nous avons enregistré un accroissement de la forme d’énergie qui sortait de cette installation. C’était incroyable pour nous mais nous savons aujourd’hui que cette installation réagit aux soulèvements sociaux et aux conflits. Une partie de notre enquête se concentre sur des recherches dans d’anciennes archives, de vieux documents. Nous sommes alors tombés sur les textes de "l’Echutin Apposs Alanhor" (sic) (intraduisible, sans doute un texte sacré russe).
Nous appelons ces textes tout simplement Alanhor et ils ont au moins 4000 ans. Ils décrivent l’installation en termes scientifiques, ce qui se trouvait sur ces lieux. C’est étrange. J’ai visité la région à deux reprises. La première fois, notre équipement a détecté de forts niveaux de radiation. Je dois vous avouer que c’était plutôt dangereux ; nous ne pouvions pas nous en protéger. Les quelques indigènes qui vivent dans la région connaissent l’installation et bien entendu, ils nous en ont fait une description. Ils nous ont décrit des sortes de structures métalliques et en ont fait un croquis. Nous avons reporté toutes ces informations sur une carte.
Mais tous ces gens, leurs familles, leurs animaux, ils souffrent tous de maladies liées à ces radiations. Les niveaux de radiation ont été continuellement surveillés depuis ces 6 dernières années et aujourd’hui, tout le monde, en ce compris les animaux ont quitté la forêt. Laissez-moi vous parler de l’explosion de Tunguska, quelque chose qui n’a jamais été évoqué auparavant.
Deux mois avant l’explosion, tous les animaux vivants ont quitté la région. C’était comme si l’installation s’était mise en marche pour traiter cet astéroïde. En même temps, les niveaux de radiation ont augmenté. La même chose est en train d’arriver en ce moment, aujourd’hui.
Existe t-ils d’autres projets pour monter une autre expédition dans la région et visiter l’installation ?
La radiation est un facteur (dont nous devons tenir compte) mais oui, une autre expédition est prévue pour plus tard cette année. Regardez, nous voulons être ouverts et honnêtes sur le sujet. Nous souhaitons une participation internationale mais les gens que nous inviterons seront responsable aux yeux du reste du monde. Nous voulons des gens qui soient honnêtes avec un esprit ouvert et transparent et qui sont avides de coopérer, d’échanger et de répandre les données scientifiques.
Je vous invite, Graham, à venir en Russie pour visiter cette installation en tant qu’observateur.
J’en serais honoré. Merci
Vous pouvez dire aux gens que nous, les Russes, avons décidé que d’autres personnes devaient être au courant de cette histoire, pas juste une minorité .
Théories d’explication
Caractéristique | Comète / Asteroïde | Asteroïde d’antimatière | Gaz naturel échappé du manteau terrestre (10 mtonnes) | Grêlon gigantesque tombé du ciel | Appareil extraterrestre | |
Rayon ou cylindre de lumière blanche, plus brillant que le Soleil |
Probable. | Plasma très brillant de la radiation Gamma. | X | X | Possible. | |
Trainée de 500 miles, pas vaporeuse mais brillante, iridescent, et multicolore | Réaction de l’enveloppe ? | Ionisation à plusieurs niveaux, une palette de couleurs serait nécessaire. | X | X | S’il était déjà si chaud, il est peu probable qu’il ait changé de direction. | |
Tempête magnétique commençant quelques minutes après l’explosion, rendant un compas inutilisable à 600 miles de là. |
Réaction possible de plasma. | Un axiome est que la "roche" aurait contenu une bouteille magnétique contenant la réaction du plasma, qui se serait brisée lorsque l’atmosphère aurait été assez dense pour rompre la bouteille. | X | X | Effet nucléaire possible. | |
Anomalies de pulsation électromagnétique (EMP) rapportée de l’autre côté de la planète | Effet de plasma improbable. Possible si de hydrogène a fusionné avec de Helium. Mais improbable. | Attendu. | X | X | Effet nucléaire possible. | |
En Antarctique des aurores apparaissent avant et après l’évènement | Enveloppe responsable avant, enlèvement du sol après. | Rupture du champ magnétique avant, enlèvement du sol après. | X | X | Improbable avant. | |
Une partie de l’objet a semblé virer vers le haut, comme si elle rebondissait |
Rebond possible. | Rebond possible. | X | X | Non contrôlé, les occupants sont morts, et l’ordinateur est devenu un plasma. | |
Une semaine avant, et jusqu’à un mois après, des nuits très lumineuses sont observées dans le monde entier, permettant parfois de lire le journal | Enveloppe responsable avant, enlèvement du sol après. | Exposition gamma attendue le long de la trajectoire, au moins sur 20 miles. | x | x | Attendu à l’épicentre, possible sur 5 miles de la trajectoire. | |
Des gens sont brûlés et meurent inhabituellement comme lors d’une exposition à une radiation ; Le chef du peuple Tungus (Evenk) déclare la zone enchantée et la ferme d’accès. Quelques personnes ayant touché des roches sur le sol tombent malades. | Improbable. | Possible, isotopes à courte durée de vie attendus. | x | x | Attendu, mais à une faible distance < 5 miles. | |
Les facteurs rhésus de divers groupes du peuple Evenk sont anormaux, comme le sont des espèces d’insectes et de plantes anormales | Peu probable à moins d’une fusion. | Ionisation Gamma, longue portée. | x | x | Attendu. | |
Le grand épicentre où les arbres se sont couchés vers l’extérieur de manière radiale, possède 4 plus petits tourbillons ayant leur propre motif radial- observé en 1960. L’objet a explosé à 5 miles d’altitude d’après les calculs. | Fragmentation attendue. | Fragmentation attendue. | x | x | Peu probable si un seul "moteur". | |
Niveaux anormaux de carbone 14 radioactif rapporté puis déclaré plus tard incorrect. D’autres radio-isotopes sont recherchés sans succès. | Attendu. | Quoi avoir cherché ? Ceux attendus laissés par notre capacité à mesurer aujourd’hui via l’absoption de rayons gamma sont : C14, Si32, Fe60, Ni59, Ni63, Sn126 la plupart ayant une durée de vie de 100 à 300 ans. | x | x | De nombreux attendus, dont certains de très longue vie. | |
Une colonne de fumée et de feu brillant est observée à 250 miles de distance. Des chevaux sont poussés à terre à 400 miles. Un son comme le tonnerre est entendu 4 fois à 500 miles de distance. | A 100000 tonnes, possible. | Pas surprenant. | x | x | Sacré "moteur". | |
Un côté des arbres est brûlé jusqu’à 40 miles distance. | Pas possible pour le seul, improbable même si fusion. | Pas surprenant, radiation gamma très pénétrante. | x | x | Pas attendu, mais possible. | |
De petits globules verts de poussière mélangée appelés trinitites (semblables à ceux produits sur le site de Trinité u premier essai de bombe atomique en Arizona) sont découverts dans la zone. | Seulement si fusion. | Particules très petites attendues. | x | x | De grandes pièces attendues. Les arbres au sol ayant survécu, la vitrification atomique devrait aussi. | |
Menotti Galli, Giuseppe Longo, et Romano Serra de l’Université de Bologne ont recherché du carbone 14 et d’autres éléments. On pense aux Etats-Unis que l’hydrogène se compresserait et chaufferait pour créer une réaction de fusion. Cela produirait des neutrons qui seraient absorbés par l’azote de air et formerait du carbone 14. Aucun carbone 14 n’est trouvé, mais capturés dans la résine d’arbres survivants se trouvent une concentration inhabituelle de métaux "hautement Z". Ces métaux possèdent un grand nombre de protons (cuivre, or et nickel), et sont présents en quantités 10 fois supérieures à l’époque de l’explosion qu’avant ou après. | Absolument seulement si fusion. | Quelques neutrons thermiques, mélange inhabituel d’isotopes à courte durée de vie attendu. | x | x | De nombreux types, la plupart montrant de la radioactivité. |
Rebondissement et news
24 septembre 2002
Des chercheurs russes ont annoncé qu’une météorite géante s’est écrasée en Sibérie en septembre dernier.
C’est la quatrième fois depuis 1908 que cette région est frappée par un bolide céleste.
Pour autant, "chaque point du globe présente évidemment la même probabilité d’être percuté par un bolide céleste" mais la Sibérie s’étend tout de même sur 10 millions de kilomètres carrés.
Dans la nuit du 24 au 25 septembre dernier, une météorite s’est écrasée en Sibérie, ravageant près de 100 kilomètres carrés de taïga. Il ne s’agit pas du point de départ d’un film-catastrophe hollywoodien mais du compte-rendu d’une expédition scientifique, rendu public vendredi.
Vingtaine de cratères
Ce n’est qu’au mois de mai dernier qu’une expédition d’une dizaine de personnes, comprenant des scientifiques et des médecins, a pu localiser et atteindre l’épicentre de la zone ravagée, située dans une région semi-montagneuse et boisée, extrêmement reculée, au nord-est d’Irkoutsk et du lac Baïkal. "Sur une superficie d’environ 100 kilomètres carrés, les arbres sont cassés d’une manière caractéristique d’effets de souffle très puissants", a déclaré le chef de l’expédition Vadim Tchernobrov lors d’une conférence de presse.
"Pour donner un ordre d’idée, l’explosion de la météorite, qui s’est désintégrée avant de toucher le sol, et dont les fragments n’ont laissé pour cette raison, selon nos observations, qu’une vingtaine de cratères ayant jusqu’à vingt mètres de diamètre, équivalait à la puissance d’une bombe atomique de taille moyenne", a ajouté le scientifique.
Le département américain de la Défense, qui avait suivi sa chute, a estimé son énergie "à 0,2 ktonne de TNT, soit un 100.000e de la violence de la météorite de Tunguska (20 mégatonnes de TNT)"
En fait l’information ne fut publiée dans la presse… qu’en juillet 2003 car ce n’est qu’au mois de mai de l’année suivante qu’une équipe scientifique de l’Académie des Sciences de Moscou constituée d’une dizaine de personnes, y compris des médecins, a pu localiser et atteindre l’épicentre de la zone située dans une région semi-montagneuse et boisée.
"Sur une superficie d’environ 100 km2, rapporte le chef d’expédition Vadim Tchernobrov, les arbres sont cassés d’une manière caractéristique d’effets de souffle très puissants. Pour donner un ordre d’idée, l’explosion de la météorite, qui s’est désintégrée avant de toucher le sol, et dont les fragments n’ont laissé pour cette raison, selon nos observations, qu’une vingtaine de cratères ayant jusqu’à vingt mètres de diamètre, équivalait à la puissance d’une bombe atomique de taille moyenne".
La nature de l’objet ainsi que son origine demeurent inconnus. L’objet, pourrait être un astéroïde de la famille des NEO ou tout simplement un astéroïde isolé un plus gros que les bolides ordinaires.
Comme à l’accoutumée la presse invoqua un impact météoritique, mais sans disposer de la moindre preuve…
voici l’article de la pravda :
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(La Pravda, 18-03-2003 http://english.pravda.ru/)
UNE GROSSE METEORITE TOMBE EN SIBERIE
Cette nouvelle avait été publiée dans la Pravda au mois de mars mais, malgré l’importance de la catastrophe, n’avait pas été remarquée par les médias !? .
Chute d’une mystérieuse météorite. D’après les scientifiques, elle pourrait peser 60 tonnes.
Il faisait nuit noire dans la région d’Irkutsk, au nord-est de la Sibérie, le 25 septembre 2002. Soudain la nuit devint jour. Un lueur éblouissante monta dans le ciel. De nombreuses personnes, qui se trouvaient dehors à 2 h du matin, ont vu une boule de feu traverser rapidement le ciel, accompagnée d’un bruissement étrange. La lueur disparut au nord-est quelques secondes plus tard. Peu après, il y eut une puissante explosion au loin, à l’endroit de l’impact.
La nouvelle de la météorite de Vitimsky n’a été connue qu’une semaine après sa chute, à quelques 700 km de la ville sibérienne d’Irkustk. Aux dires de témoins, l’illumination du ciel faisait penser à une sorte de radiation brillante qui montait de la forêt. Des gens de la région ont envoyé des fax à l’Institut de physique du Soleil et de la Terre de l’Académie des Sciences Russe d’Irkustk pour demander aux scientifiques d’expliquer cet étrange phénomène. Le directeur de l’Institut, Gely Zherebstov, a répercuté les questions aux départements EMERCOM.
Les journaux locaux se sont fait l’écho des rumeurs au sujet de la mystérieuse lueur un mois après l’évènement. Deux semaines plus tard, on rapportait qu’un satellite espion américain avait détecté la météorite au moment de sa plus forte intensité lumineuse, alors que son altitude était encore de 62 km, puis l’avait perdue à une altitude de 30 km. Ce satellite a également déterminé les coordonnées de l’objet. D’après des scientifiques canadiens, cela a constitué l’évènement météoritique le plus important de l’année 2002. Une expédition constituée d’un groupe de scientifiques de l’Institut de physique S & T d’Irkustk et l’Université d’Etat a quitté la ville en direction de la colonie de Mama et l’épicentre de l’impact.
Des témoins oculaires ont rapporté des phénomènes intéressants et inhabituels. Les lampes se sont allumées spontanément dans les maisons alors qu’il n’y avait pas d’électricité cette nuit-là. Cela suggère que l’évènement de Vitimsky peut être classé dans la catégorie des météorites électrophones : elle a généré un énorme champ électrique alternatif dans l’atmosphère.
Des scènes de panique auraient eu lieu dans la région, où de nombreuses personnes ont déclaré avoir cru à la fin du monde.
L’expédition a atteint le second point de chute enregistré par le satellite américain. Rien n’a été trouvé, à part des pins décapités, ce qui pouvait signifier que l’objet était tombé plus loin.
Malheureusement, on ne connaissait pas la vitesse initiale de la météorite. Le comité des météorites de l’Académie des Sciences Russe a cependant estimé que, pour une vitesse initiale de 11 km/s, sa masse devait avoisiner les 60 tonnes. En puissance, cela la placerait devant celle de 1947, considérée jusque là comme le plus vaste évènement météoritique du XXème siècle. Mais il n’y a pas de certitude absolue dans ce domaine. On estime en effet que pour une vitesse plus élevée, par exemple 25 km/s, il ne serait resté que quelques kg de l’objet au moment de l’impact.
Cette affaire pose de nombreuses questions. D’abord, aucun des moyens de surveillance spatiale sophistiqués n’a été capable de détecter une grosse météorite alors qu’elle fonçait vers la Terre. Bien que la chute bait eu lieu dans une région quasi inhabitée et qu’aucune victime ou dégât ne soit à déplorer, on imagine facilement ce qui se serait passé si elle avait percuté une zone à forte densité de population au cœur de l’Europe. Les moyens de détection russes semblent avoir été totalement inopérants. Pour l’humanité, les conclusions s’imposent donc d’elles-mêmes.
La région est à présent couverte d’une épaisse couche de neige (Hiver 2002-Printemps 2003, NdT). Des prélèvements et analyses de cette neige sont prévus dès la prochaine expédition de l’Institut d’Irkustk car on redoute que l’eau de fonte des neiges lave les poussières spatiales et les rende alors indétectables.
La NASA a déclaré que la Navette Columbia ([ NASA ] Le CRASH de Columbia STS-107 ) devait filmer le site de l’impact, mais le drame de Columbia a repoussé cette opportunité à une date ultérieure. Si la météorite est du type pierreux (95 % des météorites le sont), les eaux de dégel du printemps pourraient modifier les propriétés des résidus du matériau spatial.
Les scientifiques d’Irkustk n’ont pas les moyens de louer un hélicoptère afin d’étudier la zone. Toutes les grandes météorites ont une immense valeur pour la Science et le monde, particulièrement pour le développement de stratégies destinées à parer au danger mortel que représentent les astéroïdes pour notre planète.
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12 août 2004
Des débris extra-terrestres découverts en Sibérie ?
Des scientifiques russes ont affirmé avoir découvert les débris d’un vaisseau spatial extra-terrestre tombé en 1908 sur le site de Toungouska, en Sibérie. L’information a été rapportée mercredi soir par l’agence russe Interfax. Les scientifiques, qui appartiennent au Fonds du phénomène spatial de Toungouska, ont également trouvé sur place une pierre de 50 kg qu’ils ont envoyée pour analyse à Krasnoïarsk, en Sibérie.
(s’agit t-il des débris du fameux missille E-T décrit par Valery Uvarov ?)
A suivre …