Documents supplémentaires sur l'Affaire Haravilliers

 

Cas Ovni,HARAVILLIERS: 10 janvier 1998 un cas d'abduction en france?


Lundi 6 Avril 2009
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L'affaire d'Haravilliers est remarquable par bien des aspects : la dimension, la structure et les déplacements de l'Ovni ; la qualité des témoins, leur nombre, leur dispersion et les troubles physiologiques dont ils eurent à souffrir. C'est une rencontre rapprochée du quatrième type car le récit du témoin principal comporte les réminiscences d'un enlèvement à bord d'un véhicule extraterrestre. La personnalité des quatre témoins ne laisse aucun doute sur leur sincérité et les effets physiques sur la réalité des faits qu'ils ont rapportés. Gérard Deforge a conduit cette enquête.
Qui plus est, il s'agit là d'un exemple intéressant sur comment mener et présenter une enquête ufologique.


Que me dit Franck Marie ?

Gérard, j'ai un problème. Quelqu'un m'a contacté. Cela a commencé par un coup de fil dont j'ai retransmis par écrit la conversation. Ce monsieur aurait subi un enlèvement. Je l'ai vu une première fois, et puis ça a mal tourné. Il a l'air d'avoir un caractère difficile, ou alors a été profondément perturbé par ce qu'il a vécu ! Je connais ta diplomatie, est-ce que tu peux essayer de rattraper le coup ? Je crois en fait qu'il s'agit d'une affaire sérieuse, mais je suis grillé". Franck Marie avait promis à M. D. d'envoyer un enquêteur….Voici d'ailleurs ce tout premier texte que m'a fait parvenir Franck Marie :
Cas Ovni,HARAVILLIERS: 10 janvier 1998 un cas d'abduction en france?

Le témoin principal de cette affaire était donc un monsieur d'une soixantaine d'années. Il était en retraite depuis peu. Nous l'appellerons M. D. Il a occupé des fonctions importantes : Accrédité « Secret Défense », il a organisé la sécurisation de sites stratégiques de commandement de l'armée française, à Taverny. Toujours et encore Taverny. Les sites nucléaires, militaires, etc…On n'en sort pas…
Avec d'autres amis de haut rang social, il se retrouvait régulièrement pour chasser dans les bois de Haravilliers, ( Val d'Oise). Ce 10 janvier 1998, deux amis l'accompagnent dans sa voiture : une Peugeot d'un modèle récent, encore sous garantie. Une autre voiture les suit, une Xantia, avec à son bord le conducteur et son chien de chasse. Ces quatre personnes se dirigent vers le rendez-vous de chasse qui leur est habituel, sis au Ruel, commune de Haravilliers. Bien avant d'arriver sur le secteur du Ruel, M.D. et ses deux compagnons voient comme une sorte d'illumination loin devant eux, au-dessus des arbres. Ciel étoilé, froid du matin, 7 heures en abordant le dernier virage avant d'entrer dans le hameau du Ruel. Qu'est-ce que c'est donc cette illumination festive, devant, au-dessus du bois dans lequel se perd la rue principale de ce Hameau ? Au même moment, à deux kilomètres de là, le garde-chasse, qui participa à ce rendez-vous, sort de chez lui. Sa demeure, située à l'est du site du pavillon de chasse, surplombe un peu le bois situé au loin. Il voit une illumination au-dessus des arbres qui le surprend. Il enfourche rapidement son vélomoteur et s'apprête à partir. Il me rapporte qu'il a été survolé par un avion immense, qui volait à très basse altitude, ( 100 ou 200 mètres, pas plus. C'était bien un avion, dit-il ) . Quelques minutes après, alors qu'il n'était pas encore parti, le garde-chasse dit qu'il a vu passer au-dessus de lui un objet rond, fortement éclairé par 3 lumières colorées. Tous les témoins décriront les mêmes couleurs : vert, rouge, jaune. J'aurais bien voulu revoir ce témoin, décédé depuis, je ne l'ai pas pris au sérieux sur le coup, mais des récits que j'ai lus m'ont fait comprendre que ce type de témoignage n'est pas unique. Sur le parking du rendez-vous, attend un autre participant, M.K., très ami avec M.D. Il attend ses amis, au chaud, assis dans sa Mercedes à toit ouvrant. Il n'y a pas de brouillard, pas de brume. Ce monsieur, tout à coup, va entendre une espèce de ronronnement sourd, un bruissement d'air, quelque chose d'indéfinissable. Il lève les yeux. Un immense objet opaque défile au-dessus de lui, masquant les étoiles. A ce moment, un faisceau de rais de lumières perpendiculaires atteint et enveloppe sa voiture. Ce sont des rayons de lumière très particuliers. Ils sont discontinus, forment comme des gouttes ou des galettes de lumière indépendantes les unes des autres. Cela produit effectivement des taches de lumières aux contours bien nets qui circulent sur sa voiture, éclairent l'intérieur par le toit ouvrant transparent. M.K., le témoin à la Mercedes, aperçoit maintenant comme des guirlandes de lumière sous l'objet. Cet objet, il le voit d'une forme circulaire, d'une bonne quarantaine de mètres de diamètre.
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Le parking étant en haut du chemin, cet immense objet qui progresse devant lui à la vitesse d'un homme au pas, il le voit plonger doucement vers le sol, et il a juste le temps de se dire, voyant comme un rideau noir s'abaisser devant lui, il a juste le temps de se dire que cet objet va se crasher. M. K perd alors la conscience des choses.

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Pendant ce temps, ou quasiment, selon nos recoupements, tout en bas de la côte, à l'entrée du village, M.D. et ses amis arrivent après le dernier virage, ils vont entrer dans le bourg. Je rappelle que deux voitures se suivent.

Résumons la situation à cette étape :

Dans la première voiture, le conducteur est M.D., qui sera notre principal témoin. Il est accompagné par un ami qui est fragile, sur le plan psychologique, et qui va perdre complètement pied après cette journée. Il y a un dernier passager : J.C.G. : lui n'a pas vu de tuyère mais observera les panneaux lumineux, croyant apercevoir « un relais téléphonique ». Ce monsieur ex. ingénieur militaire, a travaillé dans une base affectée aux missiles et s'est reconverti comme patron d'une menuiserie de 13 personnes. Derrière suit une autre voiture, avec un seul passager et son chien de chasse : J.M..ingénieur BTP, spécialiste de la construction de tunnels. Enfin, sur le parking, avec sa Mercedes à toit ouvrant, M.K. employé chez Dassault, en tant que contrôleur aviation, ex pilote de F 100. Ce monsieur n'a pas besoin de ce genre d'histoire pour meubler son temps. Son temps, il le partage entre ses activités professionnelles et son épouse handicapée. Elle était prof dans un lycée de Pontoise. Elle rentrait chez elle, dans un petit village à côté de Gisors, à proximité duquel je demeure, entre parenthèses. Un soir, ce fut une très mauvaise rencontre avec un sanglier, elle devint infirme pour la vie. C'est sur les recommandations des médecins, que M.K., puisque c'est lui dont il s'agit, quitterait bientôt cette région de Haute Normandie pour le Sud de la France, afin d'y trouver un climat plus favorable aux douleurs de son épouse. Non, M.K. n'avait pas besoin de cette expérience Val d'Oisienne. Tiens, une autre parenthèse. Un jour, j'eus un problème de tendinite et je fus soigné par un kinésithérapeute de Gisors. En discutant avec ce praticien, je lui racontai grosso modo cet événement. Le Kiné me regarda, très surpris : il me dit qu'il avait soigné, il n'y pas si longtemps, un client a qui il était arrivé exactement la même histoire. Je répondis que c'était impossible, et que si ce qu'il me disait était exact, il s'agissait forcément de M.K. Vérification faite, le Kiné s'aperçut qu'il avait bien soigné ce témoin ! Le convoi de deux voitures entre donc dans le bourg et M.D. est fasciné par cet objet immense. Ils arrivent pratiquement au-dessous, l'objet est légèrement sur leur gauche. M.D. ouvre sa vitre et penche la tête pour mieux observer. Il peut détailler très précisément ce qu'il voit, et évaluer les dimensions, jusqu'à ce qu'il remarque ce pinceau de lumière blanche qui s'avance doucement vers sa voiture… …Des pensées rapides traversent l'esprit de M.D. : cet engin est énorme, il doit peser des centaines de tonnes, il est au « parking », mais habité par une puissance phénoménale…( Ce sont les paroles authentiques, 100 fois répétées par le témoin). M.D. a tout à coup le sentiment que son cerveau se « vide », sa tête devient « une coquille vide ». Il y a comme une sensation totalement dénuée de gaieté dans l'environnement de l'objet. Les deux autres témoins du véhicule voient la même chose.
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Cas Ovni,HARAVILLIERS: 10 janvier 1998 un cas d'abduction en france?
Sur la trajectoire supposée de cette masse, deux phénomènes dûment vérifiés vont se produire. Je subodore que d'autres phénomènes non répertoriés vont se dérouler le long de la trajectoire de la chose. Evoquons donc les deux phénomènes certains. Tout d'abord, le long de cette rue qui traverse le village, habite une importante personnalité.

C'est le premier magistrat de la commune…Cette personnalité est connue pour être un travailleur acharné qui se lève toujours très tôt. C'est un cadre supérieur d'industrie Le matin du phénomène, il a un important rendez-vous, à 10 H, pour une réception en son honneur, avec de nombreuses autres personnalités. Ce matin-là, il va dormir à poings fermés et arrivera très en retard à ce rendez-vous, sans jamais avoir compris pourquoi une telle chose a pu lui arriver. J'ai pu longuement interroger le Maire de la commune qui m'a confirmé tout cela. Revenons à M.D. : « Au moment où la voiture a été atteinte par le pinceau lumineux, j'ai perdu conscience. » Il en sera de même pour les deux autres compagnons. Eux ne se souviendront que de leur réveil. Mais M.D. sans l'aide d'une quelconque hypnose, ( ce qui est vraiment exceptionnel), se souviendra qu'il a eu droit à un traitement particulier. Il se souvient d'avoir été aspiré dans ce tube de lumière, d'avoir vu « à bout touchant » les plaques de métal, de la sous-structure, avec des orifices couronnés d'un liseré de métal « brûlé », grisâtre, avant son aspiration dans une salle blanche, éclairée de nulle part. M.D. se souviendra plus tard d'avoir été allongé, et au-dessus de lui, légèrement penché, un heaume métallique extraordinaire qui le regarde, ( voir le dessin de M.D.).
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« La rangée de dents est immobile, ce n'est pas une bouche, nous indique M.D., c'est un organe de communication : les « dents », ce sont des plaques régulièrement espacées par un mince sillon, avec un séparateur horizontal. C'est un appareil, il est très blanc. Il peut communiquer des sons, des ondes, je ne sais pas. C'est quelque chose qui peut « vibrer », pour émettre. Je suis très mal à l'aise à ce moment. « Je ressens que cet, ces entités( je ressens la présence des autres), cuirassées sont dépourvues de pensée, de vie : elles sont manipulées pour faire un certain travail. Les orbites des yeux, je les vois vides. Tout est métal, artificiel, sans âme ni conscience. » ( Encore une fois, ce sont les citations directes du témoin, il ne s'agit aucunement d'une interprétation de l'enquêteur). Et l'organe émetteur va émettre des sons gutturaux dont la sonorité est celle de nos robots : TOBOO, TOBOO… » Et un foisonnement de pensées viendront envahir l'esprit de l'abducté, pendant les jours suivants : « Sensation de rigueur, dureté, rigidité morale et intellectuelle, honneur, intégrité, sécheresse du cœur. Pas « bons », ni « méchants » : chevaliers de l'espace, gendarmes de l'espace, militaires en mission. Ambiance à la limite de l'inhumain. » Plus tard, s'y ajouteront des « messages » qui imprègneront l'esprit de M.D., qui ne s'était jamais intéressé « avant » aux astres et aux mystères qui s'y rattachent : « les Petits Gris sont des charognards, et si ça ne va pas, on viendra les taper », « nous, les corps, on n'en a rien à faire », « on est des placentas secondaires » « énergie vitale dans l'éther, essentielle », « tout fonctionne sur le principe positif-négatif ». impression d'inversion, vision d'un futur ouvert, le passé est moins important » « on a le pouvoir de punir par la pensée ». ( A ce sujet, voir LA PAGE DE LA BANDE DESSINEE,( extrait d'une B.D. communiquée par l'ufologue FRANCK BOITTE) . Cela rappelle les écrits anticipatoires de certains écrivains, tels Jules Vernes ou Morgan Robertson !…)
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Le robot au casque aurait fait une allusion au ruban de Möbius. Il aurait parlé « d'inversion de polarité ». « Nous sommes de grands voyageurs de l'espace ». « Nous voyageons à des vitesses supérieures à celle de la lumière, grâce aux tachions ». » Deux vies en une, vie parallèle ». « Il y aura autre chose : apocalypse, catastrophe », ( M.D. quelques temps plus tard, assistera le 13 mai 1998, vers 0H50, heure locale- dans la région parisienne-, depuis son balcon, à un nouveau phénomène dont il pensera qu'il lui donne la « clé », sur la nature de cette future catastrophe : dans de brèves années, la chute sur terre d'un énorme géocroiseur. ( M.D. tentera, en vain, plus tard, d'alerter la communauté scientifique…) M.D. et ses deux compagnons de voyage vont reprendre leur conscience de tous les jours : 20 minutes environ après le début du phénomène, sa voiture est alors garée sur le parking où l'attend son ami à la Mercedes, qui a été survolé par l'énorme engin avec ses lumières en gouttes. Une question se pose, à laquelle personne n'aura jamais de réponse. Entre le moment où M.D. a perdu sa conscience et le moment où il se retrouve sur le parking des chasseurs, sa voiture a nécessairement roulé plus de 1Km, dans une rue étroite, bordée par des maisons serrées contre cette rue. Comment la voiture, ( et celle qui suivait) se sont-elles rendues sur le parking des chasseurs, alors que les conducteurs ne se souviennent de rien ? Comme dans Star Trek, l'ami stationné dans sa Mercedes va voir, ( lui semble-t-il, cette partie du témoignage est demeurée assez floue) se matérialiser devant lui les véhicules de ses amis, et cela …je dirai…sans trop d'émotion ! Les uns et les autres vont ouvrir les portières de leurs véhicules respectifs et vont se serrer la main, heureux de se retrouver, pour cette belle journée qu 'ils vont passer ensemble. Ils ne vont pas évoquer du tout ce qu'ils ont subi ou vu, leur conversation sera axée sur les préparatifs de cette journée…qui devrait être remplie par les rites habituels de ce genre de rencontre ! ! ! ! Revenons à ce conducteur au repos, dans sa Mercedes, M. K., qui a vu ce spectacle de lumière en gouttes. M.K. va voir la voiture de M.D. comme si elle se matérialisait devant lui. Pouvons-nous avoir une idée pour expliquer comment la voiture de M.D. et celle de son suiveur auront-elles pu franchir une distance de plus d'un Km ; tout le long d'une rue étroite de village, avec leurs quatre occupants anesthésiés ? Evidemment, cela nous est incompréhensible, mais pourtant cela fut ! Je rappelle que la voiture qui était derrière celle de M.D. était celle avec son unique passager, ( l'ancien directeur dans le domaine du bâtiment et des travaux publics, spécialiste de la construction des tunnels), accompagné de son chien de chasse. Lui aussi aura remarqué cette masse lumineuse énorme qui venait devant. Hyper rationaliste, il refusera tout d'abord d'accorder du crédit à cette histoire, ( un gros nuage), mais, au téléphone, en présence de Jacques Vallée, il ne pourra pas expliquer comment lui aussi s'est retrouvé sur le parking sans se souvenir d'avoir piloté sa voiture. Et puis il ne sait pas encore que ses redoutables certitudes vont se transformer en hésitations tumultueuses, dans le déroulement futur de sa vie, ni que son excellent chien de chasse ne pourra plus chasser. L'un des deux témoins, dans la voiture de M.D., avait quelques problèmes psychologiques. Après cette « expérience », son état deviendra vraiment gravissime, tellement gravissime que son esprit chavirera complètement.( Certifié par M.D.) Souvenons-nous de la conférence de notre ami Joël Mesnard, qui nous avait rappelé que les histoires de rencontres avec des ovnis, ou d'observations, ce n'est pas toujours des histoires à l'eau de rose. La journée de chasse se passera quasi normalement, mais quelques paroles échangées ici et là évoqueront à mi-mots les sensations vécues et remémorées, dont se portera témoin un des participants à cette chasse, qui lui, n'a rien vu, mais qui s'est rendu compte de perturbations importantes chez ces amis, il a signé sa lettre de témoignage et a demandé à la presse locale de la publier, presse locale qui n'a pas publié ce document inédit dans lequel il a écrit…
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Qu'est-ce que TOBOO ?

Après cette incroyable aventure dont Mme D. Soulignera l'authenticité par les effets qui affecteront son époux, M.D. compulsera toute la presse spécialisée sur l'astronomie et dirons-nous, les phénomènes qui s'y rattachent. Et, en parcourant le n°338, p.79, de la revue « Ciel et Espace », M.D. aura la surprise de lire que « Tau Boo », c'est le nom d'une exo planète, identifiée dans la constellation du Bouvier ! ( N°10 dans la nomenclature des exo planètes répertoriées à ce jour, découverte en 1995 ). D'autres recherches, d'autres hypothèses étonnantes seront proposées par M.D. Comme pour un autre témoin- le rationaliste- M.D. va avoir des soucis de santé après cette histoire : entre autre une vilaine conjonctivite, et il n'est pas inutile de lire attentivement le bulletin médical ci-joint qui confirme bien l'étrange possible origine de cet ennui de santé. La montre de M.D., en parfait état : la pile sera complètement vidée, à un point tel qu'un couple de mes amis, horlogers bijoutiers de Pontoise, s'en étonneront. La pile neuve ne règlera pas le problème, la montre ne voudra plus marquer l'heure exacte. L'autoradio, à la poubelle ! La voiture, encore sous garantie, se mettra à cliqueter douloureusement en roulant sur les défauts du bitume. Des semaines durant, le concessionnaire « Peugeot » n'y comprendra rien. De guerre lasse, il alertera la Maison Mère qui dépêchera un expert. Il va « désosser la voiture », et trouver : la tôle du pavillon arrière de la voiture est soudée par des robots à deux autres tôles du véhicule. Les points de soudure ont fondu. L'expert fera réparer en insistant qu'il n'a jamais vu un tel cas. Je me rendrai compte par moi-même de l'authenticité de ce témoignage, en étant allé interviewer le garagiste qui s'est occupé de ce véhicule, accompagné par M.D. lui-même. M.D. va voir sa vision lointaine se développer d'une manière qui le surprit encore longtemps après, ainsi que d'autres phénomènes physiques, au niveau des mains (sensations de courants d'énergie), pigmentation orangée sur le corps, pendant quelques mois, comme s'il avait été longuement exposé au soleil. Pensées qui ne lui sont pas habituelles, après cette « rencontre », des phénomènes répertoriés, mais hélas pas tous, M.D. va remplir des dizaines de pages de réflexions, d'observations, qui me demeureront inaccessibles. Un des phénomènes remarquables sera celui-ci : Il va se former sur sa cuisse une espèce de furoncle. En le perçant, le 21 avril 1998, dans le trou rond et sec qui s'ouvre, il extrait une sorte de gélule blanche de 12mm sur 4mm, de consistance gélatineuse, et qui fait comme un bruit sec lors de l'extraction. La « plaie » se refermera très vite, sans suppuration. Où ira la gélule ? Dans la poubelle ! Mais, dès son extraction, M.D. ressentira tout à coup comme une forme de libération dans sa tête…. Ainsi nous dira M.D. « ce que j'ai vu, pour moi, c'est quelque chose qui venait de nulle part, et qui est reparti vers le néant. » Personnellement, avant même que Franck Marie ne me donne la confirmation écrite de l'échange téléphonique avec le témoin, que je vous ai lue, ayant déjà pas mal investigué chez le témoin, il m'arriva une drôle d'histoire, et, ce point rattaché à 3 autres que je vais vous communiquer, demeure assez troublant pour moi, vous allez vous rendre compte pourquoi. En observant M.D., je fus tout d'abord surpris par le magnifique bronzage de son visage, et je le félicitai pour de probables récentes vacances qui lui avaient donné ce hâle que j'enviai. « Pas du tout me précisa-t-il », je passe mes vacances dans un trou perdu au fond des Alpes, que personne ne connaît. Vous connaissez vous un lieudit qui s'appelle « La Chèvrerie », à côté de Bellevaux ? OUI ! , lui dis-je, c'est là où j'ai organisé un certain nombre de mes classes de neige, c'est, (c'était…) effectivement un coin perdu et ravissant. Nos restâmes tous les deux interloqués et nous échangeâmes nos connaissances sur l'environnement, le lac qui avait enseveli un village, nous avions les mêmes connaissances du lieu et de ses environs, comme si nous y avions passé plusieurs vacances ensemble !…Nous étions stupéfaits. Non me dit-il, mon bronzage, c'est depuis ma rencontre avec ce « truc »… La deuxième étrangeté, ça a un rapport avec ce que vous avez lu ci-dessus tout à l'heure, quand j'ai communiqué le primo témoignage enregistré par Franck Marie, et qu'il m'avait donc transmis. Souvenez-vous qu'il déclare dans ce texte qu'il a contacté un dessinateur de renom pour l'aider à représenter ce qu'il avait vu ; Car vous ne pouvez pas imaginer la minutie avec laquelle ce témoin a exigé que tout ce qu'il disait ou représentait, le soit avec une concordance intégrale avec tous ses ressentis. Franchement, il m'arrivait de ressortir de mes entretiens avec M.D. avec mal à la tête, et complètement vidé. M. Cornec, alors rédacteur en chef de la Gazette du Val d'Oise, mis au courant par moi-même, m'assista pendant une session de ces entretiens, il ne put tenir jusqu'au bout, et n'y revint plus. La publication qu'il fit dans la Gazette, qui occupa une page entière, fut relativement honnête mais beaucoup trop portée sur le sensationnalisme, ce qui froissa définitivement le témoin avec cet hebdo régional. De plus, il y avait dans un encart situé en haut de page une allusion à un possible canular ! Le rédacteur en chef de « la Gazette » n'avait plus intérêt à vouloir remettre les pieds chez M.D. ! Donc M. D ne se sentait pas capable de représenter par des dessins toute la vérité de ses visions. Il essaya, il était toujours mécontent de lui. Il prit alors le bottin et s'avisa de rechercher les coordonnées d'un artiste dessinateur sur le département, qui pourrait l'aider dans son entreprise. Il en trouva un : je peux citer son nom, c'est André François. Cet artiste est décédé il y deux ans maintenant. C'est un grand artiste, d'origine hongroise, d'envergure internationale, il a travaillé à 95% pour les des publications anglaises et américaines, dont longtemps pour Punch, et beaucoup de journaux et revues anglo-saxonnes à caractère satirique. Son métier : peintre, dessinateur, publiciste, illustrateur. Il y a quelques années une exposition fut consacrée à son œuvre au musée Tavet, à Pontoise. Je téléphonai à André François, qui me confirma la démarche de M.D. : il lui avait refusé son aide, et m'expliqua que sa main, c'était son gagne-pain, et qu'il ne pouvait faire un cadeau de ce type-là. Excusez-moi, je remonte à 1947. A cette époque, alors que nous habitions à la campagne, mon père, poète et écrivain, fit connaissance avec un monsieur dans des circonstances un peu rocambolesques. Mon père aida ce monsieur à trouver une maison qu'il habita jusqu'à son dernier souffle. Les deux familles restèrent étroitement amies, jusqu'à la fin de leur vie. Le monsieur en question, c'était André François. La troisième curiosité, voici comment je l'ai vécue. Etant directeur d'un établissement scolaire, c'est moi qui gérais les machines qui s'y trouvaient, et j'allai régulièrement me réapprovisionner en cartouches de toner pour la photocopieuse. Cette fois là, je devais voir un commercial, car nous désirions acheter une machine plus évoluée. Peu après la parution dans la fameuse gazette de l'article dont je vous ai déjà parlé, je rentrai donc dans le Bureau du prestataire de services et la patronne me brancha tout de suite sur l'affaire d'Haravilliers. Je m'étonnai un peu de son insistance quand elle me déclara qu'elle avait une surprise pour moi. Il y avait bien un commercial prévu pour mon rendez-vous, mais c'est lui qui voulait d'abord m'entretenir d'autre chose… Ce commercial était dans un bureau mitoyen, et il habitait…Haravilliers…. Il voulait donc absolument me voir. La patronne me le présenta, je ne l'avais jamais rencontré, cet homme. Il me dit tout de go : je vous remercie pour l'article paru dans la Gazette, car je suis concerné par cette affaire, il faut que je vous parle . Ce monsieur était conseiller municipal du village, ami du Maire. Il me raconta l'Histoire très récente, arrivée à sa petite fille. Et c'est par lui aussi que j'appris pour la première fois ce qui était arrivé au Maire du village. Pour l'anecdote, signalons que l'anniversaire de ce monsieur tombe le10 janvier, vers 7h30 du matin, soit l'heure à laquelle le phénomène s'est manifesté aux autres témoins. Cette famille habite aussi le long de la fameuse rue survolée par l'objet. La petite fille était âgée de trois ans. « Un modèle de calme jusqu'à ce jour. Dès la nuit du 11 janvier, et toutes les nuits suivantes, ( cela durera pendant plusieurs mois,) cette petite fille fut systématiquement en proie à des terreurs si fortes que ses parents durent rester à son chevet pour la calmer. Elle allait jusqu'à frapper de ses poings la cloison de sa chambre. Les parents durent consulter un médecin, qui prescrivit des calmants. Les parents m'indiquèrent un détail : il s'agissait d'un jouet qui lui avait été offert, à cette petite fille ; une sorte de petite mécanique qui émettait des lumières éclairant jusqu'au plafond de sa chambre. Elle adorait ce jouet. Depuis l'apparition de ses terreurs, elle ne voulut plus jamais jouer avec cette mécanique, ni même la toucher. Si ce jouet était mis en marche par les parents, la petite fille exprimait un malaise évident, assez semblable à ses manifestations de peur. (Pierre Guérin suivait cette affaire avec intérêt. Etant persuadé que la « petite fille » était certainement, à son avis, la véritable cible cachée, il me proposa de soumettre cette enfant à un petit test afin d'observer ses réactions. Le résultat fut négatif. Pierre Guérin me conseilla alors de suivre le développement des choses concernant cette petite fille, autant que cela pourrait se faire, évidemment par l'intermédiaire des observations parentales, lesquels se montrèrent extrêmement courtois et coopératifs ). Un point sera fait ultérieurement sur la situation actualisée.) Cette précision fut donnée hors texte.
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Le 6 février 1999, nous allons avoir beaucoup de chance.

Devant une affaire aussi considérable, Jacques Vallée, ayant pris connaissance du premier rapport présenté dans le N°349 de LDLN, avait proposé de rencontrer le maximum de ces témoins autour d'une table, afin qu'il entende directement la répétition de leurs témoignages, leur confrontation. Cela me semblait utile à tous les points de vue, évidemment, afin d'asseoir davantage la crédibilité de ces témoignages. Dans un premier temps, Jacques Vallée me signala une possibilité de sa présence, dans un créneau très limité, les témoins me confièrent la difficulté de se réunir tous ensemble. Puis une fenêtre s'ouvrit pour tout le monde, Jacques à l'occasion de l'un de ses nombreux déplacements internationaux, les autres en raison de circonstances personnelles favorables. Cette réunion eut enfin lieu, il manqua un témoin : le conducteur de la deuxième voiture, le chasseur au chien de chasse. Et aussi le passager de M.D. qui se trouvait maintenant dans l'incapacité de s'exprimer de manière cohérente. Ce fut donc le 6 février 1999. Le plus septiques d'entre tous, absent, nous pûmes quand même l'interroger par téléphone, pendant notre réunion . Avant la réunion proprement dite, nous refîmes avec M. D. le parcours initial, la route qu'il avait empruntée. Nous étions 5 :une première voiture avec M. et Mme D., avec comme passagers Janine et Jacques Vallée. Je suivais avec mon propre véhicule. Nous empruntâmes la sente St. Denis, qui traverse la Ruel, et nous nous arrêtâmes une première fois, après le virage où les témoins avaient aperçu l'(objet ) :
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M.D. confirma tout ce qu'il avait déjà déclaré, au mot près :Voir p. 20 et 21et 22, pour les dégâts physiques sur tous, et autres sensations… LDLN N°352. A propos des problèmes de vue, Notons pour l'anecdote que nous déjeunâmes à midi dans un restaurant de Grisy les Plâtres qui se nomme le St. Graal….
Cas Ovni,HARAVILLIERS: 10 janvier 1998 un cas d'abduction en france?

Passons à la réunion de l'après-midi.

Lors de la première enquête, j'avais tout rédigé seul, bien entendu, avec l'accord du témoin. Je proposais à Jacques Vallée que je ne prenne pas de notes sur ce qui serait entendu, c'est lui qui les prendrait, et il me les faxerait pour que j'en fasse un compte rendu rédigé. Jacques accepta, et je sollicitai aussi son aide pour me proposer un plan pour la rédaction de cet article, car l'avalanche de faits m'étourdissait un peu, et je ne savais plus très bien comment ordonner tout cela pour que ce soit présentable aux amis lecteurs. Vous voyez, par la présente communication, que la montagne de faits rapportés ici n'est pas encore présentée de manière complètement ordonnée, mais j'ai voulu vous communiquer quelque chose qui soit le plus exhaustif possible, et, croyez-moi, il y aura encore des oublis. Nous eûmes au téléphone le conducteur de la deuxième voiture, l'homme au chien de chasse, que M.D. appelait le « rationaliste », l'ingénieur du BTP. Celui-ci, qui avait refusé jusque là d'admettre qu'ils avaient vécu une expérience tout à fait exotique, fut finalement dans l'incapacité d'expliquer comment il était parvenu jusqu'au parking. Ce fut un moment d'intense émotion parmi les participants à la réunion. Nous sentions dans notre peau les hésitations, le trouble, la perplexité de cet homme abonné aux certitudes, M.D. avait mis le haut-parleur de son téléphone, et nous ressentions tous que le correspondant se trouvait dans une surexcitation mentale qu'il n'arrivait pas à maîtriser. Il admit enfin clairement, qu'il ne pouvait expliquer ce qui lui était arrivé. Cet instant d'émotion partagé par tous les participants autour de la table, je ne l'oublierai jamais. Depuis, j'ai appris que ce témoin, cet homme fort, bardé de certitudes en tous genres, a vu sa personnalité évoluer vers son contraire, au grand étonnement et trouble de ses amis. C'est M.D. qui me révéla tout cela. Ce chasseur eut aussi le chagrin de voir son chien, initialement en pleine santé, être en proie à des crises d'épilepsie, et ce chien devint inapte à la chasse, comme je l'ai déjà précisé. La personnalité de l'homme à la Mercedes est attachante. Un homme costaud, avec une belle voix calme, un discours carré, des propos nets, précis, qui incitent à une écoute attentive. IL nous expliqua que ce qui lui était arrivé , il ne l'avait jamais vécu. Il n'en retirait aucune émotion particulière, pour une raison simple : depuis toujours, il est persuadé que d'autres civilisations existent et nous visitent, qui nous sont incompréhensibles. Puisque qu'elles peuvent venir jusqu'à nous et que nous sommes incapables de faire la même chose, ils nous sont donc actuellement forcément supérieurs du point de vue de leur technologie. Jacques Vallée n'en finissait pas d'écrire. Il fit ce qu'il m'avait promis. Peu de temps après cette réunion, je reçus une dizaine de pages de fax, avec ses seules notes, prises en vrac, notes à partir desquelles je rédigerai la deuxième partie de cette enquête, en suivant le plan rédactionnel que Jacques Vallée me proposait. D'où l'hommage que je rends à Jacques vallée dans le préambule de cet article paru dans LDLN N°352 et mes remerciements aussi à Joël Mesnard pour avoir publié ces articles sans aucun caviardage, car Joël est un homme profondément honnête qui publie sans retouches tous les témoignages présentés dans sa revue. J'ai souhaité pouvoir élargir les investigations sur ce cas, en proposant à d'autres enquêteurs de….contre enquêter. Cette relation ne m'appartient pas, je ne suis qu'un passeur d'informations. Bien entendu, sur ce genre de phénomènes, j'ai des convictions. Une conviction, c'est quelque chose de personnel. Je pense que l'enquêteur doit être comme le journaliste d'investigation. Il doit rapporter les faits au plus près de la réalité vécue ou ressentie comme telle, par les témoins, et si possible par les témoins eux-mêmes. Pour des raisons diverses, il se trouve que les témoins n'ont pas tous la capacité de relater par écrit convenablement, ce qu'ils leur semblent avoir vécu ou ressenti. L'enquêteur est là pour la « maïeutique », avec les formulations les plus proches des ressentis des témoins, donc ces formulations doivent toujours avoir l'approbation finale des témoins. Mon ami, notre ami J.C. Venturini se rapprocha ainsi de ce témoin et étudia de très près les caractéristiques de la trajectoire de l'OVNI. Il découvrit qu'en prolongeant cette trajectoire, celle-ci passait par….Taverny. Ensuite, Jean-Claude s'aperçut que de nombreux autres témoignages, et récents, en plus, pouvaient concerner ce site très stratégique.
Cas Ovni,HARAVILLIERS: 10 janvier 1998 un cas d'abduction en france?

A ce sujet, M.D. m'avait confié qu'il y avait déjà eu une alerte, un précédent témoignage, concernant cette base, au temps de son activité. Il refusa de m'en dire davantage sur ce point. Au cours d'une rencontre entre amis s'intéressant de près à ces questions, j'appris par Gilles Pinon qu'il avait une propriété, dans le sud de la France, voisine de celle de M.K, l'homme à la Mercedes. Avec J.C Venturini, nous convainquîmes notre contre amiral d'enquêter librement chez ce témoin, et d'avoir l'amabilité de nous en faire un compte–rendu écrit et signé. Ce qui fut fait, et ce compte rendu est présenté ci-après en ANNEXE 2.

Il est deux autres points sur lesquels je ne compte pas m'étendre, mais qu'il convient tout de même de signaler. Tout d'abord, M.D. sans pouvoir rien expliquer, n'exclut pas que dans ses jeunes années, il ait pu avoir subi une première expérience à haute étrangeté, tant il s'est toujours ressenti différent des « autres ». Par exemple, depuis toujours, il a eu la sensation que dans sa vie, il lui arriverait quelque chose d'extraordinaire, gagner le gros lot au LOTO par exemple, ce qui ne l'aurait guère étonné. Alors il pense qu'il lui est effectivement arrivé cette chose unique qu'il attendait, mais, me dit-il, très franchement, cette expérience fut à l'opposé de toutes ses attentes, car il considère que cet événement a marqué quelque part une rupture irréparable dans sa vie, à tous points de vue, une rupture terrible et irréparable. Puisque nous sommes sur le plan des ressentis, restons-y encore un peu en signalant que, depuis très longtemps encore, M.D. a la conviction d'avoir déjà vécu plusieurs vies. L'une , dans un petit village qu'il nous a localisé sur une carte, cette dernière vie se serait matérialisée dans un espèce de petit manoir en mauvais état, souvent noyé dans les brumes d'une petite rivière coulant à proximité. Il n'est jamais allé dans ce village, mais comptait s'y rendre. Cette expédition reste à réaliser, je pense qu'avec Jean-Claude Venturini, nous allons lui proposer cette excursion. Il aurait vécu là aux environs de 1830. Il semblerait que les messages télépathiques qu'il a reçus lui auraient fourni des précisions sur ses vies antérieures, mais M.D. ne veut pas s'exprimer plus avant sur ce sujet ; longtemps après cette fabuleuse rencontre, il considéra qu'il était sous contrôle, qu'il pensait sous contrôle, qu'il agissait sous contrôle. Deux taches bleues sur la face interne de son gros orteil, qu'il me montra, lui firent penser qu'il avait été peut-être pucé, implanté…. D'autre part, M.D. a une formule sanguine, depuis toujours, assez spéciale : le nombre de ses globules blancs n'a jamais été inférieur à 18000. De plus, il présente une polyglobulie vraie, et ses globules rouges sont nettement plus gros que d'ordinaire, et cela lui pose des problèmes de santé. A remarquer que ces caractéristiques semblent congénitales chez ce monsieur, cela n'est en rien lié à son expérience involontaire du 10 janvier 1998. M.D. était un grand fumeur, je ne sais pas si c'est encore le cas. Depuis ce fameux 10 janvier 1998, chaque fois qu'il fumait, il ressentait cette fameuse odeur d'ovni„ cette odeur fétide, de pourriture, ainsi qu'il la décrivait. Lors de la date anniversaire de ce dix janvier, enfin quasi, c'est à dire le 9 janvier 1999, il participait à un nouveau rendez-vous de chasse. Alors qu'il était descendu de sa voiture, au niveau du fameux parking, il se sentit poussé par une étrange force qui le fit chuter. Et il tomba donc de manière à ce que son étui de petits cigares, métallique, rentra le premier au contact du sol, ce qui eut pour effet de martyriser les côtes de notre témoin, qui dut consulter un médecin. Pour M.D. le message était clair : Il avait eu la sensation qu'on lui avait intimé l'ordre d'arrêter de fumer. Et comme il n'avait pas obéi, il eut un rappel à l'ordre. M.D. défia ses « interlocuteurs » : il refuserait leurs injonctions, il continuerait à fumer, non de non ! Je notai que cet incident arriva à point aussi, car, sans lui,… M.D. . serait parti en vacances, M.K aurait déjà déménagé dans le sud de la France, et la réunion avec Jacques Vallée eut été impossible, avec ces deux témoins clés présents en même temps.

Parking des chasseurs

Tiens, encore un fait qui est à signaler, à propos du parking des chasseurs : M.D. me raconta qu'il y retournait souvent, parce que cela lui permettait de …recharger « ses accus », et qu'il y retrouvait aussi des formes de communications télépathiques. Joël Mesnard me proposa de visiter le site, accompagné par une médium de ses connaissances. Nous installâmes la médium au milieu du parking, et nous nous plaçâmes à l'écart. Elle se dirigea vers un gros arbre, vers le fond du parking taillé dans la verdure, près du tronc donc d'un arbre imposant. Elle resta concentrée quelques instants, et nous la surprîmes tout à coup extrêmement mal à l'aise. Elle nous demanda de nous éloigner d'urgence de ce lieu, c'est vrai qu'elle n'avait pas l'air d'aller bien, mais pas du tout, et avec Joël, nous l'aidâmes à embarquer dans la voiture. Elle nous expliqua que c'était la deuxième fois de sa vie qu'elle avait un tel ressenti. Très mauvais, de très mauvaises ondes, très perturbatrices, impossible pour elle de prolonger sa station dans ce lieu, elle s'y serait trouvée mal. La première fois, elle avait eu la même sensation…au sein d'une église. Nous sentîmes bien que cette promenade ne lui convenait absolument pas…. Ce qui m'a frappé chez M.D., entre autre chose déjà décrite, et ceci est une constatation que j'ai faite dans d'autres cas de ce type, c'est que les personnes ayant subi ce genre de rencontre se retrouvent, au moins pour un temps, se retrouvent douées d'un regain de force physique, d'acuité des sens, de nouvelles déterminations mentales, jusqu'à leur faire changer complètement la direction de leur existence, et qui est donc assez surprenant. Pour ce qui concerne notre témoin, ce fut surtout l'acuité oculaire qui se développa, certaines capacités au niveau des courants d'énergie qui circulaient dans ses mains, la recrudescence d'une force physique qui lui permit, plus que jamais, de s'occuper des travaux de rénovation de la maison de son fils avec une ardeur renouvelée ; lequel fils signala d'ailleurs à son père que sa propre maison avait été survolée, elle aussi, par un ovni. Ce qui le maintint aussi en forme, malgré la haine que lui inspiraient ces étrangers qui étaient venus s'introduire sans lui en demander la permission, ce qui l'a toujours révolté, car il trouvait cela, à juste titre, d'une impolitesse phénoménale, c'est qu'il a toujours ressenti que les entités auxquelles il avait eu affaire n'avaient aucune mauvaise intention à son égard. De cela, il en a tout le temps été persuadé. Pourtant, il sentait bien qu'il n'était qu'un fétu de paille entre des mains étrangères. Tout cela l'agitait sans cesse de sentiments contradictoires, profondément déstabilisants. Je vais terminer en vous narrant un complément de témoignage de M.D. , une information, et deux anecdotes. Le complément de témoignage vint de M.D. soi-même. Il me raconta que lorsqu'il était dans l'engin, il avait donc ressenti la présence d'autres entités, mais qu'il n'avait bien vu qu'une seule, avec son heaume; Mais il m'expliqua bien après qu'il s'était senti littéralement arraché de la terre, avec ce véhicule, avait fait le tour de la lune, avoir eu conscience de vitesses extraordinaires, impensables, et d'avoir été transféré quelques instants dans un vaisseau véritablement énorme, un vaisseau Mère, où se trouvaient des entités extraordinaires. Des sortes de géants à tête de gallinacé, avec de grandes capes, et il nota surtout la pliure des pattes à l'envers, au niveau des genoux„ comme cela est chez les gallinacés. Dans sa pensée, à cet instant, il se trouvait en face des véritables chefs de ces robots, qui n'étaient donc bien que de simples exécutants. C'est tout dont il se souvint, sur ce point précis. ( Voir le dessin ci-joint, exécuté par M.D. J'ai eu le même, que j'ai…égaré. Heureusement, GILDAS BOURDAIS a pu obtenir ce même dessin de la part du témoin, il vous est communiqué en annexe. Impressionnant ! ) L'information, la voici : J.C. Venturini expliqua toute cette histoire à M.T. de Brosse, qui fut intéressée et intriguée par ce cas. Elle eut l'opportunité de se faire accompagner par une télévision américaine, le témoin principal ayant accepté ce dispositif. M.T. de Brosse, comme chacun sait, très au fait des cas d'abduction, admit à la suite de cet entretien que M.D. avait réellement vécu une expérience tout à fait étonnante, que ce témoin était sans nul doute absolument sincère. La première anecdote, concerne ma visite à la directrice de l'Ecole d'Haravilliers. Pourquoi donc allai-je la voir ? En tant que collègue, pour lui faire un petit coucou, lui expliquer ce qui s'était passé, l'enquête en cours, et éventuellement, ce qui m'intéressait au plus haut point, de savoir si quelque information à haute étrangeté lui était remontée de la part de ses parents d'élèves. J'avais cela dans la tête quand j'arrivais à l'école. Et là, quel ne fut pas mon immense étonnement : toutes les classes de l'école, les communs, absolument tous les volumes étaient recouverts, jusqu'aux plafonds, de dessins d'ovnis, de mobiles représentant des soucoupes volantes, de silhouettes d'extra-terrestres, tout le monde vivait cela avec naturel et dans une ambiance bon enfant ; Je fus complètement sidéré. Je demandai évidemment des explications. Il n'y avait pas eu, hélas, de remontée d'information particulière. Par contre, grâce à l'article du journal, tout le monde était évidemment au courant, et les enseignants de l'école avaient trouvé intéressant de faire de ce thème un projet de réalisation pédagogique incluant textes, dessins, et fabrications d'objets. Apparemment, nul parent ne fut choqué ! Une info encore, vous voyez, ce n'est jamais fini, les surprises, sur ce cas : M. le Maire, à l'époque, me confia, dessin à l'appui, qu'il était très perplexe devant une situation qu'il avait bien du mal à gérer : après cette histoire, dans le même quartier, il y eut quinze maisons qui furent mises en vente en même temps. Les acheteurs potentiels venaient le voir en Mairie pour lui demander des explications sur cette étonnante situation…. Avant de conclure, je voudrais signaler aussi que ce cas n'est peut-être pas à abandonner. Le site d'Haravilliers semble propice à des manifestations à haute étrangeté, et je vous invite fortement à nous aider à organiser des veilles sur le plateau du Vexin, dans le périmètre de ce site. En effet, il faut savoir que l'année qui a suivi cette enquête, j'ai été contacté par le père de la petite fille, parce qu'une de ses parentes avait eu une expérience traumatisante dans le même secteur, avec des phénomènes qui ont fait l'objet d'une nouvelle enquête, parue dans LDLN N°355 ( p.8 et 9), avec une mise au point sur la quatrième de couverture du N°356..( « ce n'était pas des tracteurs » ). Ce dernier article est beaucoup trop lapidaire, je publierai aussi ce cas avec beaucoup plus de détails sur cette dernière partie. Enfin je signale que trois personnes souvent présentes dans les réunions de repas ufologiques, m'ont déclaré il y a deux mois, qu'elles s'amusaient à faire des veilles sur des sites ayant connu de gros témoignages, qu'elles n'ont jamais rien vu elles-mêmes, sauf dans l'unique veille qu'elles ont organisée à Haravilliers, et que le spectacle de ces lumières virevoltantes de partout, elles n'en sont pas encore revenues. Et c'est donc tout récent…

Une anecdote

Je voudrais terminer ce rapport par une anecdote qui, j'en suis certain, résonnera en vous comme une « illumination », à moins que vous soyez déjà convaincu par d'autres exemples, et cette illumination, moi, je l'ai eue à la faveur de ce témoignage. Voilà de quoi il s'agit : je viens d'écrire que M.D. avait des ressentis de courants d'énergie, en particulier au niveau de ses mains. Il le dit un jour comme cela, autour de lui, car son expérience trop forte l'empêchait d'être complètement muet par rapport à son voisinage immédiat. Et voilà ce qui arriva : M.D. avait bien des difficultés à ne pas évoquer auprès de ses voisins ce qui lui était arrivé. Auparavant, il était tellement discret, et maintenant, il était dans le profond besoin d'extraire par les mots tout ce vécu qui, il le disait, avait bouleversé sa vie pour le compte…Il avait eu son compte, et c'était à porter pour le restant de sa vie. Cela le rendait vraiment furieux et fasciné à la fois, une telle expérience aussi hors norme, c'était quelque chose d'insondable, d'inqualifiable. Aussi, un jour, une dame du quartier se présenta chez lui. Elle lui expliqua sa maladie-grave- et tout à coup elle l'invoqua, le supplia, lui déclarant qu'une telle expérience lui avait donné des pouvoirs particuliers, et qu'il pourrait la soigner, du moins la soulager, elle était prête à devenir sa disciple inconditionnelle… M.D. fut stupéfait. Il me raconta cette anecdote en me précisant ceci, à peu près dans ces termes : « M. Deforge, je sens que si j'avais voulu, j'aurais pu réunir autour de moi plein de gens ayant des problèmes, et j'aurais pu leur raconter n'importe quoi, j'aurais pu devenir un « Gourou », un messager attendu et entendu…Mais cela ne m'intéresse pas du tout. La seule chose que j'ai envie, c'est qu'on me laisse vivre ma retraite en paix, auprès de ma famille. C'est tout ce que je veux. Et qu'on me fiche la paix, vraiment, j'ai eu ma dose… » Cette anecdote m'offrit l'occasion extrêmement concrète de réfléchir plus avant sur les mécanismes qui président à la naissance des sectes, et, peut-être même, des religions. Le comment de tout cela nous est donc probablement accessible, surtout avec les récents progrès concernant le fonctionnement physico-chimique du cerveau. Reste l'éternelle et terrible question… C'est le… « pourquoi ? »

ANNEXE 1 Lumières Dans La Nuit N° 349, P.35

Vous trouverez dans LDLN N° 349, P.35, le récit d'une vision que M.D. me rapporta. Cela se produisit le 13 mai 1998, vers 0H 50, heure locale, Voir aussi sur cette dernière enquête, LDLN N° 352, p. 22., LDLN N°356, P.43. Cela fut visible depuis le balcon de son appartement. ( Il s'agit d'un état de la pleine lune, ou quasi-je n'ai pas vérifié la lunaison de ce jour- qui se trouva alors traversée de part en part, et largement débordant, par une flèche lumineuse. Ensuite, une étoile apparut, qui « tomba » en se balançant telle « une feuille morte », en 6 « paliers », avant de disparaître « plus bas » sous forme d'une explosion silencieuse et étincelante ).

ANNEXE 2 - l'enquête de Gilles PINON

L'Affaire d'Haravilliers (Complément d'enquête, effectuée par M. le Contre Amiral Gilles Pinon *) Témoignage de Monsieur K recueilli à Ga…… le 26 janvier 2004

« L'affaire d'Haravilliers est remarquable par bien des aspects : la dimension, la structure et la cinématique de l'Ovni ; la qualité des témoins, leur nombre, leur dispersion et les troubles physiologiques dont ils eurent à souffrir. Nous sommes manifestement en présence d'une rencontre rapprochée du deuxième type puisque le passage de l'ovni est accompagné d'effets physiques sur l'environnement et psychiques sur les témoins. Vraisemblablement s'agit-il aussi d'une rencontre rapprochée du quatrième type car le récit du témoin principal comporte les réminiscences d'un enlèvement à bord d'un véhicule extraterrestre. La personnalité des quatre témoins ne laisse aucun doute sur leur sincérité et les effets physiques sur la réalité des faits qu'ils ont rapportés. Gérard Deforge a conduit l'enquête pour le compte de LDLN avec tout le sérieux qu'on lui connaît.( Rappelons que Jacques Vallée a participé à l'audition des principaux témoins, dont M.K.- note de G.D.). N'ayant pu joindre autrement que par téléphone le conducteur de la Mercedes, que nous appellerons Monsieur K, il m'a demandé de chercher à le rencontrer à Gar…, dans le Var, là où il est retiré. Bien que n'ayant aucune expérience particulière en investigation ufologique, c'est bien volontiers que je me suis rendu chez M. K tant l'affaire me paraissait à la fois exceptionnelle et exemplaire. L'entretien eut lieu le 26 janvier 2004. Il a confirmé pour l'essentiel les données factuelles et les commentaires des articles de Gérard Deforge. Monsieur K est un homme aimable et accueillant, s'exprimant clairement et posément. Avant sa retraite, il travaillait au service du contrôle de la qualité chez Dassault. Voici les faits importants qui sont survenus pendant le passage de l'ovni à la verticale de la Mercedes et dont il gardé un souvenir précis :

  • fort vrombissement de basse fréquence presque assourdissant,
  • éclairage du capot par des cercles de couleur de la taille d'un œuf,
  • énorme masse noire observée à travers le toit ouvrant transparent demeuré fermé,
  • vitesse de déplacement des cercles colorés et de la masse noire de l'ordre de 1 mètre par seconde,
    plongeon de l'ovni derrière les maisons du hameau.

M .K a cru à un crash. Il a pensé qu'il devait sortir de sa voiture pour porter secours ; mais il ne l'a pas fait et ne comprend pas aujourd'hui pourquoi il ne l'a pas fait. Il se souvient avoir mis la main sur la poignée de la portière pour sortir, et puis plus rien, plus aucun souvenir jusqu'au moment où le témoin principal, M.D, frappe à sa portière. Ni M. K ni M. D n'ont pensé à évoquer l'événement lorsqu'ils se sont retrouvés au point de rendez-vous. Ce n'est que dans l'après-midi, après le repas, qu'ils en ont parlé succinctement. M. K ne s'est préoccupé de ce qui lui est arrivé ce jour-là que trois semaines plus tard , comme s'il avait été l'objet d'une sorte d'inhibition l'empêchant de se souvenir et de se s'interroger. Il parle de cette rencontre extraordinaire calmement, sans émoi aucun. Ce n'est que lorsqu'il évoque le vrombissement de l'ovni qu'il est gagné par l'émotion. « C'était un bruit sourd si impressionnant que je ne pourrai jamais l'oublier », précise-t-il. Pendant les cinq ou six semaines qui ont suivi, une boussole présentée sur le côté gauche de la Mercedes montrait une inversion de polarité et sur le côté droit aucune inversion. Une boussole présentée à proximité immédiate de la voiture de M. D montrait une inversion de polarité des deux côtés.


Précisons enfin que M. K croit depuis son enfance à l'existence des ovnis et à leur interprétation extraterrestre. Cela explique, est-il convaincu, qu'il ait vécu assez paisiblement cette singulière aventure, sans traumatisme aucun. »

* Auteur du livre : « FATIMA, un OVNI pas comme les autres ? » - éd. Osmondes


Source et complément d'information sur la formation d'enqueteur en Ufologie:



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08/08/2011
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