Des civilisations évoluées en Océanie deux fois plus anciennes que les Pyramides d'Egypte
Des civilisations évoluées en Océanie deux fois plus anciennes que les Pyramides d'Egypte
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RUINES DANS LE PACIFIQUE
L'océan pacifique nous révèle aujourd'hui beaucoup de mystères
De nombreuses ruines viennent confirmer, à travers les îles du Pacifique, la floraison passée d'une haute civilisation. Il existe des constructions de même conception sur des îles lointaines de plusieurs milliers de kilomètres. Elles pourraient précéder les pyramides d'Égypte de près de 5000 ans. Jusqu'à récemment, les chercheurs les plus en pointe pour ce qui est des grands bâtiments antiques dans le monde étaient généralement d'accord sur le fait que les édifices les plus anciens ayant une taille et une complexité architecturale importantes, les pyramides d'Égypte, n'avaient pas plus de 5000 ans. La ceinture de feu qui entoure le Pacifique ne serait que la gigantesque cicatrice marquant les limites d'une formidable collision remontant à douze mille ans. |
Le débat demeure ouvert quant à la réalité historique d'un continent perdu. Si celle-ci est admise, on imagine le nombre de questions auxquelles il faudra alors répondre ! Les éléments disponibles sont moins nombreux que ceux qui militent en faveur de la réalité de " l'Atlantide " ou du continent " Mu ". Mais il reste sans doute beaucoup a découvrir dans les archipels des mers du Sud... |
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Sa datation a révélé que l'édifice remontait à au moins 8000 ans av. jc
La petite île de Yonaguni est une des îles de "Yaeyama" au sud-ouest d'Okinawa, c'est le point le plus occidental du Japon, située à l'est et très proche de Taiwan. Yonaguni est géologiquement plus lié à Taiwan qu'au Japon (on a aussi découvert des ruines sous-marine à Taiwan dans les eaux de Penghu islands). Les structures de Yonaguni fut tout d'abord découverte, par 22 mètres de fond, par des plongeurs. Les populations de la zone pensaient que c'était une construction naturelle. |
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Le professeur Masaki Kimura, un géologue de l'université Ryukyu à Okinawa, qui fut le premier scientifique à étudier le site, a conclu que la mystérieuse structure de 5 étages avait été bâtie de la main de l'homme. "Cet objet n'a pas été façonné par la nature. Si cela avait été le cas, on pourrait s'attendre à trouver des débris dus à l'érosion autour du site, mais il n'y a pas de fragments de roche ici . La découverte de ce qui apparaît être une route entourant la construction est une autre preuve de la nature artificielle du bâtiment. Elles pourraient précéder les pyramides d'Égypte de près de 5000 ans ". Le professeur a aussi déclaré lors d’une interview en septembre 1999 que l’on pouvait clairement voir qu’elles étaient des constructions faites par l’homme. Elles avaient des rues, des escaliers à angle droit avec des trous ronds dans le rocher qui semblaient prévus pour l’insertion de piliers de pierre, etc. |
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Jusqu'à récemment, les chercheurs les plus en pointe pour ce qui est des grands bâtiments antiques dans le monde étaient généralement d'accord sur le fait que les édifices les plus anciens ayant une taille et une complexité architecturale importantes, les pyramides d'Égypte, n'avaient pas plus de 5000 ans. |
La découverte d'une statue de tête humaine, qui ressemble beaucoup aux têtes Olmèques ou aux Moas de l'île de Paques et des hiéroglyphes était particulièrement convaincante du fait que les ruines au sud de L'île Yonaguni tirent leur origine d’une civilisation préhistorique. |
D'autres structures ont été trouvées dans la région, d'une distance de 500 kilomètres entre Yonaguni et Okinawa. Elles incluent des rues pavées et des carrefours, d'énormes autels, des escaliers menant à de larges places, des pylônes... |
Des géologues de l’Université de Ryukyu, impliqués dans cette étude ont conclu que c ‘étaient des constructions faites par l’homme, et qu'elles n’avaient pas une origine naturelle. Autrement, il y aurait un tas de pierres du à l’érosion, et cependant pas une seule pierre n’a été trouvée. De plus, il y avait des vestiges ressemblant à des rues entourant la pyramide, ce qui indique aussi que ce n’était pas un résultat naturel. Des plongeurs géologues de l’Université de Boston aux Etats Unis ont découvert que les escaliers géants étaient construits avec des séries de couches de rochers d’un mètre de haut, qui ressemblaient à des pyramides avec des escaliers. Bien que l’on puisse émettre l’hypothèse qu’une telle structure fut formée par des rochers brisés par l’érosion de l’eau, des éléments d’escaliers aussi bien taillés, résultant d’un processus naturel, n’ont jamais été trouvés. Les archéologues de l’Université de Londres pensent que les constructeurs devaient être au moins au niveau des anciennes civilisations telles que celles de la Mésopotamie et de la Rivière Indienne . |
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Les cercles en pierre, du " labyrinthes de Kerama ", aux profondeurs de 27 et 33 mètres. On ne l'a pas encore déterminé si ce sont des phénomènes naturels ou des structures travaillés. Cette terre était pour la dernière fois au-dessus de niveau de la mer il y a environ 10.000 ans. La disposition de ces pierres fait penser aux ruines sous-marines des Bahamas de lîle de Bimini et l'île d'Andros aux Caraîbes ainsi que " L'oeuf centre du monde " sur l'île de Paques. |
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Les trous circulaires synthétiques sont sur le sommet d'un petit bâti 5 et 20 mètres sous l'eau pas loin de la côte d'Aguni. Il est possible que ces trous ont été des puits, quand le sommet du bâti était au-dessus de l'eau. Des îles ont été souvent employées comme cimetierres il est possible que ces trous soient des tombes. Cela expliquerait pourquoi certains ont deux chambres, une verticale en bas, et une horizontale decôté, la manière la plus simple pour un deuxième enterrement dans le même espace sans déranger le premier. |
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Le mur de l'Ancienne ville sous marine de Hujing
Dans la profondeur de l'eau entre 25 à 30 mètres, il y a des murs plats de roche s'étendant sur plus de 100 mètres sur environ un mètre de hauteur et 50 centimètres d'épaisseur. Les murs sont disposés dans une direction est-ouest. Certaines des sections murales ont des pavés arrondis la longue formation linéaire de la structure sous-marine de roche provient certainement de travaux et n'est probablement pas naturel. Selon des scientifiques, il y a des explications normales pour les formations de roche linéaires. Le professeur Tsao Nu-chung, chef de section à l'enquête géologique centrale de Taiwan, a dit que les basaltes d'inondation et d'autres types d'éruptions volcaniques de lave peuvent également créer ces formations linéaires, dues aux joints inhérents et aux structures planaires des roches plutoniques. |
Ces ruines sont peut être celles de la civilisations perdues et légendaires des eaux de Penghu, entendues dans de vieux folklores et mythes taiwanais. Elles auraient entre 7.000 ans et 12.000 ans. |
L’ancien mur était en forme de croix. Les mesures au compas montrent qu’il indique avec exactitude les directions nord-sud et ouest est à angle droit. Le mur fut principalement construit en pierre de basalte et était recouvert d’algues. Il avait environ 160 mètres d’ouest en est, et environ 180 mètres du nord au sud. Il est épais d’environ 1.5 mètres sur le haut et d’environ 2.5 mètres sur le bas. Certaines parties sont inégales à cause de l’érosion, cependant les interfaces entre les pierres sont très serrées. Au nord, il y a une construction ronde en forme d’assiette. Le diamètre du mur extérieur est de prés de 20 mètres, avec un mur intérieur de prés de 15 mètres. A ce moment, quelques personnes pensèrent que la cité engloutie était en réalité une extension de Huljing s’enfonçant dans la mer. Cependant, les recherches des géologues indiquèrent que si le mur était formé de rochers naturels, il aurait été intact et d’une seule pièce. D’un autre coté, s’il était de la main de l’homme, il devrait avoir des parties distinctes. De plus, si le mur est très long et droit, il est très probablement construit par l’homme. Spécifiquement , les pierres sont toutes de tailles similaires, avec des angles droits, et un enduit entre les pierres. De même, les endroits creux sur le mur étaient en forme de croix, avec des interfaces plates et lisses. Ceci correspond totalement aux standards de construction d’aujourd’hui. Graham Hancock, un écrivain anglais, est reconnu dans le monde entier pour ses livres, comme Les Empreintes des Dieux. En août 2001, lui et sa femme ont rejoint les chercheurs chinois et japonais pour explorer cette région. Il a expliqué que les pierres de la cité sous-marine engloutie sont clairement différentes des structures de pierres naturelles, en faisant plus probablement une construction d’origine humaine. Apparemment, les pierres de la cité sous-marine engloutie de Hujing sont positionnées exactement du nord au sud, et de l’ouest à l’est. Ces pierres ont aussi des surfaces plates et lisses; Elles sont alignées de façon si serrée que seul un couteau fin peut s’infiltrer entre les joints. L’opinion de Hancock est que ceci est de la main de l’homme et ne peut pas être un produit naturel. |
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La maison en pierre de Taga
Aux îles Mariannes les ruines de grandes colonnes en pierre angulaire hémisphérique, ressemblant à des champignons. Ces pierres droites sont disposées dans de doubles rangées de 6 à 14 pierres. C'est la maison du chef Taga. |
L'île de Tinian a deux des plus grands megalithes encore debout. Les piliers sont de 5.5 m de circonférence à la base et de 4.5 m au dessus. Ils sont haut de 3.7 m et soutiennent des bases de 1.5 m de hauteur et 1.8 m de diamètre. Chaque monolithe de corail pèse environ 30 tonnes. Il y avait à l'origine 10 piliers disposés dans deux rangées parallèles. Selon la légende, quand la dernière pierre tombera, le chef reviendra sur Tinian ... |
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Des mégalithes faits de blocs basaltiques bleu-noir en forme de prismes hexagonaux et disposés en croix.
Le site de Nan-Madol sur l’île de Ponape (Pohn-ah-pay) à 6°58 Nord et 158°13 Est. Sur cet archipel des Carolines, furent accumulés des mégalithes faits de blocs basaltiques bleu-noir en forme de prismes hexagonaux et disposés en croix comme les bûches d'une hutte, de plus de 12 m. de haut et de 5 m.50 d’épaisseur. (Les constructeurs de ces enchevêtrements basaltiques surprenants de Nan Madol auraient, dit-on, utilisé de simples radeaux pour transporter ces prismes de plus de 3m de long pris dans d'autres îles à plus de 15 miles de là.). |
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À l'intérieur de la muraille externe il y avait une enceinte interne. La raison d'être de cette immense double enceinte "Naudauwas" était manifestement de protéger et honorer les restes des Saudeleurs dont la tombe était recouverte des mêmes grosses poutres de basalte. Il ne reste plus rien aujourd'hui. Plusieurs Saudeleurs et les Nahnmwarki qui leur ont succédé furent inhumés ici. |
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Les vestiges de la cité d' Insaru
La ville antique en pierre géante d'Insaru sur l'île de Lelu, qui se trouve à côté de Kosrae (à l'est des îles Carolines), a été construite de murs et d'énormes pyramides de basalte, avec un réseau de canaux reliant les batiments et les îles voisines. On y trouve également des routes pavées. |
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Les ruines sont très semblables à celles de Nan Madol mais pmoins étendues. Certains des murs sont plus de 6 m de haut, et les blocs megalithiques de basalte pèsent jusqu'à 50 tonnes. Considérant que les ruines de Nan Madol légèrement enfouies, les structures de Lelu semble elles s'être levé légèrement, puisque les canaux sont presque secs. D'où viennent les pierres est un mystère; la légende indique que la ville a été construite dans une nuit par deux magiciens. |
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Des terrasses et des collines pyramidales
Sur les îles de Palau (ou Belau) en Micronésie, à l'ouest des Carolines, plus de 5% de la surface de la terre est en terrasse et les collines entières ont été sculptées pour ressembler à des pyramides. Certaines des terrasses sont de 4.5 m ou plus de haut et souvent de 9 à 18 m de large. Les terrasses ne comportent pas du tout dans des traditions orales locales, et personne ne sait qui et pourquoi on les a construites. |
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400 larges tumulis vieux de 3000 ans
L'île des pins, à 65 km de la pointe méridionale de la Nouvelle Calédonie, est parsemée d’environ 400 tumulus, ou tertres de sable et de gravier, de 2,50 à 3 mètres de haut, et de 90 mètres de diamètre. Au début des années 1960 le musée de la Nouvelle-Calédonie à Nouméa, entreprit des fouilles dans quatre des tumulus. |
Ces tertres renferment un étrange contenu. Au centre de trois d’entre eux, on découvrit une colonne debout, en ciment, et dans le quatrième, deux piliers côte à côte. Mais, on ne découvrit ni os, ni charbon de bois ou autres vestiges d’une présence humaine. |
La datation au Carbone 14 des coquillages ont rapporté des dates de 5120 à 10.950 av. J.C. La date ultérieure est environ 3000 années plus tôt que celle où des humains sont censés avoir atteint le sud-ouest Pacifique dans la zone indonésiene, les plus anciennes traces archéologiques attestent d’un peuplement de la Nouvelle-Calédonie vers 1300 avant notre ère (période de Koné). Cependant, il y a quelques années, on a retrouvé sur la côte nord de la Nouvelle-Guinée, de la céramique datée de 3000 ans avant notre ère. |
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Le trilithon de Ha’amonga et les ruines d'un port
L'île de Tongatapu dans les îles du Tonga possède la seule voûte megalithique du Pacifique du sud : Le trilithon de Ha'amonga. Chacun des piliers de corail mesure 4.9 m de haut et pèse environ 50 tonnes. Le linteau, qui est placé dans des cannelures de pierres droites, est de 5.8 m de long et pèse environ 9 tonnes. |
Le centre cérémonial de Mu'a (autrefois Lapaha), une ville de canaux sur Tongatapu, a beaucoup de plateformes megalithique (connues sous le nom de langi). La zone centrale de Mu'a a été entourée par un canal (ou un fossé) gigantesque. Les roches antiques massives du côté de lagune de Mu'a indiquent que par le passé de gros navires se sont amarés ici, dans un port ! |
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Des temples en forme de pyramide et des routes
Sur l'Île de Malden (une des îles de la République de Kiribati, maintenant inhabité, possède quelques 40 plateforme temples pyramidaux, de 3 à 9 m d'hauteur, 6 à 18 de large, et 27 à 60 m de long, avec des traces des routes pavées menant vers la mer. |
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Une route antique fait le tour de l'île
Sur l'île de Rarotonga, la plus large des îles Cook, le perçage des oreilles et prolongement des lobes étaient de vieilles coutumes, de même que sur l'île de Pâques, en Inde antique, et au Pérou. Le dialecte de Rarotonga est proche de la langue de Rapanui. |
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Les Marae Mahaiatea
Des plateformes tronquées et pyramidales, les marae existent dans l'ensemble des îles de la société, des pierres megalithiques, soigneusement formées et adaptées. La plus grande de toutes les structures en pierre polynésiennes étant le Marae Mahaiatea à Tahiti. Aujourd'hui détruite, son aspect global était une pyramide possèdant un large toit plat. |
- Le Marae Taputapuatea de Raiatea (la plus grande des îles sous le vent) est long de 7.3 m de large, et jusqu'à 3.7 m de haut. Il a été construit au-dessus d'une plateforme plus ancienne. Il est l'une des plus grandes et meilleures plateformes préservées dans toute la Polynesie et l'un des sites les plus sacré. |
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vallée de Taaoa |
Vahangeku’a Tohua, Nuku Hiva. |
Massif de Te I’ipona |
On a partiellement reconstitué plus de 1000 paepae (plateformes sur lesquels des maisons ont été construites), grand tohua (centre cérémonieux public), et plusieurs me'ae (plateformes sacrées tabou au public). Certaines des plateformes sont de 120 m de long et de 30 m de large, et contiennent des blocs cyclopéens de basalte pesant plus de 10 tonnes. Cependant, aucune maçonnerie comparable à Ahu Vinapu sur l'île de Pâques n'a été trouvée. |
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Des collines découpées en terrasses
Sur l'île de Rapa, également connu sous le nom de Rapa Iti (petit Rapa) pour le distinguer de Rapa Nui (grand Rapa, c.-à-d. l'île de Pâques). Les collines sont découpées avec des terrasses envahies de végétations et de pyramides mystérieuses. On ne le connaît pas qui a fabriqué ces structures... |
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SOURCES ET LIENS |
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