VIDEO : La NASA et les français viennent de dire qu'on a 100 % de trouver une vie extraterrestre dans moins de 20 ans

 

VIDEO : La NASA et les français viennent de dire qu'on a 100 % de trouver une vie extraterrestre dans moins de 20 ans.

Voir la Vidéo ci-dessous :

http://www.dailymotion.com/video/x1sv1s_nasa-vie-extraterrestre-100_tech

 

 

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Le 9 juillet 2007 à 13h38
 
 

En bref : vie extraterrestre, cherchons-nous dans la bonne direction ?

Par Jean Etienne, Futura-Sciences

Dans un rapport publié aujourd'hui (disponible en anglais), un groupe de scientifiques rappellent que la vie n'est vraisemblablement pas apparue que sur Terre, même si aucune preuve formelle de l'existence d'une intelligence extraterrestre n'a pu être démontrée à ce jour.

Tous les organismes vivants font appel à une utilisation commune de l'ADN pour encoder l'information génétique et utilisent les 20 mêmes acides aminés pour construire des protéines. En outre, leur fonctionnement repose invariablement sur une chimie à base de carbone utilisant l'eau comme solvant universel.

 

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Le 26 mars 2006 à 12h09
 

Et si la Terre avait semé la vie dans le système solaire ?

Par Tech & Co

La vie extraterrestre pourrait bel et bien exister, on le sait… Mais son origine serait-elle la Terre, tout simplement ? Les impacts d'objets célestes sur la surface de notre planète auraient« projeté » des bactéries dans l'espace.

On reprend l'histoire de la vie, à l'envers. Selon une théorie bien ancrée, des bactéries ou plus largement des molécules organiques ont fécondé la Terre, transportées par des météorites et des comètes venant de l'espace. Il s'agit de la fameuse théorie de la panspermie, lancée en 1905 par le physicien suédois Arrhenius. Une équipe de chercheurs en planétologie de l'université de British Columbia, au Canada, a affirmé le contraire par l'entremise du physicien Brett Gladman (1) , spécialiste du système solaire.

Ce scientifique a présenté ses résultats lors des 37emes journées LPSC (Lunar and Planetary Science Conference) tenues du 13 au 17 mars derniers à League City au Texas, sous l'égide du Lunar and Planetary Institute, soulevant un débat entre scientifiques rapporté par le site Nature.com : la Terre pourrait être à l'origine de la propagation de la vie dans l'espace, ou en tout cas en être un relais.

Europa et Titan bombardées par la Terre

On sait déjà que des impacts sur Mars ou sur la Lune ont pu provoquer la chute de petites météorites résultantes sur notre planète. Les chercheurs ont simulé par informatique l'éjection de matière terrestre à l'issue d'un choc imaginaire de l'ampleur de celui qui a provoqué il y a 65 millions d'années un cratère géant au large de la presqu'île du Yucatan (à l'origine de l'extinction des dinosaures).

Le modèle permet de suivre à la trace les millions de fragments nés de l'impact. Certains auraient-ils pu atteindre Europa, satellite de Jupiter, ou Titan qui tourne autour de Saturne, dont les conditions sont réputées favorables à la vie ? Bien que la probabilité soit très faible, la simulation a montré que sur une période de cinq millions d'années, une centaine de d'objets céleste issus de chocs terrestres ont pu heurter Europa, et trente rencontrer Titan… Cela suffit pour se poser la question : la Terre, bombardant ses voisines, a-t-elle semé la vie ?

De nombreux problèmes ont toutefois été soulevés. Ces fragments pourraient-ils voyager loin, et parcourir de plus grandes distances pour atteindre les confins du système solaire et y semer des bactéries ? Est-ce que des bactéries transportées résisteraient à la fois à l'accélération résultant de pareils chocs, et aux élévations soudaines et extrêmes de température ? D'après des microbiologistes de l'université de Floride, qui se sont livrés avec la NASA à des essais d'impacts à très haute vitesse sur des bactéries, cela est tout à fait possible.

Conclusion (provisoire) des chercheurs présents aux journées : de toute façon, cette nouvelle théorie procède de la même vision que la panspermie, à savoir la dissémination de la vie de place en place dans le cosmos…

(1) News@Nature (Mar 2006)
Pour en savoir plus :
www.astro.ubc.ca/people/gladman/
www.lpi.usra.edu

Vue d'artiste d'un impact de météorite
Vue d'artiste d'un impact de météorite
 
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Le 4 janvier 2006 à 15h31
 

De la vie sur Mars ! Oui, mais terrienne...

Par Christophe Olry, Futura-Sciences

Alors que les Rovers Spirit et Opportunity écument la planète rouge depuis plus d'une année martienne à la recherche de traces de vie, l'environnement proche des astromobiles et des sondes envoyés par le passé sur Mars présente un nombre élevé de bactéries. La preuve d'une vie martienne ? Non ! Simplement, la preuve d'une contamination de Mars par les différentes missions qui s'y sont succédées. Si leur durée de vie est très faible dans un milieu aussi hostile, il semblerait que la NASA doive revoir sa copie concernant la stérilisation de ses sondes. En tous cas, quand les prochains véhicules qui rouleront sur Mars découvriront une forme de vie, les résultats seront à prendre avec des pincettes : vie martienne ou vie terrestre sur Mars ?

Un milliard de spores de bactéries a été transporté sur la planète rouge par les différentes missions martiennes De la vie terrienne sur Mars ? (Crédits : NASA)
Un milliard de spores de bactéries ont été transportés sur la planète rouge par les différentes missions martiennes
De la vie terrienne sur Mars ?
(Crédits : NASA)

De la vie sur Mars !

Un milliard ! A en croire les conclusions d'un rapport d'experts, c'est le nombre de spores de bactéries transportés de la Terre vers Mars au cours des nombreuses missions qui se sont succédées sur la planète rouge. Bien sûr, ceux-ci sont concentrés dans leur zone d'atterrissage ou ont été semés au cours de leurs tribulations sur Mars.

Déjà, en juillet 2005, un premier rapport intimait la NASA de multiplier les précautions pour empêcher des bactéries terriennes d'embarquer à bord des sondes et de contaminer la planète rouge. Et ce, à cause de la découverte d'eau liquide sous la surface de Mars, qui pourrait leur permettre de subsister, voire de prospérer. Le rapport précisait que la survie ou la prolifération de ces bactéries pourrait, à terme, interférer avec les recherches en cours ou à venir de traces de vie sur Mars. « Les techniques existantes pour nettoyer les véhicules sont dépassées et n'éliminent qu'une fraction des micro-organismes » avait ajouté à ce sujet le comité d'experts.

Les techniques de stérilisation des sondes et satellites sont multiples : passage d'un chiffon imbibé d'alcool sur toute la surface des engins spatiaux, chauffage de la structure ou irradiation afin de supprimer tout reliquat de bactéries. La NASA utilise actuellement des techniques d'imagerie qui détectent les bactéries résistantes aux hautes températures et réduit leur nombre en « nettoyant » les structures. Cependant, ces méthodes d'imagerie ne permettent pas de connaître avec précision à quel type de bactéries les opérateurs ont à faire, et ces derniers ne peuvent porter à haute température que les structures susceptibles de résister à ce traitement.

Les méthodes actuelles de stérilisation des sondes et satellites ne semblent pas venir à bout de toutes les bactéries (Crédits : www.bu.edu)
Les méthodes actuelles de stérilisation des sondes et satellites ne semblent pas venir à bout de toutes les bactéries
(Crédits : www.bu.edu)

Des bactéries plus tenaces que prévu

Il apparaît donc que ces techniques sont insuffisantes, mais aussi que la ténacité de nos bactéries terriennes sur Mars soit plus grande qu'escomptée.

Si les chercheurs sont d'accord sur la faible durée de vie des bactéries dans un milieu extrême comme celui de la planète rouge, notamment en raison des températures très faibles qui y règnent et des fortes concentrations de sel, la découverte d'eau liquide dans le sous-sol de Mars laisserait penser que des organismes issus de la Terre pourraient y subsister : « Les récentes missions sur Mars ont montré que la planète pourrait avoir un environnement propice au développement de bactéries terriennes. » a déclaré Christopher F.Chyba, professeur d'astrophysique à l'université de Princeton. « Néanmoins nous ne sommes pas sûrs que cela (NDLR : la survie de bactéries terriennes sur Mars) puisse arriver. Nous devons déterminer quelle quantité d'eau liquide se trouve dans le sous-sol de Mars, ainsi que la nature des micro-organismes qui subsistent dans nos salles de stérilisation et sur nos sondes. »

A son décollage de Cap Canaveral, le mardi 9 Juin 2003, combien de bactéries étaient encore présentes sur Spirit ? (Crédits : NASA)
A son décollage de Cap Canaveral, le mardi 9 Juin 2003, combien de bactéries étaient encore présentes sur Spirit ?
(Crédits : NASA)

Des recherches sont en cours

L'agence spatiale américaine a planifié le développement de nouvelles techniques de décontamination pour 2016. Les rapports lui suggèrent de soutenir la recherche dans ce domaine, notamment les techniques d'analyse ADN des organismes détectés et leur mise en relation avec les espèces microbiennes connues, afin de développer des méthodes de stérilisation spécifiques. L'agence pourrait également développer les techniques de décontamination par irradiation ou avoir recours à des vapeurs désinfectantes, afin d'adapter le traitement aux différentes structures.

Cliché aérien de la région d'"Husband Hill", actuellement traversée par Spirit(Crédits : NASA/JPL-Caltech/MSSS)
Cliché aérien de la région d'"Husband Hill", actuellement traversée par Spirit
(Crédits : NASA/JPL-Caltech/MSSS)
 
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Le 21 septembre 2005 à 07h07
 

Des niches biologiques sur Titan : la vie ailleurs que sur Terre ?

Par Rémy Decourt, Flashespace

L'apparition de la vie sur la planète Terre il y a bien longtemps est issue d'un processus si complexe que l'on en oublierait presque que les organismes vivants sont d'une simplicité étonnante et dont la structure est commune à toutes les espèces.

Aujourd'hui, un faisceau d'indices tend à démontrer que la vie a pu ou peut se développer ailleurs dans le Système Solaire que sur Terre. On connaît Mars mais des régions éloignées du Soleil semblent également propices à son apparition.

Depuis le survol de Titan par Voyager, cette lune de Saturne a fasciné les astrobiologistes en raison de ses similitudes apparentes avec la Terre primitive lorsque la vie est apparue pour la première fois. L'atmosphère épaisse de Titan est composée essentiellement d'azote et de molécules organiques, éléments que l'on sait être indispensables à la vie. S'il est certain qu'une chimie organique se passe en direct sur Titan, c'est une ineptie de la présenter comme une analogie avec la Terre, il y a quelques 4 milliards d'années. La Terre n'a jamais été comme Titan. Elle n'a jamais connu une période aussi froide que celle qui perdure sur Titan et son atmosphère primitive est très différente de celle de Titan aujourd'hui. Le gaz dominant était le CO2, comme sur Mars et Vénus, alors que sur Titan, c'est l'azote qui domine suivi du méthane.

Mais si aujourd'hui on considère Titan comme propice à favoriser un tel processus, cela n'a pas toujours été le cas. Par le passé, les scientifiques l'ont considéré comme bien trop froide pour héberger une quelconque forme de vie, aussi insignifiante soit-elle. Avec une température d'environ - 178° les réactions chimiques nécessaires pour former les briques initiales du vivant apparaissaient bien trop lentes pour permettre à la vie d'éclore.

Or, les scientifiques les plus pessimistes ont été contraints de changer d'opinion après de récentes découvertes sur Terre qui ont permis de découvrir une multitude de niches biologiques dans des régions extrêmes où évoluaient des organismes très vieux. Que ce soit sur les planchers océaniques où dans les régions polaires, des organismes vivants ont été observés s'affranchissant de leur environnement.

Un faisceau d'indices

Ces découvertes ouvrent de nouvelles perspectives quant à la faculté que la vie ait pu évoluer ailleurs dans le Système Solaire notamment dans ses régions les plus éloignées comme sur Europe, Encelade et bien sûr Titan. Aujourd'hui, nombreux sont les scientifiques à penser que des niches biologies existent sur Titan. Plusieurs scientifiques du SwRI ont récemment démontré que certaines des conditions nécessaires à son apparition existaient sur Titan. On pense à des réservoirs liquides, des molécules organiques et, condition sine qua non, des sources d'énergie.

Mais ce n'est pas tout. L'existence d'une couverture nuageuse importante, nuages formés à partir de méthane, et les caractéristiques de surface impliquent l'existence d'un cycle global très actif du méthane, dans un processus similaire à celui de l'eau sur Terre. Et l'on en revient à une question passionnante. La vie peut-elle apparaître à partir du méthane et non pas de l'eau. Cette interrogation des plus spéculatives peut forcer les chercheurs à s'interroger sur la définition et les besoins universels de la vie et à considérer que la vie peut évoluer dans des environnements complètements différents de ceux que nous rencontrons sur Terre.

Dans le cas de Titan, les images de Cassini et de Huygens montrent que la lune semble toujours soumise à une activité tectonique très présente. Elle a vraisemblablement joué un rôle important dans l'évolution de la lune. Cette source d'énergie peut se traduire par une sorte de cryo volcanisme suggérant que des réservoirs d'eau liquide mélangés à de l'ammoniaque puissent exister près de sa surface.

Les endroits en contact avec les parties chaudes des réservoirs d'hydrocarbures sont un endroit prometteur pour établir un habitat. Il n'y manquera jamais de sources d'énergie car des hydrocarbures énergétiques sont constamment fabriqués dans les hautes couches de l'atmosphère, par l'action de la lumière sur le méthane, et retombent sur la surface.

En particulier, les scientifiques suggèrent que l'acétylène, qui est abondant, pourrait être utilisé par des organismes, en réaction avec hydrogène, sous sa forme gazeuse, pour libérer de grandes quantités d'énergie à même d'être utilisées par leur métabolisme pour son fonctionnement. Une telle biosphère serait en partie soutenue par le Soleil. Les scientifiques vont plus loin et supposent que l'énergie ainsi libérée pourrait être utilisée par les organismes pour chauffer leur environnement les aidant ainsi à créer leurs propres ressources liquides.

Dans les environnements qui sont riches énergiquement mais pauvres en liquides, comme cela semble être le cas ici, la sélection naturelle favoriserait les organismes qui utilisent la chaleur produite par leur propre métabolisme pour maintenir leur eau à l'état liquide.

Mosaïque de trois images prises par Huygens lors de sa descente dans l'atmosphère de Titan.
Mosaïque de trois images prises par Huygens lors de sa descente dans l'atmosphère de Titan.
 
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Le 13 décembre 2005 à 10h28
 

Mais où sont les extraterrestres ?

Par Rémy Decourt, Flashespace

Les extraterrestres enflamment notre imagination. Certaines personnes sont convaincues de leur existence, d'autres en rigolent. Mais, au fond de nous, chacun se demande : s'ils existent, où sont-ils ?

Bien évidemment, nous n'allons pas répondre à cette question. Mais, cela ne doit pas nous empêcher d'être pragmatiques et de nous interroger sur la problématique de l'existence d'une forme de vie extraterrestre avancée ailleurs dans l'Univers qu'autour de notre Soleil. Le Paradoxe de Fermi, du nom du physicien Enrico Fermi qui se demanda dès les années 50 où ils pouvaient exister, mérite d'être revisité.

Concrètement, que savons-nous de la vie extraterrestre ?

Aujourd'hui, nous avons découvert plus de 170 exoplanètes, certaines évoluant dans la zone d'habitabilité de leur étoile. Cela renforce l'idée selon laquelle la vie serait très répandue dans l'Univers, de sorte qu'il n'est pas idiot de penser qu'une forme de vie intelligente a pu se développer autour d'une autre étoile et donner naissance à une entité intelligente.

Par ailleurs, l'amélioration de nos connaissances sur la structure chimique et dynamique de la Voie Lactée et de sa zone d'habitabilité sont à même d'orienter nos recherches d'exoTerres (planètes similaires à la Terre). En effet, il ne sert à rien de rechercher des formes de vie dans des régions que l'on saurait invivables. Des simulations montrent que des exoTerres ont commencé à se former il y a plus de 9 milliards d'années et que leur âge médian est estimé à 6,4 milliards d'années, + ou - 700 millions d'années, sensiblement plus vieux que la Terre (4,6 md). Ce qui revient à dire qu'il existe des planètes similaires à la Terre en pagaille dans l'Univers.

Mais ce n'est pas tout. On sait aujourd'hui que la vie est apparue très tôt sur Terre, sans toutefois que l'on soit capable de dater avec précision son apparition et décrire les chemins pris par la vie. Cette rapidité laisse à penser qu'il existe une très grande probabilité que de nombreuses planètes soient habitables. Quant à la découverte sur Terre d'organismes vivant dans des environnements extrêmes, cela montre la grande capacité qu'a la vie à se développer et perdurer dans les niches biologiques les plus improbables (planchers océaniques, intérieur de volcans) et permet d'avancer le fait qu'il existe dans l'Univers des habitats cosmiques probablement plus importants en nombre que ce que nous pouvions imaginer il y a peu.

Enfin, notre connaissance plus précise de la biologie moléculaire et de la biochimie nous amènera, un jour, à comprendre l'histoire de l'apparition de la vie et ses caractéristiques intrinsèques de sorte que nous serons mieux à même de déterminer quelles sont les étoiles les plus propices à favoriser l'apparition de la vie.

Où chercher ?

Les programmes de type SETI n'ont pas réussi à ce jour à découvrir le moindre signe tangible de l'existence d'une forme de vie extraterrestre quelque part dans la Voie Lactée. Ce n'est pas faute d'avoir essayé ! Reste que de nombreux scientifiques s'interrogent sur le bien fondé de ce type d'approche. L'absence de résultats tangibles depuis les débuts de l'astronomie moderne, mais surtout les avancées dans les domaines de l'astrophysique, de l'astrobiologie, qui tendent à démontrer que les éléments et les conditions nécessaires à la vie sont présentes un peu partout dans l'Univers, conduisent de nombreux scientifiques à modifier la façon dont nous les recherchons.

Les scientifiques considèrent que l'on pourrait avoir une nouvelle approche en se basant sur des critères laissés de côté comme la métallicité, le gradient de température dans la Galaxie... Les régions externes du disque galactique seraient alors les endroits les plus intéressants pour démarrer des recherches.

La croissance exponentielle de la civilisation technologique sur Terre, amène également certaines interrogations sur l'évolution d'une civilisation beaucoup plus évoluée que la nôtre. Car la science progresse d'une façon exponentielle, et non linéaire...

Il y a 31 ans : premier message à d'éventuels extraterrestres
Il y a 31 ans : premier message à d'éventuels extraterrestres


05/10/2007
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