VIDEO : Controverse sur le MOTEUR à EAU de STAN MEYER : Escroquerie ou Révolution ?
VIDEO : Controverse sur le MOTEUR à EAU de STAN MEYER : Escroquerie ou Révolution ?
Stanley Meyer est un inventeur américain (Ohio), créateur d'un moteur à eau utilisant selon lui un système de fission des molécules d'eau pour en extraire l'hydrogène, nécessitant peu d'énergie à l'utilisation.
Il est décédé le 29 mars 1998 dans des circonstances douteuses. Certains de ses supporters prétendent qu'il aurait reçu des menaces de pays arabes comme l'Arabie Saoudite.
Il a imaginé extraire l’hydrogène de l’eau, par une application inverse de l’électrolyse, consommant moins d’1/2 ampère. Alexandre Tchernovsky (mort subitement en 1992) travaillait déjà sur ce qu’il appelait « l’énergie du vide » il avait mis au point un appareil produisant 5 fois plus d’énergie qu’il n’en consommait, suivi dans ces expériences par Hal Puthoff, qui appelle ça « énergie du zéro absolu ».
L’invention de Stanley va beaucoup plus loin : dans un bac en plexiglas, pourvu de barres métalliques, il verse de l’eau du robinet, alimente en courant (moins d’une demi-ampère, pour une fréquence de 20 000 hertz par seconde) Et ça marche : il fabrique plusieurs centaines de pour cent d’énergie de plus qu’il consomme, et produit de l’hydrogène capable de fondre l’acier.
La température de l’eau contenue dans le container en plexiglas ne change pas.
Son invention est donc un « séparateur d’eau », qui fractionne en oxygène et hydrogène.
Stanley Meyer
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Stanley Meyer est un américain (Ohio) prétendant avoir conçu un moteur à eau utilisant un système de dissociation des molécules d'eau pour en extraire l'hydrogène, nécessitant peu d'énergie à l'utilisation.
Il a construit un prototype pour montrer son invention.[1] En 1990, les investisseurs de Meyer portent plainte pour fraude manifeste (gross and egregious fraud). Lors du jugement, le prototype ne fonctionne pas avec un rendement tel qu'il aurait dû l'avoir si les prétentions de Meyer étaient juste), et la cour décide que ce prototype n'est en fait qu'une électrolyse conventionnelle, condamnant Meyer à verser $25 000 aux investisseurs.
Il est décédé le 29 mars 1998 à la sortie d'un restaurant, alors âgé de 57 ans, l'autopsie concluant à une rupture d'anévrisme. Ses supporters parlent d'empoisonement, impliquant divers pays arabes et/ou le gouvernement américain.[2][3]
Voir aussi [modifier]
- Site défendant les thèses de Stanley Meyer
- Site sur la mise en application des thèses de Stanley Meyer et bien d'autres
- Video sur l'« énergie libre » et certains travaux de Meyer
Références [modifier]
- ↑ (en) En vidéo ici (en .wmv) & là (en flash)
- ↑ Water Powered Car report on Meyer's death states (as of January 2007), "He was a shame to hear that he was poisoned .... He died in the parking lot of a restaurant in his home town of Grove City, Ohio. Sharks came a week later and stole the dune buggy and all of his experimental equipment, according to his brother, Steve. Stan said while he was alive, that he was threatened many times and would not sell out to Arab Oil Corp."
- ↑ Philip Ball, « Burning water and other myths », September 14, 2007, Nature News. Consulté le 2007-09-14
Catégories : Wikipédia:ébauche pseudo-science • Inventeur américain • Pseudo-science • Décès en 1998
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http://quanthomme.free.fr/carburant/WFCMeyer.htm
CARBURANTS ALTERNATIFS : WATER FUEL CELL
Page créée le 30 novembre 1998 - mise à jour le 22 juin 1999 - le 13/12/2007
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L'Inventeur STANLEY MEYER Stanley A. Meyer 3792 Broadway, Grove City Ohio 43123 USA
Tél : 1-614-871-4173 et Fax : 1-614-871-8075
http://moteuraeau.free.fr
http://www.wasserauto.de/
Ingénieur en électricité possédant d'une grande expérience, Stanley travaillait sur la fusion de l’hydrogène à température ambiante.
Il a été l'auteur de divers brevets en océanographie, monitoring cardiaque et systèmes de validation bancaires (42 en tout dont 10 au Canada). Début 1989, il a eu un traitement de faveur au bureau des brevets : certains de ses brevets ont été acceptés en 1993. La plupart d'entre eux font partie de la section 101, où l'accord pour le brevet dépend d'une démonstration réussie. Dans ce bureau les brevets de Meyer furent expédiés en 8 mois, ce qui est un délai court et inouï qui prouve qu'ils ont pensé que cette technologie était importante, d'autant plus que dans d'autres textes il est dit au contraire que 200.000 applications de brevets étaient en attente.
Il a travaillé pour la Fondation Battelle dans l'Ohio, à la mise au point du projet Gemini à la NASA et aussi au système d'alimentation en énergie sur le concept EBED pour le projet Guerre des Etoiles.
Il possédait des sociétés qui fabriquent de tels équipements et il a occupé des fonctions de co-sponsoring dans des affaires internationales.
Avec son frère, ancien ingénieur en électricité de l'USAF, il a monté une opération de plusieurs millions de dollars dans le domaine du transport et des pièces détachées.
Il avait l'esprit d'entreprise. La technologie Water Fuel Cell (W.F.C., nom de la technologie et de la société de Meyer) est la propriété de Stanley A. Meyer de Grove City dans l'Ohio. De nos jours, la W.F.C. International n'a pas de représentants officiels en Angleterre. Mais, malgré des controverses, au Royaume Uni, des membres du Parlement, des scientifiques du Ministère de la Défense, étudient la W.F.C. de Meyer tout comme de grands groupes industriels et des gouvernements étrangers.
Il a financé seul son travail scientifique, reconnu et récompensé par des organismes nationaux et internationaux, et a été élu inventeur de l'année dans le Who'Who américain de 1993. (Il a ensuite reçu des soutiens substantiels du Canada, d'Angleterre, et de Suède.
LE DECES DE STANLEY MEYER
Le 29 mars 1998, Eugène Mallove * rédacteur en chef de Infinite Energy confirmait sur Internet le décès de Stanley, âgé de 57 ans, après avoir appelé le service de pompes funèbres à Evans (information reprise par W. Bahman de P.A.C.E. et D.V.S.).
Le 21 mars, Stanley avait dîné dans un restaurant de Grove City en compagnie d’autres personnes. Il est brusquement sorti de table en disant qu’il avait été empoisonné, puis il a couru vers sa voiture sur le parking et s’est effondré.
Sa famille, sa femme Marylin, son frère jumeau Stefen Foster, un autre frère Henry, sa sœur Barbara Feret, une ribambelle de neveux et nièces, lui même n’ayant pas d’enfants, ont du se résigner à l'absence d'obsèques . Sa dépouille fut emportée pour être autopsiée. Les premières conclusions ont indiqué que sa mort était due à une maladie artérielle, mais comme la maladie incriminée aboutit très rarement à la mort, un autre examen en toxicologie a été ordonné, dont les résultats n’étaient toujours pas communiqués en avril 1998.
Inge et Adolf Schneider du NET journal (que nous remercions pour l'autorisation de publier la photo ci-dessus) avaient rendu visite à Meyer en septembre 1997. Stanley leur avait assuré qu’il avait signé des contrats avec des firmes américaines pour commercialiser sa voiture. Jerry Decker avait appris de Stanley même, rencontré à Denver que sa voiture était presque au point. Il était en bonne santé et plein d’énergie. En mars, il était sur le point d’avoir un grand succès pour la pose de la première pierre d’un centre de recherches de $50 millions à Grove City.
From: E.F. Mallove Subject: Meyer IS dead Date: Sunday, March 29, 1998 10:38 AM I just called the funeral home listed in the announcement of Meyer's death. I used directory information to get the number.
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BREF HISTORIQUE DES MOTEURS A EAU.
Il est utile de replacer le travail de Meyer dans son contexte historique, car, en fait, on dit "fonctionnant à l'eau" pour parler de véhicules qui, en réalité sont alimentés en hydrogène.
La théorie concernant l'énergie de l'eau date de 120 ans. En 1874, Jules Verne avait eu la vision de ce "charbon du futur fournissant sans limites lumière et chaleur à un point tel qu'on ne l'avait jamais rêvé". A la même époque, August Otto, le père du moteur moderne à combustion interne, faisait des expériences avec l'hydrogène qu'il préférait à "l'abominable pétrole". Arrhenius, le grand physicien Scandinave, posait la théorie moléculaire qui régirait la dissociation moléculaire libre que Meyer démontre de nos jours.
L'Amirauté Britannique a expérimenté son premier moteur à eau dans les années 30, sous la direction de l'ingénieur en chef Richmond. Pendant la guerre le gaz de l'eau a été largement utilisé. Dans les années 50 British Petroleum a aussi investi sur cette idée. Vers 1970 Channel Islands a beaucoup parlé d’une Morris Mini Minor fonctionnant à l'eau, mais qui, après de grandes promesses de financement pour sa commercialisation, est rapidement tombée dans l’oubli.
Un scientifique d'Europe de l'Est durement éprouvé, Yull Brown (voir son dossier dans le sommaire des Carburants alternatifs) a mis au point un appareil dont le carburant est l'eau. Dans les années 70, l'Assemblée Législative de New South Wales a eu connaissance de l’expérimentation d'une voiture équipée d'un moteur à gaz - eau consommant 3,78 litres aux 1600 km.
Récemment, un jeune Californien a conçu un système simple et bon marché pour les voitures. Après avoir été mis en garde par le DoE de ne pas tenter de commercialiser le dit système (ce qui en démontre la simplicité), il a mis ses plans dans le domaine public.
Tous ces véhicules utilisent des systèmes qui produisent le gaz que l’on brûle à bord.
Les nouvelles technologies de l’hydrogène produisent 20 à peut-être 1000 fois plus d'énergie que les autres. La Royal Society a examiné un moteur dont l’efficacité est multipliée par un facteur de 4 à 6. Une communication officielle était prévue.
D'autres travaux (cités dans le prochain dossier "Sur la piste de l'Energie Libre…" ) comme ceux de Roger Billings ou l'"hypercar" de Amory Lovins, convertissent le gaz en électricité. L'amiral Griffin qui avait essayé en vain de perfectionner la voiture à eau du Dr Henry Cornish est donc entré en contact avec Meyer. Il a ainsi pu assister en personne à une de ses démonstrations.
W.F.C. affirme pouvoir remplacer les hydrocarbures utilisés de nos jours. Il suffit de moderniser l’injection des moteurs à combustion internes au moyen d’un contrôle électronique (par puce) simple et peu onéreux. Pour l’automobile, un kit W.F.C. se compose d'injecteurs contrôlés par puces et que l’on peut installer en moins d’une heure en les vissant dans les trous des bougies. Dans le cas des diesels, des avions et des gros générateurs de courant actuels, des adaptateurs similaires remplaceraient les injecteurs de carburant comme pour les brûleurs industriels. Des outils de soudure fonctionnant avec l'eau sont déjà vendus par plusieurs autres compagnies (Gaz de Brown probablement).
Pour un coût estimé à $1500, le procédé de Meyer n’est pas cher comparé à celui ($25.000) nécessité par l’adaptation des véhicules à la batterie - hydrogène. Cette dernière, basée sur une membrane à échange de particules n’est donc pas une technologie convenable pour les pays en voie de développement. De plus, il n’existe pas d’industrie qui fabrique ces batteries.
Meyer a aussi inventé des systèmes autonomes pour le chauffage domestique, et l'industrie, ainsi que pour la production d'eau chaude et de vapeur. Autres retombées de l'application du principe de W.F.C. dessalement de l’eau de mer, traitement des déchets, purification de l'eau (virus et bactéries étant tués par la fréquence et la chaleur) et modules traitant les oxydes et régénérant l’air .
CARACTERE EXCEPTIONNEL DU PROJET W.F.C.
Il ne s'agit pas d'électrolyse classique: il n’y a pas d'électrolyte, pas d'usure discernable d'électrode, pas d’énergie gaspillée en chaleur. En fait, le bénéficiaire de l’énergie surabondante disponible dans l’eau est la santé publique. En effet, selon le US National Board of Standards, l'eau contient 2,5 fois plus d'énergie que le pétrole.
Dans la W.F.C. de Meyer, l'eau est dissociée en gaz au moyen d’une tension électrique produite par des impulsions de courant continu à haut voltage (20 à 40 kV) à la fréquence de 10-15 kHz (d'autres sources Internet donnent 50 Mhz et de moins d'1mA. L'inductance, en série avec la capacité amorce des résonances à l'intérieur de la molécule. Celles-ci ont pour effet de casser les liaisons covalentes entre les atomes d'hydrogène et d'oxygène, en utilisant très peu d'énergie. Les deux gaz ainsi séparés le restent jusqu'à ce qu'une énergie suffisante soit disponible pour les recombiner à nouveau sous forme d'eau. Ces principaux points sont repris pour créer une tension au niveau de la particule.
C’est vraiment l'oscillation de la particule qui joue un rôle de générateur d'énergie.
Meyer dit que, dans un élément d'injection de W.F.C., on a accès à un ZPE supplémentaire. C’est à travers un orifice situé dans le noyau, et que la tension électrique fait ouvrir et fermer que l’on peut faire travailler le ZPE. C'est une impulsion explosive plutôt qu'un éclair d'allumage miniature, qui fait mouvoir les pistons et alimente la transmission normalement tout en produisant seulement de la chaleur et un brouillard d'eau en échappement. Meyer décrit un processus similaire pour la division de molécules d'oxydes d'azote.
On peut atteindre une énergie considérable, dépassant de loin celle de la simple combustion de l'hydrogène. Des brûleurs industriels ont été conçus pour fonctionner au million de BTU/h.
Selon les calculs, la masse de ZPE est de l'ordre de 10 x 1093 gm par cm3 . L’énergie qui y est contenue équivaut à 2,5 millions de BTU par gallon d'eau (3,78 l aux USA). Le "vide" à l'intérieur de la molécule est grouillant d'énergie, comme on le sait déjà depuis 1873 avec James Clerk Maxwell et même depuis des milliers d'années dans les sciences orientales et la tradition. La molécule d'eau est l’intermédiaire qui permet de puiser dans l'éther.
TENTATIVES DE PROMOTION DE W.F.C. AU ROYAUME UNI
L'amiral Griffin, a été un des premiers à tenter d'obtenir une crédibilité scientifique et un financement industriel pour >une initiative privée d’expérimentation de la technologie W.F.C.. En tant que contrôleur de la Navy, et au nombre des créateurs de la Royal Navy moderne, il était responsable, de la mise en place du plan de développement de la technique basée sur l'hydrogène. Il s’était chargé des applications maritimes de W.F.C. et avait planifié une conversion de la Flotte.
Au premier stade de sa campagne, le but était de convaincre les militaires anglais et les représentants de l'industrie, que la technologie W.F.C. fonctionne, et qu'il était possible de traiter avec Meyer, celui-ci ayant d’ailleurs donné son accord pour une expérimentation d'un an prévue sur un bateau alimenté à l'eau, aux docks Ste Catherine à Londres.
Pour les articles scientifiques et les voyages des experts chez W.F.C., l'Amiral a dépensé personnellement 30.000 £, et Sebastian de Ferranti 10.000 £ (parmi d'autres sources de financement.) Pendant 6 ans, recherchant soutiens et engagements, l'Amiral Griffin a contacté sans succès plus de 100 départements du gouvernement et une partie des plus grandes industries avant de trouver enfin un commanditaire financier.
La façon dont l’amiral a conduit sa campagne a été soumise à quelques critiques relatives à la faisabilité et aux prétentions du plan initial. Toutefois, cette campagne laisse entendre que l'"Establishment" connaît bien le travail de Meyer. L'agence de recherche de la Défense et le MoD ont montré leur intérêt dans le développement des activités de Meyer.
Une exploitation de la technologie Meyer alliée à une certaine éthique, excluant les applications militaires, recevrait un plus grand soutien international. C’est vers des zones géographiques où existent des besoins majeurs, et pour des buts plus respectables, tels que l'approvisionnement en eau potable et le maintien de l'agriculture indispensable, qu’il faudrait s’engager.