SCOOP : Les américains ont-ils des OVNI ? : Présentation de la base secrète AREA 51 et du témoignage de Bob Lazar qui a travaillé sur la base

Les américains ont-ils des OVNI ? : Présentation de la base secrète AREA 51

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La Base AREA 51 se trouve au Nouveau Mexique, aux USA, et a fait l'objet de nombreuses enquêtes, films et observations. Des militaires ayant travaillé sur cette base parlent à visage découvert ou caché : non seulement il y auraient vu des OVNI américains, mais aussi des OVNI extra-terrestres, et des extra-terrestres.

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Manipulation de certains ufologues ? Manipulations des militaires américains ? Réalité partielle ? réalité totale ?

Il y apparait un personnage central qui s'appelle Bob Lazar, au passé plus ou moins trouble, qui a bien travaillé pour les américains puisqu'il est en possession de fiches de salaires authentifiées sur une autre base militaire. Bob Lazar a filmé un de ces engins de nuit en compagnie de plusieurs de ces amis et s'est fait ensuite arrêté par les militaires de la base, puis renvoyé de la base. Il a montré ce film et on y voit un objet lumineux au vol non conventionnel.

Robert Lazar est un scientifique qui aurait deux diplômes, l'un en physique, l'autre en électronique, et qui a écrit sa thèse sur la magnétohydrodynamique. Il a travaillé aux laboratoires de Los Alamos comme technicien, puis à la section Polarized Proton Section ou il s'occupait de l'accélérateur de particules. Dans ses loisirs, il a construit une voiture, puis une moto, propulsés par réaction, ainsi qu'une voiture à moteur à hydrogène. En mars 1989, Lazar est apparu sur KLAS-TV aux USA en affirmant avoir travaillé dans une installation secrète nommée S-4, à quelques 15 km au Sud de l'Area 51 dans le désert du Nevada. Il y aurait été employé comme scientifique pour faire du reverse engineering sur le système de propulsion de soucoupes volantes capturées. Il affirme en avoir vu une parmi les neuf qui seraient entreposées à S-4. On lui a dit que ces engins utilisent l'antigravitation pour se propulser et que leur énergie provient d'un élément hyper-lourd nouveau, l'élément 115. Un kilogramme permettrait de dégager autant d'énergie que 47 bombes H de 10 mégatonnes, il en aurait lui-même manipulé 500 livres (227.27 kg) alors que quelques 220 grammes suffiraient à la soucoupe. Il aurait eu l'occasion de visiter l'intérieur d'une soucoupe et d'assister à un vol d'essai ou elle aurait effectué quelques manoeuvres simples. Quand il se présenta à la TV, il fut accompagné d'un certain Dennis qui souhaiterait rester anonyme. Le 29 Mars 1989, il emmena 3 amis dont John Lear sur les limites de S-4 pour observer des tests d'ovnis éventuels, et auraient pu en voir et filmer un, planant et s'élevant dans les airs. Ils finirent par être chassés des lieux par les gardes et un agent du FBI, Lazar décidant alors de démissionner de son poste. Certain pensent en fait qu'il a été licencié. C'est en tout cas suite à cela qu'il prit le parti de parler le plus possible, affirmant que sa notoriété lui permettra d'éviter de se faire liquider.

Bob Lazar est-il un agent secret des américains afin de désinformer les Ufologues, ou est-il sincère ?

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A vous de juger :

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Le Docteur Greer crée le groupe REVELATION aux USA pour exiger des USA qu'ils livrent au public leur technologie avancée sur les OVNI.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/ovni/video/x1ls0_ufo-ovni-super-doc-euronews

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La base ultra secrète ZONE 51 aux USA. Des enquêteurs privés essayent d'espionner les militaires de la base : impressionnant ! Enquête stupéfiante. la base travaillerait sur des projets de science fiction, et sur la fabrication de futurs engins volants à ANTIGRAVITATION…

http://www.dailymotion.com/relevance/search/ovni/video/xp0m1_planete-choc-ovni-video-zone-51

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Un reportage sur la même base 51 ultra secrète et ce qu'on y aurait vu. C'est probablement le reportage vidéo le plus surprenant de tous et de loin.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/ovni/video/xes0p_reportage-zone-51-ovni

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Autre émission sur la base :

http://www.dailymotion.com/relevance/search/ovni/video/x3yge_ovnis-zone-51

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Vue et projets d'OVNi des militaires américains.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/ovni/video/x425s_ovniufo-fabrication-humaine

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Un vol de nuit d'un engin américain au-dessus de la base 51. MHD ?

http://www.dailymotion.com/relevance/search/mhd/video/x1x0b_area-51-night-test-mhd-batman-ufo

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Groom Lake (Zone 51) (1955)

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La base de Groom Lake

La base de Groom Lake, isolée dans les recoins d'une région militaire du Nevada (USA), n'existait officiellement pas il y a encore quelques temps. Signalée sur aucune carte publique, son existence est pourtant un secret de polichinelle depuis des années.

Le voile officiel tombe définitivement le 18 avril 2000, quand est diffusée sur le site Internet de TerraServer une série de photographies récentes de la base, prises par un satellite lancé conjointement par Aerial Images Inc., une compagnie américaine privée, et l'Agence Spatiale Russe. Elles sont de grande qualité, montrant tout depuis les bus et hangars jusqu'à un appareil recouvert d'une bâche.

Un lieu propice

Les essais du U-2 à l'origine de Groom Lake

L'histoire de Groom Lake débute véritablement au début du Printemps 1955. A l'époque la CIA recherche un site pour procéder aux essais du nouvel avion espion mis au point par Lockheed, le U-2. L'appareil doit être testé à l'abri des regards indiscrets, mais aussi en un lieu offrant une piste suffisamment longue et résistante pour supporter le poid du nouvel appareil, des réserves de carburant considérables, et la proximité d'une administration militaire pour la logistique. On pense tout d'abord naturellement à la base d'Edwards, spécialisée dans les essais d'avions expérimentaux, mais ce candidat est finalement rejeté, étant donné le niveau de secret requis : Edwards est déjà trop connue et forcément déjà le sujet de trop d'observations.

C'est donc un lieu entièrement nouveau qui est choisi, dans une région isolée du Nevada. Plus exactement, il s'agit d'une petite installation près du lac asséché de Groom, cachée entre 2 montagnes dans Emigrant Valley. Le lieu se situe dans une zone administrative référencée par d'anciennes cartes du gouvernement comme la "Zone 51". Dans cette petite base, utilisée pour des essais aériens durant la guerre, ne se trouvent que 2 hangars, quelques caravanes, et une piste d'atterissage trop courte. Beaucoup de travaux en perspective. Cependant, l'avantage de sa localisation est sans pareil, dans une zone déjà largement interdite au public : elle est entourée de la zone militaire de Nellis (Nellis Bombing and Gunnery Range) où se trouve l'installation secrète de Mercury, du Site d'Essais du Nevada dont les retombées n'épargneront pas Groom Lake et son personnel. La base de Nellis (au Sud-Est de la zone, près des installations de Blue Diamond également) servira de centre administratif responsable de la base.

Les travaux commencent donc près du lac asséché de Groom, à commencer par les éléments les plus importants : la piste, que l'on allonge de 5000 à 8000 pieds, et les réservoirs de carburant.

Peut-être est-ce l'aspect aride et quelque peu désolé de la zone qui donnent à la base le nom ironique de "Watertown" — qu'elle gardera jusqu'en 1960 — mais ce serait oublier la petite ville du même nom de l'état de New York, où est né Allen Dulles, directeur de la CIA de l'époque et principal sponsor du projet U-2 [Pocock 1998]. Les quelques misérables bâtiments de l'endroit vont amener les ouvriers qui y travaillent à lui donner le surnom ironique de "ranch du paradis", ou "le ranch".

S'il est difficile de cacher l'existence de cette base (dont l'existence est en fait déclarée dès 1955 par l'AEC qui en a la responsabilité administrative), on va surtout s'attacher à dissimuler sa véritable activité. Les employés, qu'ils soient manutentionnaires ou autres, sont tous déclarés comme "consultants du gouvernement", en raison d'une loi du Nevada obligeant à déclarer l'activité de tout travailleur de l'état... sauf des employés gouvernementaux. Il n'est bien sûr pas question d'indiquer que la base a été construite pour tester un nouvel avion-espion et entraîner ses pilotes, et en 1957 un livret d'information de l'AEC, s'il ne nie par l'existence du U-2, lui prête des objectifs d'observation météo à haute altitude, sous la responsabilité du NACA (ancêtre de la NASA). On ira même jusqu'à, dans l'hypothèse où l'un des appareils serait perdu hors du site, peindre les insignes du NACA sur les appareils pour plus de crédibilité. En fait le programme U-2 est sous la responsabilité coinjointe de la CIA et de l'USAF.

Tout le monde croit que cet endroit dépend de l'armée de l'air, parce que Nellis est une base aérienne. En réalité, la Zone 51 est sous le contrôle de la Navy. Il en est de même de la Zone 2, qui fut construite pour servir d'entrepôt souterrain pour l'AEC [Cooper].

Nouveaux appareils

Après le U-2 vient le A-12, une réponse de la CIA aux U-2 abattus par les soviétiques. Cet appareil — dont les SR-71 de l'USAF ne seront que des versions moins élaborées par la suite — est élaboré dans le cadre du projet "Oxcart" (charrette à boeufs !) ou du nom plus sexy de "Cygnus". Il est testé à Groom Lake de Avril 1962 à Juin 1968.

C'est au milieu des années 1970s, où l'activité de la base, un temps ralentie, reprend avec des programmes allant du XST au missile de croisière Senior Prom, que l'on décide subitement de changer l'identification de la zone aérienne environnante dont à la charge la tour de contrôle de Groom : auparavant désignée Yuletide (nom dérivé de l'anniversaire d'un des officiers de la base), on l'appellera dorénavant Dreamland, probablement en raison d'un poème d'Egard Poe du même nom [Zinngrabe 1997]. C'est à cette époque, en 1971, que David Adair déclare avoir été dans la Zone 51, sous l'autorité de Curtis Lemay.

Suivent divers autres avions expérimentaux, tels que le SR-71, le chasseur F-117A (programme Senior Trend), le bombardier B-2, et enfin le fameux Aurora.

L'Aurora

L'Aurora (1984 ?), dont le nom mythologique fait penser à un programme d'appareil de reconnaissance Lockheed, et à un niveau de classification supérieur à celui d'autres programmes à plusieurs mots tels que celui du F-117.

En 1986 apparaît dans une demande de budget du Département de la Défense une ligne désignée Aurora associée à un budget de 80 millions $, avec une augmentation de la dépense à 2,272 milliards $ prévue pour l'année suivante. En fait le financement n'est pas accordé pour cette désignation, mais une augmentation équivalente est attribuée pour les Special Update Program et Selected Activities. [Zinngrabe 1997]. Les médias en parlent en 1987 et 1988. En Août 1989 en Mer du Nord, Chris Gibson, ingénieur en exploration pétrolière à l'époque et membre du British Royal Observer Corps (ROC) observe un appareil de la forme d'un triangle isocèle en plein ravitaillement depuis un Stratotanker, accompagné de deux F-111. S'agissait-il de l'Aurora ou d'un chasseur furtif Northrop A-17 ?

On dit l'appareil capable d'évoluer à Mach 8. L'endroit est donc un endroit privilégié pour observer de objets volants à la fois secrets et peu communs, et c'est là où commence le folklore de la zone 51.

Etranges observations

Diverses observations sont faites dans la région : lumières, objets triangulaires, que beaucoup expliquent par le vol du bombardier furtif B-2, de la famille des "ailes volantes". Bien que quasiment indétectable au radar, il donna lieu en 1988 à des témoignages similaires à ceux des années 1950s, portant sur des objets triangulaires.

Dans son Role de la CIA dans l'étude des ovnis, l'agence de renseignement reconnaît que que certains cas étudiés par le projet Blue Book furent secrètement identifiés comme des vols de U-2, bien que officiellement expliqués par d'autres phénomènes (ballons, reflets, etc.). En effet à ses débuts l'appareil n'était pas peint en noir mais avait un aspect métallique, argenté, susceptible de générer de forts reflets lumineux, au coucher du soleil par exemple. En fait, la CIA n'hésite pas à affirmer que la moitié des observations sont dus à cet appareil.

L'Aurora également, va faire des siennes. Succèdant en 1984 au SR-71. Lockheed est chargé du dévelopement et la division Rocketdyne de Rockwell responsable des moteurs. Les années suivantes, les habitants de Californie du Sud et d'autres régions comme l'Europe du Nord commençent à entendre des grondements ressemblant à des tremblements de terre et à voir des objets volants extraordinaires volant à plusieurs fois la vitesse du son. Les appareils ressemblent à des triangles géants. En 1990, des reporters de Aviation Week & Space Technology deviennent convaincu qu'un "bond quantique à eu lieu" dans l'aviation dans le plus grand secret. Cependant, le gouvernement américain continue de nier l'existence de l'Aurora.

En 1995, une bande vidéo issue d'une caméra de sécurité de la base de Nellis est communiquée clandestinement à des ufologues. Sur cette vidéo, on voit un engin métallique s'élevant dans le ciel. Ces images seront authentifiées par plusieurs analystes militaires, experts dans les questions de défense, notamment par Bill Sweetman, spécialiste de la technologie des avions furtifs. En 1996, les journalistes de l'émission de télévision Sightings comparèrent l'engin filmé par la caméra de sécurité de la base de Nellis avec l'un des objets filmés au Mexique lors de l'eclipse de 1991. Considérant les deux objets comme identiques, ils concluent que les ovnis aperçus au-dessus de Mexico pourraient faire partie d'un programme militaire secret de l'armée des Etats-Unis.

L'ovni au-dessus de Phoenix

Le 13 Mars 1997, un ovni en forme de V (ci-contre) est filmé en train de survoler la ville de Phoenix (Arizona) sur près de 2 km. L'analyse video a révélé qu'il s'agit bien de la structure d'un appareil, qui fut filmée depuis 9 endroits différents. Plus de 200 témoins occulaires se sont manifestés. Le directeur du CSETI indique que l'ovni venait de la direction de la Zone 51.

De nombreux ovnis ont été aperçus avec parfois la constatation de cas de mutilation de bétail. Des personnels de la base ont disparu lors d'observations nocturnes d'ovnis. La zone 51 a un système de sécurité redoutable (la région est protégée par un groupe de bérêts verts). Récemment l'USAF a pris le contrôle d'une colinne près de Groom Lake, d'où l'on pouvait observer l'installation. Une photo de satellite soviétique de 1988 montre un complexe de haute sécurité à l'une des extrémités de la base, dont le but est inconnu.

Bob Lazar ou le projet "Galileo"

Afin d'en avoir plus sur les rumeurs qui courent sur la base, on pourrait chercher des témoins qui attestent de son activité. Malheureusement, les seules personnes acceptant de témoigner bénéficient d'une réputation sulfureuse dans la communauté ufologique.

Bombe médiatique

Il y a peu de rumeurs concernant la Zone 51 jusqu'en 1988, où un homme désirant garder l'anonymat déclare avoir travaillé sur un projet top-secret dans la zone, visant à faire de la rétro-ingéniérie sur le système de propulsion d'un appareil d'origine extraterrestre. Pressé de questions, il jette le masque en Novembre 1988 : son nom est Robert Lazar, et donne encore plus de détails : son activité, dans le cadre d'un projet nommé "Galileo", a eu lieu dans un site nommé "S-4", où 9 appareils extraterrestres seraient entreposés. Il précise les fonctions qui ont été les siennes sur le site : au sein d'une équipe de 22 ingénieurs, il aurait été engagé pour tenter de comprendre le système de propulsion de ces ovnis.

 

 

Robert Lazar

Le témoignage de Lazar fournit de nombreux détails sur le lieu, la manière de s'y rendre, les procédures de sécurité qu'il subissait avec ses collègues, la tâche qui lui était affectée, ainsi que des éléments techniques sur l'appareil sur lequel il travaillait (un "modèle sport" de 16 m de diamètre) et son fonctionnement : un réacteur à antimatière relativement petit (45 cm de diamètre) en contradiction avec les lois de la thermodynamique actuellement admises, alimenté par un élément non trouvé sur Terre, que Lazar place au numéro atomique 115. Le principe final est d'utiliser des "amplificateur gravitationnels" avec de distordre l'espace-temps, afin d'attirer la destination plutôt que de s'y rendre.

Enfin, Lazar indique avoir eu l'occasion de lire certaines parties de rapports. Certains faisaient remonter les visites à plus de 10000 ans, d'autres relataient l'établissement d'un contact officiel, et un autre la provenance de l'appareil, bien connue des conspirationnistes : Zeta Reticuli.

Le récit de Lazar est tellement précis mais aussi extraordinaire qu'en 1989, lors de l'émission télévisée OVNI : La Meilleure Preuve sur KLAS-TV, on ira jusqu'à faire lui faire passer un test de détection de mensonge préparé par Georges Knapp, le présentateur de l'émission.

En fait l'activité décrite par Lazar (rétro-ingéniérie d'appareils extraterrestre), correspond à celle d'un projet hypothétique, régulièrement cité par des thèses conspirationnistes : le projet Redlight.

Zone fantôme ?

Différents points ne jouent pas en faveur du récit de Lazar. Tout d'abord la zone S-4 : si le lac "Papoose" existe bien au Sud de Groom Lake, les images satellite dont nous disposons ne montrent aucune installation dans la zone décrite par Lazar, y compris dans les dernières images à haute définition fournies par TerraServer. Bien sûr les descriptions de Lazar ne mentionnent que des installations camouflées dans le paysage ou souterraines, mais on s'explique mal pour les mêmes techniques de construction et de camouflage n'ont pas été appliquées aux installations de Groom Lake, également très secrètes.

Si l'on interroge d'anciens employés de la Zone 51, aucun ne semble avoir de souvenir de Lazar. Ce dernier ne met pas en avant le secret qui leur aurait été imposé, mais explique que lorsqu'il se rendait à S-4, il ne faisait qu'un "arrêt" à la Zone 51. Il empruntait un vol journalier accompagné de centaines d'autres employés. La base étant ultra top-secrète, il est impossible de vérifier ces affirmations. Selon Lazar, les employés ne communiquaient pour ainsi dire pas du tout entre eux à S-4 et ils n'étaient qu'une vingtaine à s'occuper de la propulsion des soucoupes. Dans ces conditions, difficile d'obtenir une quelconque corroboration.

Témoin fantôme

Ensuite, si la plupart des déclarations de Lazar concernant la zone S-4 sont invérifiables, ce qui l'est ne concorde pas vraiment. Son passé académique semble flou. Lazar déclare avoir travaillé de 1982 à 1984 au Laboratoire National de Los Alamos, au labo de Physique des Mesons, avec un niveau de sécurité 'Q'. En fait, s'il est bien établi que Lazar a travaillé à Los Alamos, il n'est pas mentionné dans les annuaires des services qu'il cite, et l'on ne sait ce qu'il y fit exactement [Mark Rodeghier, directeur scientifique du CUFOS]. Lorsque l'on interroge l'USAF au sujet de Lazar, celle-ci déclare n'avoir aucun commentaire à faire sur l'Espace Aérien de Nellis [Sergent Maître de l'USAF J. C. Marcom des Affaires Publiques]. Dans le même temps, le Sergent Technique Henderson, des Affaires Publiques, indique que l'USAF n'a aucune trace d'un quelconque travail effectué par Lazar à la Base USAF de Nellis, bien que nous ayons réunit une grande liste d'investigations à son sujet.

Elément fantôme

En ce qui concerne l'élément 115, les physiciens admettent que l'existence d'un tel élément est théoriquement possible, mais que nous ne savons ni le fabriquer ni simplement le trouver. Que Lazar déclare avoir travaillé avec cet élément n'est donc pas forcément insensé, mais reste complètement invérifiable. Cependant, il semble en savoir assez pour avoir réellement travaillé dans la Zone 51 ou Dreamland où des appareils secrets sont testés, mais cette histoire reste un mystère ténébreux. En résumé : C'est impossible à vérifier. Nous n'avons pu, malgré nos investigations, trouver personne pouvant corroborer les dires de Lazar.

Un passé trouble

Suite aux "révélations" tapageuses de Lazar, on se penche sur son profil, à commencer par son passé. On découvre alors qu'en 1985, alors qu'il était en vacances au Nevada, il décide d'acheter maison de prostitution légale ; l'investissement se révélera si profitable qu'il n'aura pas besoin de retrouver un travail à temps plein pour un moment. C'est en 1988, alors qu'il désirait retravailler dans le milieu scientifique, que selon lui, il fut engagé pour travailler sur le projet Galileo. Cependant son un casier judiciaire, garni de 6 crimes dont proxénétisme et incitation à la prostitution, gestion d'une maison de prostitution, et vie avec les revenus d'une prostituée, ne joue pas en sa faveur.

L'ensemble de ces charges est rapidement mué en un seul crime "d'incitation au vice". Cette "discréditation" aux yeux du public ne semble pas trop perturber Lazar, qui déclare enfin ne plus subir les pressions et filatures que lui imposaient ses supposés ancien employeurs : Je suppose qu'ils ont considéré que le jugement d'incitation au vice m'a discrédité commente-t-il. Depuis, Lazar vit des revenus de ses deux petites compagnies, un firme indépendante de réparation d'appareillages nucléaires et un laboratoire de photo. Il construit et effectue également des courses de jet cars et, chaque année depuis 1984, le week-end précédent le 4 Juillet (la fête nationale américaine), il organise le "Feu d'Artifice du Désert". Il a également vendu les droits de son film et travaille sur un film en videocassette.

En résumé peu de personnes croient aujourd'hui aux dires de Lazar, y compris dans le milieu ufologique. Richard Hall par exemple, membre des premiers jours du NICAP, ne voit pas dans la zone 51 autre chose qu'une base militaire où sont développés des engins volants secrets mais n'ayant rien à voir avec les extraterrestres. Il ne croit pas aux déclarations de Lazar.

Du folklore

Le récit de Lazar fit le tour du monde et fut à la source de l'engouement populaire et de la "publicité" faite autour de la Zone 51 ou Dreamland. Une route fut baptisée "Extraterrestrial Highway" à proximité de la base de Nellis et de petites localités, comme Rachel, Nevada accueillent de nombreux touristes venus en pèlerinage ou encore pour tenter d'observer, aux alentours de la base, une des soucoupes volantes décrite par Lazar.

Lors du tournage du film Independence day, l'armée perd encore une occasion d'améliorer les choses, en indiquant aux producteurs qu'ils sont prêt à collaborer au film à une seule dernière condition : que toutes les références à la Zone 51 soient enlevées. L'histoire de la zone étant capitale pour le thème du film, les producteurs, bien que désirant ardemment la coopération des militaires, ont finalement refusé.

A la recherche du secret perdu

Autour de la Zone 51 et de ses secrets gravitent en d'autres : la Zone 19, ou la Zone 2, également désignée comme la base de Lake Mead, un dépôt d'armes nucléaires situé près de la base de Nellis. C'est en fait à se demander si, le secret de la base maintenant éventé et rien de vraiment probant n'étant ressorti des recherches des uns et des autres, on ne cherche pas un nouveau lieu plus secret et inconnu sur lequel on pourra supputer à loisir.

Dans la lignée de ce mouvement visant à déplacer le secret plutôt que de reconnaître qu'il n'est pas là où on avait cru le voir, la dernière histoire en vogue est le déplacement de l'activité secrète qui avait lieu naguère aux alentours de Groom Lake : en Juin 1997, un article de Popular Mechanics [PM 1997] fait sensation, indiquant que la Zone 51 est probablement fermée depuis un an et que les essais de nouveaux avions expérimentaux sont maintenant effectués en Utah, dans la zone 6413. Cependant, rien de probant n'appuie cette thèse. On parlera également d'une zone de 300 miles au Nord de l'Alaska, que les avions ne sont pas autoriser à survoler sous peine d'être abattus.

Le 15 décembre 1999, le DOE cède officiellement le contrôle de la Zone 51 à l'USAF [Rogers 1999].

Références :

 

 

 

 

Robert Scott Lazar (1959)

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Egalement connu sous le nom de "Bob" Lazar. Né le 26 janvier 1959 à Coral Gables, Floride, Etats-Unis. Physicien et mécanicien talentueux, il construit sa propre voiture à réaction (560 km/h en vitesse de pointe), ainsi qu'un véhicule propulsé à l'hydrogène.

EN 1982 Lazar travaille comme technicien chez Kirk Meier, un sous-traitant de LALN. Il déclarera plus tard avoir travaillé pour LALN.

En 1988 Lazar rencontre John Lear par l'entremise d'un de ses amis, Gene Huff. Lear montre à Lazar des photos d'avions furtifs et de SR-71 [Good 1991].

Bob Lazar

Après avoir envoyé des CVs à plusieurs compagnies, Lazar aurait été contacté pour un entretien dans les locaux de EG&G. La première question qu'on lui aurait posé aurait été : Quelle est la nature de votre relation avec John Lear ? Pensant que cela peut poser un problème, il répond qu'il s'agit juste d'une connaissance, qui met son nez là où il ne devrait pas.

En Décembre 1988, Lazar aurait reçu un appel téléphonique lui indiquant quand se rendre à l'Aéroport McCarran, où un Boeing 737 (probablement un 737-200, appartenant à EG&G) l'emènerait avec d'autres à Groom Lake. De là, après un rapide briefing à la cafétéria, un bus avec des vitres opaques aurait conduit le reste de l'expédition le long d'une route sale dans une zone à 10 ou 15 miles au Sud de Groom Lake, en bordure de Papoose Lake [Good 1991].

Lazar déclara lors d'une émission de télévision en Mai 1989 avoir travaillé sur le système de propulsion d'un appareil extraterrestre pour le compte de l'Armée Américaine durant 5 mois à partir de Décembre 1988. Il déclara que le gouvernement américain y conduisait un programme d'examen de 9 soucoupes volantes et tentait d'adapter la technologie extraterrestre à ses propres fins. Lazar fit ce témoignage public dans l'ombre : il se présenta sous un nom d'emprunt, "Dennis", avec une voix modifiée, lui et sa femme ayant alors fait l'objet de menaces de mort. Ces précautions furent cependant peu efficaces : dans les jours qui suivirent son intervention, de nouvelles menaces de mort se succédèrent et des coups de feu furent tirés sur sa voiture.

Lazar se réclame scientifique

En Novembre de la même année, Lazar décida alors de jeter le masque. A cette occasion, il donna plus de détails encore, décrivant notamment le site ultra-secret "S4", situé à l'intérieur de la Zone 51, près du lac Papoose, lieu où les engins extraterrestres étaient remisés. Il précisa les fonctions qui avaient été les siennes sur le site : au sein d'une équipe de 22 ingénieurs, il avait été engagé pour tenter de comprendre le système de propulsion des ovnis, comme décrit dans le document projet Galileo.

En Mars 1990 à Las Vegas, John Lear présente Lazar à Timothy Good.

Le 5 Juin Lazar il est arrêté pour incitation à la prostitution. Le 18 Juin il plaide coupable.

Le 1er Mai 1993, Lazar parle au "Ultimate UFO Seminar" au Little A-Le-Inn de Rachel (Nevada).

 

Projet Galileo

Traduction de Project Galieo.

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Nom : Robert Lazar, scientifique et homme d'affaire indépendant.

Déclaration : Avoir travaillé en tant qu'ingénieur en système de propulsion fin 1988 et début 1989 sur un des neuf appareils extra-terrestres étudiés et testés sur l'Espace Aérien de Nellis.

Contexte : Lazar déclare avoir travaillé de 1982 à 1984 au Laboratoire National de Los Alamos, au labo de Physique des Mesons avec un niveau de sécurité Q. En 1985, alors qu'il était en vacances au Nevada, il se décida à acheter maison de prostitution légale ; l'investissement se révéla si profitable qu'il n'eut pas besoin de retrouver un travail à temps plein pour un moment. Il partit dans le Nevada en 1986. En 1988, alors qu'il désirait retravailler dans le milieu scientifique, il fut engagé, d'après ses dires, pour travailler sur le projet top-secret Galileo. Lazar passa un test de détection de mensonge en 1989, préparé par Georges Knapp, alors présentateur à KLAS-TV, la filiale de CBS au Nevada, pour une série locale spéciale, "OVNI : La Meilleure Preuve".

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L'Histoire : En 1988, je décidais de regagner la communauté scientifique en envoyais des curriculum vitae à diverses personnes. Finalement, j'obtins un entretien avec une firme de placement afin de travailler pour le Département des Renseignements Navals en tant que civil, et je fus engagé au pied levé fin 1988 afin de travailler sur un projet intégrant des systèmes de propulsion avancés. C'était, à ce moment, tout ce que je savais. Peu de temps après, je fus convoyé par air avec diverses autres personnes sur la zone 51 (area 51) sur l'Espace Aérien de Nellis. Là, nous fûmes placés dans un bus aux vitres assombries et conduits à environ 25 km plus au sud près du lac Papoose, entouré des montagnes de Papoose, où se situait une installation nommée "S4". Je fus présenté à mon superviseur ainsi qu'à un collaborateur puis reçu tout un ensemble de briefings à propos de divers projets, dont le projet Galileo, dont le but était l'étude de neufs appareils extra-terrestres de forme discoïdale, récupérés en quelque circonstance par le gouvernement Américain. Je fus affecté à des tâches d'ingénierie sur le réacteur et sur le système de propulsion gravitationnelle d'un de ces disques - essentiellement dans le but de déterminer comment il fonctionnait. Je ne sais pas s'il s'agissait d'une récupération suite à un crash, bien qu'en doutant, parce que le disque n'apparaissait endommagé en aucune façon. Dans les rapports de briefing figuraient des photographies de divers disques accompagnées de certaines des informations qu'ils avaient déjà obtenues d'autres ingénieurs de recherche. J'étais à la fois stupéfait et exalté. Mais partout se trouvaient des gardes très bien armés, et ce lieu n'était pas, à proprement parler, le type d'environnement où vous pouviez poser toutes les questions qui vous venaient à l'esprit. La sécurité, en fait, se révélait oppressante. Nous étions escortés partout, même aux toilettes. Et si par malheur votre badge d'identification n'était pas exactement à sa place, vous pouviez d'être appréhendé par un garde qui vous tenait en respect, son arme pointée sur votre tête, jusqu'à ce que votre superviseur arrive. Et les gardes, eux, ne vivaient que pour cela. L'ensemble semblait à certains moments tout simplement surréaliste. Il y avait des posters du disque sur lequel je travaillais, que j'avais surnommé le Modèle Sport, affichés sur des murs, où l'on pouvait lire : "Ils sont là". Je ne m'occupais que des sources de puissance et des systèmes de propulsion sur un des disques, et eu l'occasion de pénétrer dans ce disque en diverses occasions. Il faisait approximativement 4,50 m de haut et 16 m de diamètre. Il avait une texture d'acier inoxydable gratté ou d'aluminium gratté. Je n'en fis pas d'analyse et ne sais donc pas s'il s'agissait de métal, mais je pus le toucher et il était froid comme le métal, et avait l'apparence du métal. Il n'avait aucune jointure physique, aucune soudure, boulons ou rivets, et semblait comme moulé par injection.

A l'intérieur se trouvaient de tout petits sièges, bien trop petits pour permettre à un homme moyen de s'y asseoir confortablement. Je me cogna la tête à l'extrémité de l'appareil, ce qui me permis de conclure que le plafond s'incurvait à l'intérieur jusqu'à une hauteur inférieure à 1,80 m. Il n'y avait d'angle droit nulle part dans l'appareil. Tout était agencé en courbes douces. Le réacteur, qui produisait de l'antimatière et réagissait avec la matière dans une réaction d'annihilation, ne faisait que 45 cm de diamètre, 30 cm de hauteur, et était situé au centre du disque. (...). La façon dont il accélérait les protons en son sein, dont la chaleur était convertie en électricité, était totalement harmonieuse sans aucune perte de chaleur ni énergie latente. C'était phénoménal, approchant une efficacité dynamique de 100 %. Cela semble aujourd'hui impossible lorsque vous regardez les lois de la thermodynamique. Tout ce que je puis dire est que cette technologie se situe bien au-delà de tout ce que nous pouvons savoir en ce vingtième siècle. Le réacteur était alimenté avec un élément non trouvé sur la Terre. Une partie de ma contribution à ce programme fut de trouver où cet élément se trouvait dans la classification périodique des éléments. En fait, je ne pu le situer nulle part, aussi nous le plaçâmes au numéro atomique 115. Une théorie stipula à une époque que les éléments autour de 113, 114 et 115 pourrait devenir stables et non-radioactifs, et c'était apparemment ce à quoi nous étions confrontés. L'élément 115 est un élément stable, mais avec certaines propriétés intéressantes. Il peut être utilisé dans le réacteur en tant que carburant, mais également en tant que source de champ d'énergie accédée et amplifiée par les amplificateurs gravitationnels de l'appareil. En d'autres mots, l'appareil était à la fois alimenté en carburant et propulsé par les vertus de l'élément 115. Il y avait une réserve de disques d'élément 115 de la taille d'un dollar argent dont des parts triangulaires étaient coupées et mise dans le réacteur. Il était d'une teinte orange-cuivre et extrêmement lourd. Bien qu'étant non radioactif, nous le supposions composé d'un matériau toxique et le manipulions en conséquence. Dans tous les disques situés à S4 se trouvaient trois amplificateurs gravitationnels positionnés en triade à la base de l'appareil. Ils constituaient le dispositif de propulsion. Ce qu'ils faisaient étaient essentiellement d'amplifier les ondes gravitationnelles en déphasage avec celles de la terre. L'appareil fonctionnait en deux modes - omicron et delta, indiquant combien d'amplificateurs gravitationnels étaient utilisés. Dans la configuration omicron, seul un amplificateur était utilisé ; les deux autres étaient basculés et rentrés à l'intérieur du disque. En mode omicron, les appareils pouvaient s'élever et effectuer un vol stationnaire mais pas grand chose d'autre. Pour quitter l'atmosphère, par contre, les trois amplificateurs gravitationnels devaient être activés et dirigés dans la direction voulue. En fait, les appareils ne voyagent pas selon un mode linéaire. Nous déterminions que les disques produisaient plutôt leurs propres champs gravitationnels afin de distordre l'espace-temps et d'attirer en fait leurs destination vers eux. Un après-midi, mes collègues et moi nous rendîmes à l'extérieur, sur le lac. Le disque sur lequel je travaillais, le Modèle Sport, avait déjà été sorti du hangar et commençait à s'élever. A part un léger sifflement, il ne faisait aucun bruit. Il s'éleva jusqu'à une hauteur de 10 m environ. Le sifflement cessa et il se mit à flotter simplement dans les airs, se déplaçant à gauche, à droite. C'était absolument incroyable. L'information est compartimentée de telle manière que ce fut là toute l'information et l'expérience auxquelles que je fus autorisé à accéder, bien que nous eûmes, à certains moments précis et courts, l'occasion de lire des rapports de briefing détaillant d'autres aspect de ce projet. Les rapports que je lus concernant les systèmes de puissance et de propulsion étaient précis, ce dont je me rendis compte en travaillant moi-même sur le système. Je pus mettre en relation ce que je savais être vrai et ce que je pu lire dans les autres rapports de briefing. Sachant tout cela, je lus des rapports sur l'origine de ces disques. D'après l'un des rapports, il provenait du système stellaire Zeta Reticuli. N'étant évidemment pas allé à ce système dans un appareil, je ne saurais dire s'il venait vraiment de là. Je ne parla à aucun extra-terrestre ni n'en vis aucun, et ne sais donc pas non plus s'ils existent ou non. Le rapport indiquait également qu'un contact avait été effectué à une certaine date ; cependant, toutes les dates étaient codées. De plus, toujours d'après ce rapport, ces êtres avaient indiqué à nos représentants officiels qu'ils venaient ici depuis 10000 ans, que les humains étaient le produit d'une évolution externe contrôlée, et qu'ils étaient entièrement responsable de l'évolution accélérée de l'homme. Ma tolérance à la sécurité intensive diminua rapidement. Parce qu'ils surveillaient mes communications téléphoniques 24h/24, ils apprirent que j'avais des problèmes de couple et me dirent que cette situation faisaient de moi un candidat à "l'instabilité émotionnelle". Ils me confisquèrent alors ma carte d'accès et me dirent que je pourrais en bénéficier à nouveau dans six mois. Je connaissais alors le planning des tests, et ne pu résister à montrer à des amis, une nuit et à distance, ce sur quoi j'avais travaillé. Nous traversâmes le désert et observèrent un vol de test. Cela nous marqua à tel point que nous ne pûmes résister à revenir, encore et encore. Cependant, la troisième fois, nous fûmes arrêtés par les gardes de la Sécurité de Wackenut et fûmes emmenés au Bureau de Gestion du Territoire entourant la zone. Inutile de dire que les officiers de Nellis étaient plutôt mécontents. Je fus débrieffé. J'eus peur et sentis qu'il était temps pour moi d'arrêter tout cela tant que j'en avais encore la possibilité. Je croyais non seulement que cette technologie devait être communiquée à la plus haute communauté scientifique, mais aussi que ma seule protection était de dévoiler cette histoire. Un ami me convint de parler à George Knapp de KLAS-TV. Je me dis que s'ils me tuaient, cela ne pourrait que prouver que ce que je disais était vrai. Beaucoup de scientifiques considèrent qu'il ne peut exister aucun disque extra-terrestre ici et que les extra-terrestres n'auraient aucune chance de venir ici en particulier, en raison de la trop grande distance à parcourir, de l'énergie nécessaire, et qu'il n'existe aucun chemin assez rapide même à la vitesse de la lumière. Ce que j'ai décris est ce que j'ai vécu, bien qu'à certains égards je regrette de l'avoir rendu public. Si c'était à refaire, j'adopterai sans doute une attitude plus disciplinée.

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Aujourd'hui : Lazar, en 1990, après avoir été écarté du projet Galiléo selon ses déclarations, accepta un travail d'indépendant pour mettre en place un système de fichier et de surveillance pour une maison de passe illégale de Las Vegas. Ce travail ajouta à son casier six crimes dont proxénétisme et incitation à la prostitution, gestion d'une maison de prostitution, et vie avec les revenus d'une prostituée. Les charges furent rapidement muées en un seul crime d'incitation au vice. L'un des bons côtés de ce jugement, indique Lazar, réside dans le fait qu'on ne le suit plus - du moins à sa connaissance. Je suppose qu'ils ont considéré que le jugement d'incitation au vice m'a discrédité commente-t-il. Lazar vit aujourd'hui des revenus de ses deux petites compagnies, un firme indépendante de réparation d'appareillages nucléaires et un laboratoire de photo. Il construit et effectue également des courses de jet cars et, chaque année depuis 1984, le week-end précédent le 4 juillet, il organise le Feu d'Artifice du Désert, qu'il décrit comme le plus grand feu d'artifice illégal de tout l'ouest. Cette extravagance pyrotechnique annuelle comprend d'énormes feux d'artifices et explosions de bombes de gaz fabriqués par Lazar et ses amis ainsi que des démonstrations de jet cars et de petites armes semi-automatiques. Lazar a récemment vendu les droits de son film et travaille sur un film en videocassette.

Réponse officielle : La réponse de l'Air Force est qu'il n'y a aucun commentaire à faire sur quoi que ce soit à propos de l'Espace Aérien de Nellis, indique le Sergent Maître de l'USAF J. C. Marcom des Affaires Publiques. Dans le même temps, d'après le Sergent Technique Henderson des Affaires Publiques, L'Air Force n'a aucune trace d'un quelconque travail effectué par Lazar à la Base de l'Air Force de Nellis, bien que nous ayons réunit une grande liste d'investigations à son sujet.

Critique : Nous avons tout à fait établit que Lazar a travaillé à Los Alamos, mais sans savoir ce qu'il y fit exactement indique Mark Rodeghier. En ce qui concerne l'élément 115, les physiciens admettent que l'existence d'un tel élément est théoriquement possible, mais que nous ne savons ni le fabriquer ni simplement le trouver. Que Lazar déclare avoir travaillé avec cet élément n'est donc pas forcément insensé, mais reste complètement invérifiable. Enfin, il semble en savoir assez pour avoir réellement travaillé dans la zone 51 ou Dreamland où des appareils secrets sont testés, mais cette histoire reste un mystère ténébreux. En résumé : C'est impossible à vérifier. Nous n'avons pu, malgré nos investigations, trouver personne pouvant corroborer les dires de Lazar.

 



19/07/2007
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