Présentation de l'éditeur
L'auteur démontre que les voyages interstellaires de l'humanité sont possibles, et il explique pourquoi ils le sont. Ce livre est le fruit de plus de deux décennies de recherche personnelle et de patiente collecte de vérifications expérimentales La première partie analyse les principales difficultés à surmonter pour permettre aux humains de voyager entre les étoiles. La seconde partie présente une nouvelle théorie quantique de la gravitation élaborée, par l'auteur, sur la base de faits d'observations multiples. Cette nouvelle théorie est confrontée, avec succès, à plusieurs résultats expérimentaux. Elle est, en premier lieu, confirmée par la trajectoire de toutes les sondes interplanétaires lointaines. Mais elle est, aussi, corroborée par la vitesse des étoiles dans les galaxies. Cette théorie fait ainsi apparaître une solution naturelle au voyage interstellaire. La troisième partie propose un nouveau moyen de propulsion spatiale interstellaire. L'analyse comparative des caractéristiques de ce type de propulsion avec les données issues de nombreux témoignages d'observation d'ovnis dans le monde, depuis plus d'un demi siècle, s'avère particulièrement éloquente. Les concepts élaborés par l'auteur, et qui sont nés de sa recherche officielle sur le phénomène ovni, semblent porteurs d'une véritable révolution scientifique, technique, industrielle et sociale pour l'humanité
Biographie de l'auteur
Docteur en astronomie - astrophysique. Ingénieur de recherche spatiale. Ingénieur en électronique. Pourvu de trois décennies d'expérience de recherche spatiale au sein du CNES. Responsable successivement de plusieurs services importants de cet établissement public, il a dirigé différents programmes de recherche spatiale français, menés en coopération internationale. Il a contribué à la réalisation d'expériences scientifiques lors de l'exploration lunaire, dans les diverses stations spatiales, ainsi qu'au cours des missions d'exploration des planètes. Il a conduit de nombreuses cessions de congrès internationaux d'astronautique, dans les domaines de recherche astronomique, des études avancées et de faisabilité de missions interstellaires. Claude Poher a créé et dirigé, au CNES, en 1977-1978, le GEPAN, service officiel français d'analyse des observations d'ovnis rapportés parla population, unique au monde, et qui existe toujours actuellement. Ses travaux ont été récompensés par l'ordre national du mérite, le prix Astronautique AAAF et la médaille du CNES. Il est membre de l'Académie internationale d'aéronautique (IAA)
Table des matières
Destinations d'un voyage interstellaire Durée du voyage, énergie, vitesse et accélération Importance des consommables à embarquer Protection contre les rayonnements spatiaux Autres risques à considérer Les 100 étoiles les plus proches du soleil Planètes extra - solaires Cahier des figures en couleur Un objectif : comprendre ce qu'est la gravitation Energie et gravitation Le concept des universons Interaction des universons avec la matière Interaction des universons avec la matière au repos ou en mouvement uniforme Interaction des universons avec la matière accélérée Les universons et la gravitation Effet de l'expansion de l'univers Vérification de la théorie par les sondes spatiales Vérification de la théorie par la vitesse des étoiles dans les galaxies spirales Vérification de la théorie par les vitesses mesurées dans les galaxies elliptiques et les amas de galaxies Principaux résultats de la théorie des universons Interaction des universons avec la matière en rotation Propulsion interstellaire et théorie des universons Autres applications envisageables Vérification expérimentale Autres confirmations Exemples de faits expérimentaux Informations epistémologiques
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Interaction des Universons avec la matière accélérée
Réponse 2 à la réponse 2 de Monsieur Auguste MEESSEN
par Claude Poher
Toute l'argumentation de Mr Meessen se ramène, en fait, à son analyse parfaitement incorrecte de cette interaction, ce qui est fort étonnant.
Afin de régler cette question définitivement, j'utiliserai ici la transformation de Lorentz, pour déterminer la trajectoire des Universons réémis après capture, par la matière accélérée, même si tous les lecteurs ne sont pas familiers de cette méthode. Je m'en excuse auprès d'eux. Dans mon livre, je me suis efforcé d'éviter, autant que possible, de faire appel à des notions qui ne sont enseignées qu'en faculté. En effet, mon objectif était d'informer un maximum de lecteurs. Mais je constate que mon soin, concernant cette vulgarisation, est interprété comme une faiblesse, par Monsieur Meessen, à mon très grand étonnement.
Je rappelle ici ce que j'ai écrit dans mon livre, à la page 122, dans la note explicative E3 :
" Dans les illustrations et les démonstrations relatives à l'interaction des Universons avec une particule de matière, l'auteur s'est efforcé d'éviter de faire appel aux équations relativistes et à celles de la physique quantique. L'objectif était de simplifier le plus possible la présentation afin de la rendre accessible au plus grand nombre. Cela a néanmoins pour conséquence qu'il convient de ne pas trop s'écarter des situations illustrées. Les résultats obtenus de cette façon ne sont pas erronés, même s'ils sont incomplets et simplifiés. Ils s'avèrent en effet suffisants pour aborder la suite de l'ouvrage. "
Peut-on être plus clair ? Or, précisément, Monsieur Meessen ne tient aucun compte de ce que j'écris, et poursuit, sans relâche, son entreprise de démolition. Je vais donc me comporter en conséquence.
Dans la suite, je n'utiliserai pas les lettres grecques de mon livre, mais leur appellation verbale en caractères ASCII, afin d'éviter les catastrophes de traduction entre les ordinateurs sur internet.
Venons-en à l'interaction des Universons avec la matière accélérée.
Au moment de la capture de l'Universon, celui-ci se déplace à la vitesse c dans un repère 1 (x,y,z,t) où la particule élémentaire de matière est considérée comme étant au repos.
L'Universon incident possède alors une trajectoire faisant un angle (Phi) avec l'axe X du repère. Par conséquent, son mouvement, dans ce repère, par rapport à la particule, est tel que sa position à l'instant t peut être repérée par ses coordonnées x, y, z , la vitesse de la lumière étant désignée par c :
x = c t cos (Phi)
y = c t sin (Phi)
z = 0
Appelons cet ensemble de relations : (1).
Or nous observons, expérimentalement, que la masse des particules élémentaires est la même, pour toutes celles du même type, et cela avec une grande précision. Par conséquent, bien que personne ne sache pourquoi il en est ainsi, sur le plan théorique, cela impose à l'interaction Universons / matière de n'apporter aucune énergie moyenne à une particule élémentaire.
Je suis désolé que Monsieur Meessen n'admette pas cette déduction comme évidente. Il est vrai qu'il n'attache guère d'importance aux faits expérimentaux, puisqu'il les passe totalement sous silence.
Dans ces conditions, l'Universon ne peut pas être dévié, dans le repère 1, quand il est réémis, à cause de la conservation de l'énergie et de la quantité de mouvement.
Au moment où l'Universon est réémis, par la particule de matière, à l'instant t = tau , on désire observer la trajectoire de l'Universon dans un nouveau repère 2 ( x' , y' , z' , t' ) lié à la particule. Celle-ci est animée d'une vitesse V = A tau par rapport au repère précédent, puisque l'accélération constante A s'exerce pendant le temps tau au cours de l'interaction d'un seul Universon. L'Universon réémis possède alors une trajectoire faisant un angle (Phi Prime) avec l'axe X' du repère 2. Par conséquent, son mouvement, dans ce repère 2, par rapport à la particule, est tel que sa position à l'instant t' peut être repérée par ses coordonnées x' , y' , z' :
x' = c t' cos (Phi Prime)
y' = c t' sin (Phi Prime)
z' = 0
Appelons cet ensemble de relations : (2).
La vitesse du repère 2 par rapport au repère 1 étant V = A tau nous pouvons appliquer la transformation de coordonnées de Lorentz, très classique en mécanique relativiste :
Posons
Gamma = (1 — V 2 / c 2) — 1/2
Il vient alors, selon Lorentz :
x' = (x — V t) Gamma
y' = y
z' = z
t' = (t — V x / c 2 ) Gamma
Donc il en résulte, selon les relations (2) :
cos (Phi Prime) = (x — V t) / ( c t — Vx / c)
et en remplaçant x par sa valeur, donnée dans (1), avec V = A tau :
cos (Phi Prime) = (cos (Phi) — A tau / c) / ( 1 — ( A tau / c ) cos (Phi))
Appelée relation (3)
Nous savons que la vitesse V = A tau est parfaitement négligeable devant la vitesse de la lumière c, donc l'expression (3) se ramène à :
cos (Phi Prime) = cos (Phi) — A tau / c
Expression appelée (4), qui exprime l'angle de re-émission de l'Universon en fonction de l'angle de capture.
On voit immédiatement que si l'angle d'incidence (Phi) devient nul, alors cos (Phi) = 1 et :
Quand (Phi) = 0, alors on obtient : cos (Phi Prime) = 1 — A tau / c
Expression appelée (5)
Donc l'angle d'émission (Phi Prime) n'est pas nul, contrairement à l'affirmation de Monsieur Meessen.
Or, cet effet possède évidemment une symétrie de révolution dans l'espace, autour de la direction de l'accélération A. Ainsi, les Universons, capturés de manière isotrope, ne sont pas re-émis dans un cône d'angle solide Oméga , dont le demi angle au sommet est précisément l'angle (Phi Prime) calculé en (5). On sait, par définition, que l'angle solide et le demi angle au sommet du cône sont associés par :
Omega = 2 π ( 1 — cos (Phi Prime) )
Et par conséquent, d'après (5) :
Omega = 2 π A tau / c
Qui est la relation (6)
Il est facile de constater que la relation (6) est exactement la même que la relation (5-26) de mon livre (page 133). Par conséquent, le cône de non re-émission des Universons est une réalité, n'en déplaise à Monsieur Auguste Meessen.
CQFD. Cela se passe de commentaires, il me semble. Il n'y a donc pas besoin de 14 pages pour y voir clair en physicien. Mais je suis tout à fait certain que Monsieur Meessen, qui ferait mieux de construire que détruire, continuera à " épiloguer " sur cette affaire de cône et sur le reste.
Le reste de l'argumentation de Monsieur Meessen, précisément, est en grande majorité bien évidemment hors sujet si l'on considère les faits ci-dessus. Je ne vais donc pas commenter chacune de ses phrases, pour les réfuter une à une, car il est manifeste qu'il refuse de comprendre mes idées, et qu'il s'applique à détourner le sens de mes démonstrations, volontairement simplifiées, de faits complexes.
Nous en resterons là :
N'étant pas, pour ma part, un acharné " redresseur de tords " des membres de la famille Meessen. Je ne répondrai désormais pas davantage à ces personnes à l'avenir. En tous cas je ne répondrai à aucune sollicitation publique de débat scientifique, de Monsieur Auguste Meessen, tant qu'il n'aura pas clairement admis le comportement de l'interaction des Universons avec la matière accélérée, tel que je l'ai décrit à de très nombreuses reprises.
Ce ne sera pas moi qui le convertirai à ces idées. Nul n'est en effet tenu à l'impossible.
J'estime que ce débat public, voulu par Monsieur Auguste Meessen lui-même, est devenu, de son fait, parfaitement stérile, et de nature à déformer la vérité. Il se fera donc désormais sans moi.
Cordialement à tous, Joyeux Noël et joyeuses fêtes de fin d'année !
C. POHER — 19 Décembre 2003.
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Claude Poher annonce sur son site internet www.universons.com avoir abouti dans sa recherche sur les "universons". Les universons seraient, selon cet ancien patron du GEPAN (le service public chargé d'étudier les OVNIs), des particules créant la gravitation.
Après avoir essayé de convaincre les institutions puis les industriels de la validité de sa théorie, Claude Poher dut se résoudre à créer son propre laboratoire privé, afin de mettre au point ses expériences.
Il vient de publier à destination de tous les résultats de ses travaux, et ça semble prometteur !
Cet objet noir, faussement banal, s'autopropulse en effet à une accélération de plus de 800 g !
Et il ne fait pas que s'autopropulser.
En effet, progressivement j'ai démontré expérimentalement tous les faits prévus par ma théorie :
- L'autopropulsion de l'émetteur est démontrée expérimentalement. Elle est systématique et considérable.
- L'accélération à distance de toute matière irradiée par le flux est démontrée expérimentalement.
- La génération directe d'énergie électrique, à distance, est démontrée expérimentalement. Elle est très simple.
- La création d'un champ électrique dans un diélectrique est démontrée expérimentalement.
- La non-absorption du flux anisotrope d'Universons par la matière est démontrée expérimentalement.
- L'ionisation de l'azote par le flux et l'émission de lumière sont démontrées expérimentalement.
Mon invention permettra donc un jour de propulser un véhicule à de très fortes accélérations.
Elle constitue indirectement une confirmation scientifique expérimentale de la possibilité du voyage interstellaire.
Il s'agit donc là d'une très importante réponse théorique et expérimentale à la question du "Comment ?" dans l'analyse de l'hypothèse de véhicules extraterrestres, pour tenter d'expliquer la nature de certains des plus étranges aspects du phénomène des observations fortuites d'OVNI.
Voici une démonstration de l'autopropulsion :
source : universons (via CRUCRAS)
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