Contact (film de SF) : Contact avec des extraterrestres
Contact (film)
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Contact est un film américain réalisé par Robert Zemeckis, sorti en 1997, et adapté du roman éponyme de Carl Sagan.
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Synopsis [modifier]
Une scientifique américaine brillante à la recherche d'une intelligence extraterrestre se heurte sans cesse à l'incrédulité des personnes qu'elle croise. Cependant, elle arrive un jour à détecter un étrange message d'origine inconnue qui provient de l'étoile Vega. Après décodage, ce message se trouve être le plan d'un véhicule de transport interstellaire accompagné de son lanceur…
Commentaires [modifier]
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Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
L'histoire nous fait clairement apparaître la problématique de la dualité entre la science et la foi avec les idées et l'influence de ces deux parties. On observe également les personnes appartenant aux extrêmes : la scientifique qui a voué sa vie à son travail qui est devenu une passion à l'opposé d'un membre fanatique d'une secte capable de donner sa vie pour appuyer ses idées par des actes kamikazes.
Le film met en exemple une certaine "relativité" avec le voyage pendant lequel le temps s'est étendu quand on le compare à celui des observateurs terrestres. Or Ellie se retrouve sans aucune preuve concrète pour affirmer que son voyage a réellement eu lieu ; les affirmations sans démonstration étant ce qu'elle reprochait à la religion.
Fiche technique [modifier]
- Titre : Contact
- Réalisation : Robert Zemeckis
- Scénario : James V. Hart et Michael Goldenberg, d'après le roman Contact, de Carl Sagan
- Production : Steve Starkey, Robert Zemeckis, Ann Druyan, Carl Sagan, Joan Bradshaw et Lynda Obst
- Société de production : Warner Bros. Pictures
- Budget : 90 millions de dollars (68,30 millions d'euros)
- Musique : Alan Silvestri
- Photographie : Don Burgess
- Montage : Arthur Schmidt
- Décors : Ed Verreaux
- Costumes : Joanna Johnston
- Pays d'origine : États-Unis
- Format : Couleurs - 2,35:1 - DTS / Dolby Digital / SDDS - 35 mm
- Genre : Science-fiction
- Durée : 153 minutes
- Dates de sortie : 11 juillet 1997 (Canada, États-Unis), 17 septembre 1997 (Belgique, France), 19 septembre 1997 (Suisse)
Distribution [modifier]
- Jena Malone : la jeune Ellie
- David Morse : Ted Arroway
- Jodie Foster : Eleanore Arroway
- Geoffrey Blake : Fisher
- William Fichtner : Kent
- Sami Chester : Vernon
- Timothy McNeil : Davio
- Laura Elena Surillo : Cantina Woman
- Matthew McConaughey : Palmer Joss
- Tom Skerritt : David Drumlin
- Henry Strozier : Minister
- Michael Chaban : Hadden Suit
- Max Martini : Willie
- Larry King : lui-même
- Thomas Garner : Ian Broderick
- Jake Busey : Joseph
Autour du film [modifier]
- Le tournage s'est déroulé au Parc national du Gros-Morne (scène des mers du Japon) (Canada), à Cap Canaveral, Chinle, Herndon, Los Angeles, Socorro, Victorville et Washington (États-Unis), à l'observatoire d'Arecibo et Ciales (scène du restaurant) (Porto Rico).
- Dans l'épisode Chirurgie esthétique de la série animée South Park, le chirurgien esthétique utilise comme moyen vomitif la phrase "Avez-vous vu le film Contact ?" pour que Mr Guarison vomisse après l'opération.
Bande originale [modifier]
- Who Needs Wings To Fly, composé par Dominic Frontiere et Sid Wayne
- Purple People Eater, interprété par Jimmy Buffett
- Spaceman, interprété par Harry Nilsson
- Spirit In The Sky, interprété par Norman Greenbaum
- Old Time Religion, interprété par The Forester Sisters
- El Corazon Herido, interprété par Efrin Toro, Oskar Cartaya et Ramon Stagnaro
Voir aussi [modifier]
Liens internes [modifier]
- Le roman Contact
- Rasoir d'Ockham
Liens externes [modifier]
- Contact sur l'Internet Movie Database
- Contact sur Mad Movies
Catégories : Film réalisé par Robert Zemeckis • Film américain • Film sorti en 1997 • Film de science-fiction • Adaptation d'une œuvre littéraire au cinéma • Titre de film en C
CONTACT
(Contact)
USA - 1997 - 153 minutes
Réalisé par : Robert Zemeckis
Producteur : WB pictures
Scénario : James Hart & Michael Goldenberg, d’après un roman de Carl Sagan
Photo : Don Burgess
Musique : Alan Silvestri
Avec : Jodie Foster (Ellie Arroway adulte), Jena Malone (Ellie enfant), David Morse (Ted Arroway), Matthew McConaughey (Palmer Ross), Tom Skerrit (David Drumlin), John Hurt (S.R. Hadden)
Film décrypté par francesco, le 11.03.2004
« Ellie Arroway, une astronome américaine du réseau SETI, consacre sa carrière (sa vie ?) à la recherche d’une intelligence extraterrestre. Un jour, le contact se fait. Le monde entier se met alors à regarder vers les étoiles … »
Contact, l’épopée new age du vulgarisateur scientifique Carl Sagan, est à la base un roman qui fut un énorme best seller aux Etats Unis à l’époque de sa publication en 1985. L’écrivain a élaboré cette œuvre à partir de sa série documentaire Cosmos (1980), mondialement diffusée sur les tévés d’à peu près tout les pays de la planète. Une adaptation du livre au cinéma a été envisagée bien en amont de la production effective du film. En fait, avant même d’être un roman, Contact devait déjà être un long métrage réalisé par Carl Sagan en personne, mais ce projet connu un « developement hell » long (une bonne quinzaine d’années !) et mouvementé. Le réalisateur australien Georges Miller a travaillé à partir de 1993 sur le film mais les contraintes budgétaires ont eu raison de ses exigences et de son perfectionnisme. C’est donc fin 1995 que Robert Zemeckis le remplace, probablement sur la base du succès de Forrest Gump (1994). Avec Forrest Gump, Bob Zemeckis a en effet fait ses preuves quant à son aptitude à développer des fresques spectaculaires et lyriques « à la David Lean » qui décrivent tout un pan de l’histoire US au travers du regard de certains personnages. C’était d’ailleurs déjà son approche sur les films de la trilogie des Retour Vers Le Futur (1985, 1989 & 1990), soit dit en passant. On peut donc penser que le gars Bob est particulièrement apte à relever le défi de cette épopée globalisante « à visage humain ». Pour la petite histoire, la sortie du film a été compromise au dernier moment par la réapparition de Francis Ford Coppola, impliqué initialement avec Carl Sagan dans l’adaptation du roman. Apparemment fâché de voir un autre s’approprier ce qu’il considérait être son travail, il a compliqué l’affaire en collant un procès à la Warner pour faire valoir ses droits en tant qu’inspirateur du projet, réclamant des dommages et intérêt et même l’interdiction de la sortie du film de Bob Zemeckis (!).
Protégé de cet embrouille artistico-judiciaire par les producteurs de la Warner, Bob Zemeckis va malgré tout pouvoir mener Contact à terme. Il déroule son approche habituelle et va prendre de nouveau comme prétexte une saga, ici scientifico-spirituelle (elle était historique dans Forrest Gump et sociale dans les Retour Vers Le Futur), pour en fait se livrer à une caractérisation approfondie d’un personnage et ramener une trame la plus large possible (le « contact » du troisième type) vers des préoccupations intimistes centrées autour d’Ellie Arroway.
Ce parti pris est d’ailleurs signifié dès la première séquence du film ; le zoom arrière le plus définitif de toute l’histoire du cinéma : la caméra s’éloigne de la Terre, parcourt le système solaire puis notre galaxie pour finalement s’aventurer aux confins de l’univers connu. La bande son balaie l’histoire de l’humanité (contemporaine) via des transmissions radio retraçant les évènements marquant du XXème siècle. Ces éléments (le Cosmos et l’Histoire) seront pourtant effacés et mis en retrait lorsque le fameux zoom s’achèvera par un cadre sur les yeux (le miroir de l’âme ?) du personnage principal, ce qui laisse sous entendre l’idée surprenante qu’un individu puisse potentiellement contenir toute les richesses de l’Univers. Dès le début, donc, Zemeckis privilégie délibérément Ellie Arroway et dans l’opposition entre les différents points de vue que Contact propose (fresque globale ou drame intimiste ; la planète et ses 6 milliards d’habitants ou le personnage principal seul ; enjeux civilisationnels ou problématiques intimes); Zemeckis choisit (mais ce n’est pas une surprise étant donné ses précédents films) de raconter AVANT TOUT l’histoire d’Ellie Arroway.
Ellie est une orpheline seule au monde qui a subi une « blessure si profonde qu’elle s’est emparée d’elle » : elle n’a jamais connu sa mère et a vu son père mourir alors qu’elle avait 9 ans. Forcée par le destin à affronter sa vie seule au monde, Ellie Arroway n’a pas vraiment de motivation concrète qui la guide et elle préfère s’abandonner dans la quête presque névrotique d’un « contact » par delà les étoiles avec Dieu seul sait quoi. Comme le lui fait remarquer sa némesis, David Drumlin (un scientifique arriviste et terre à terre qui contrairement à elle a parfaitement intégré les codes de comportement en vigueur dans la société), Ellie s’est enfermée dans un champ d’étude qui correspond à un suicide professionnel (la recherche d’intelligence extraterrestre). David Drumlin n’a pas tort : Ellie a les yeux et l’âme fixés vers les étoiles pour ne pas avoir à se préoccuper de son environnement réel. Elle est absente au monde et préfère poursuivre des chimères plutôt que de vivre une vie digne de ce nom. On comprendra lors de sa rencontre finale avec des extraterrestres zens (et un brin psychanalystes !) qu’en fait, Ellie fait un blocage sur son passé : elle voulait avant tout faire ses adieux à son père pour solder la traumatisme de sa mort et enfin faire son deuil. Elle aura la possibilité de rattraper cette occasion manquée de la plus douce et la plus émouvante des façons : les extraterrestres organisent pour elle une fausse-vraie rencontre avec un avatar de feu son père en créant une image mentale allant chercher dans sa psyché les souvenirs enfantins d’un bonheur révolu (une plage de Pensacola, lieu de la liaison radio la plus longue qu’elle ait réussit enfant et qui lui fera miroiter la possibilité de « contacts » impossibles : « Papa. Tu crois qu’on pourrait parler à Maman ? » ).
Contact, ou comment la plus grande aventure de l’espèce humaine prend des allures de thérapie intimiste.
Même si le film est avant tout centré sur Ellie Arroway, le contexte général de l’histoire est malgré tout captivant. L’épopée planétaire n’est pas en reste et Zemeckis rend lisible un enchevêtrement d’enjeux distincts et parfois antagonistes. Confrontées à un enjeu dont la portée leur échappe, les autorités politiques, religieuses et militaires s’opposent, arbitrées par les médias. Une scène charnière du film montre différents dignitaires s’affronter au sujet de la marche à suivre face au message extraterrestre (les plans d’une machine à la fonction incertaine), ce qui nous vaut une savoureuse allusion au Dr. Folamour de Kubrick (un général un peu à la ramasse évoque la « Doomsday Machine » en guise d’argument). Cette peinture à grand spectacle des réactions planétaires et politiques face à l’apparition d’une intelligence extraterrestre dynamise le récit et permet à Zemeckis de diversifier ses approches du sujet, même si Ellie reste le point central de la construction du film.
Dans Contact, Bob Zemeckis multiplie les innovations et les expérimentations formelles les plus hallucinantes qui, fait notable, ne sont JAMAIS gratuites. Les intervenants du films soulignent en effet la virtuosité du réalisateur, qui truffe son film de morceaux de bravoure quasiment indétectables pour les néophytes (comme moi ;-)) et qui surtout sont TOUJOURS au service de la mise en scène. Jamais sans une bonne raison, Zemeckis se fait plaisir et administre à l’image la preuve de ses qualités de technicien inspiré : plans séquences « impossibles », effets spéciaux novateurs, multiplications des points de vue dans un même plan (grâce à l’utilisation de moniteurs vidéos, de miroirs et de reflets afin de présenter plusieurs actions simultanées), plans d’ensembles de plusieurs minutes avec changements d’axes et interactions entre 2 ou 3 dizaines de personnages dans une « chorégraphie » minutée de manière maniaque : Contact regorge de discrètes prouesses de ce genre.
L’exemple le plus édifiant est peut être le flashback où Ellie part du rez de chaussée de la maison familiale, monte les escaliers, traverse un couloir et arrive dans la salle de bains pour ouvrir une armoire à pharmacie et prendre des cachets pour son père qui est en train de mourir d’une attaque cardiaque sur le plancher du salon : pendant toute la durée de ce plan séquence/travelling, elle est face-caméra. On se rend compte à la fin de la scène qu'en fait, c'est le reflet dans le miroir de l'armoire à pharmacie (qui est au bout du couloir à l'étage, donc) qu'on voit depuis le début ; ce qui est rigoureusement impossible (puisqu'on la voit avancer sans aucune coupure à l’image depuis le rez de chaussée). Cette séquence magnifique est non seulement justifiée par un enjeu dramatique tétanisant (la petite Ellie, 9 ans, est en train de devenir orpheline) mais permet également de mettre en valeur le jeu d’actrice de Jena Malone (l’interprète d’Ellie enfant) dont le regard paniqué est juste bouleversant. On est très loin des fumisteries futiles de David Fincher dans Panic Room qui des années plus tard prétendra révolutionner la forme cinématographique en faisant passer une caméra virtuelle dans l’anse d’une cafetière numérique. Bob Zemeckis, quand il se la raconte en élaborant des plans « impossibles », n’oublie jamais de le justifier en mettant ses expérimentations au service de son propos, lui.
Pour la petite polémique, signalons que Contact a été accueilli par les détracteurs de Zemeckis avec les habituelles accusations de conservatisme qui lui collent à la peau. Il est amusant de constater que certains spectateurs mal intentionnés puissent voir dans un film mettant en scène une scientifique résolument athée et qui à la fin s’avère être la détentrice de la vérité vraie (et seule contre tous, en plus !) un manifeste bigot et rétrograde. Il est pourtant plus qu’évident que Zemeckis privilégie l’humain au spirituel et les enjeux intimes aux préoccupations métaphysiques : dans Contact, si on voyage aux fins fonds de l’espace cosmique, c’est pour résoudre ses traumas personnels et non pas pour accéder à une quelconque vérité transcendantale à la mors moi le nœud qui serait révélée par une entité divine. Pour enfoncer le clou, signalons également que Zemeckis a choisi de collaborer pour ce film avec Jodie Foster, qui par ses choix de vie personnels, n’est pas à proprement parler une égérie traditionaliste. En tout cas, l’évidente liberté d’action accordée à cette formidable actrice (F-des-Bois tient absolument à préciser que la prestation de Jodie Foster est « énoooorme » !) lui permet de porter le film sur ses épaules et de créer une émouvante et inoubliable héroine. Toute proportions gardées (car il ne faut pas non plus exagérer), Eleonore Anne Arroway (très joli 2ème prénom) a sa place au panthéon féministe au côté de Sarah Connor, Helen Ripley ou Buffy Anne Summers (très joli 2ème prénom.( Note de FdB : tu peux pas t’en empêcher hein ! )). Quant au caméléon Matthew « Den Van Zan » McConaughey, son personnage de pasteur new age consensuel « qui a tout compris à la vie » n’est pas si ridicule que cela puisque Palmer Ross est en fin de compte le seul personnage stable et sain d’esprit (ce qui ne l’empêche pas de se poser de vraies questions). Son utilité est principalement de jalonner l’existence d’Ellie de repères.
Comme tous les films osant traiter de la Foi (Emprise, Signes), Contact a donc été montré du doigt et a du subir des critiques (des accusations ?) souvent injustifiées. Zemeckis montre une galerie de personnages questionnant leur Foi et leurs convictions spirituelles à l’occasion de l’apparition d’extraterrestres, événement majeur qui bouleverse le champ des possibles ; leur perception de l’Univers et le sens de la vie. Si ce sujet ramène inévitablement à un dilemme religieux, Zemeckis se garde bien de verser dans la bondieuserie. On pourrait même dire « au contraire ». Si Zemeckis choisit son camp, ce n’est certainement pas celui des « grenouilles de bénitier ». Les religieux dans Contact sont au mieux des arrivistes (David Drumlin) ou des politiciens (le révérend Richard Rank, incarné par Rob Lowe et sa dégaine de premier de la classe) finalement bien éloignés de toute préoccupation philosophique, quand ce ne sont pas des fous dangereux et intolérants (le terroriste Joseph, un illuminé fanatique joué par Jake Busey). Finalement, le champion d’un certain idéalisme, qui aspire à élever son existence vers une dimension spirituelle, c’est bel et bien Ellie Arroway, pourtant rigoureusement athée. Quand à la rencontre finale avec son père, est-il besoin de préciser qu’il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une sorte d’hypnose élaborée par des extraterrestres (qui expliquent clairement cet état de fait à l’héroïne, d’ailleurs) et non pas d’une apparition divine comme l’ont expliqué certains (WTF ?!?, pour reprendre l’expression de Waco).
Il est de plus dommage de constater que malgré toute ses qualités, Zemeckis se traîne une réputation de faiseur sans inspiration alors qu’il a toujours fait le trait d’union entre le grand public et les innovations technologiques (dans le domaine de l’utilisation des effets spéciaux) tout en se réclamant d’un certain classicisme « intègre ». Il a su s’émanciper de son mentor Steven Spielberg et imposer sa propre originalité tout en respectant son enseignement (Contact emprunte évidemment beaucoup à Rencontre Du Troisième Type). Rappelons aussi que c’est lui qui a produit le cheval de Troie hollywoodien d’un certain Peter Jackson, le formidable Fantômes Contre Fantômes, où l’on peut même déceler son influence artistique subtilement intégrée au film sans que cela ne dénature pourtant les intentions et les choix de Peter Jackson (qui restent quand même très largement prédominants, restons lucides). Une excellente expérience pour le néo-zélandais. De là à dire que cela a été une bonne mise en confiance et en condition pour se lancer dans l’aventure Le Seigneur Des Anneaux, il n’y a qu’un pas ! Sans trop faire de prospective stérile, on peut frémir en pensant à ce qui se serait passé (ou plutôt à ce qui aurait pu NE PAS se passer) si sur son premier film avec des américains, Peter Jackson avait été traité comme un Tsui Hark ou un John Mc Tiernan.
Pour les cinéphiles qui souhaiteraient approfondir l’expérience Contact ou lui accorder une « seconde chance » (un des thèmes récurrents du film d’ailleurs), le dvd zone 2 France se trouve régulièrement dans les bacs à soldes à des prix ridicules. Même si on a malheureusement droit aux ignobles boîtiers Warner, cette édition comporte 3 commentaires audio d’un intérêt certain : celui de Jodie Foster, de Robert Zemeckis et de Ken Ralston (responsables des effets spéciaux).
Comme dirait S.R. Hadden, « Wanna take a ride ? ». Telle Ellie, sachez répondre « OK to go ! » …