SCOOP : l'Affaire Cash / Landrum : la PREUVE par A + B que les américains ont des OVNI fonctionnant à l'énergie nucléaire

 

SCOOP :  l'Affaire Cash / Landrum  : la PREUVE par A + B que les américains ont des OVNI fonctionnant à l'énergie nucléaire

Bob Lazar (témoin d'OVNI américains) affirme que lors des essais OVNI des militaires américains (Voir article sur la base AREA 51), ceux-ci pouvaient être accompagnés par des hélicopères.

Deux femmes et un enfant ont vu un de ces OVNI atterrir devant leur voiture sur une route déserte en pleine nuit aux USA. l'OVNI semblait avoir des problèmes car il crachait des flammes au sol. En s'approchant de l'OVNI, l'une des femmes a été gravement brûlée et ses séquelles sont des brûlures radio-actives, qui ont été autethentifiées plus tard à l'hôpital où elles ont du aller.  Celle-ci a failli en mourir. Un vol d'environ 20 hélicoptères qui suivait l'OVNI en pleine nuit a été vu par les 3 témoins, et par un autre témoin plus tard. La femme brûlée s'est battue toute sa vie pour faire reconnaître l'afaiblissemnt de sa santé suite à ces blessures, qu'elle attribue au Gouvernement américain, sans succès. Des hommes avertis l'ont aidé à se battre toute sa vie. Mais le Gouvernement américain reste muet...

Ci-joint une vidéo sur le sujet, et des articles qui suivent sur les sujet.

 

Une étonnante chasse à l'OVNI, d'une base atomique anglaise et arrivée de l'OVNI aux USA où l'OVNI brûle gravement deux personnes, OVNI qui est pourchassé par une vingtaine d'hélicoptères militaires de combat. OVNI où engin secret de l'Armée américaine ? Mystère non résolu. Naturellement les archives militaires de cette nuit là vont disparaître officiellement.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/ovni/video/x178uj_planete-choc-dossier-ovni-0102

 

L'affaire Cash/Landrum (1980)

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Vickie Landrum
Vickie Landrum
Betty Cash
Betty Cash

Le 29 décembre 1980, après un dîner dans un restaurant de New Caney (Texas), Betty Cash (50 ans), Vickie Landrum (60 ans) et son petit-fils Colby (7 ans) prennent leur voiture pour rentrer chez eux. Ils empruntent la nationale FM1485 qui traverse une forêt de chênes et de pins près de Huffman, une route isolée en direction des faubourgs de Houston. Brusquement, au détour d'un virage, le jeune Colby commence à s'agiter en désignant un point lumineux dans le ciel. Surprises, les 2 femmes regardent à leur tour et aperçoivent un point lumineux qui se rapproche pour finalement prendre l'apparence d'un appareil en forme de losange. Celui-ci descend à mi-hauteur des arbres, à la verticale de la route. Un cône de feu émerge du bas du vaisseau et empêche tout passage, comme le ferait le réacteur d'une fusée.

La lumière émanant du mystérieux objet — qui n'est plus maintenant qu'à 60 m environ — est si brillante qu'elle en éclaire la forêt aux alentours. Betty Cash arrête la voiture ; les 3 occupants en descendent rapidement. Une fois à l'extérieur, ils éprouvent une incroyable sensation de chaleur. Effrayée, Vickie Landrum remonte en voiture avec Colby, tandis que Betty continue à fixer l'objet brillant, sans prêter attention à la chaleur intense qui lui brûle la peau, ni à la lumière qui lui blesse les yeux.

Peinture retraçant l'observation
Peinture retraçant l'observation

Il faudra que l'objet s'éloigne pour que Betty réponde aux supplications de Vickie et remonte en voiture. Mais en ouvrant la portière, elle se brûle la main sur la poignée chauffée à blanc. Soudainement, tandis qu'ils observent l'appareil qui s'éloigne dans la nuit, une vingtaine d'hélicoptères noirs pénètrent dans leur champ de vision. Il sera indiqué plus tard qu'il s'agissait de 23 hélicoptères Chinook CH-45 à 2 rotors. Les hélicoptères suivent l'étrange objet. Cash et Landrum suivent encore la route sur environ 2 km. Mais lorsqu'ils croisent la route nationale, ils décident de suivre cette direction ; c'est celle qu'ont également empruntée l'appareil et la flotte d'hélicoptères noirs. Soudain, l'un d'entre eux passe juste au-dessus du capot de la voiture dans un bruit assourdissant. Elles bifurquent finalement en direction de Dayton, leur lieu de résidence, laissant l'étrange escorte derrière elles.

Colby Landrum
Colby Landrum

Les faits sont corroborés par d'autres habitants de la banlieue de Houston, qui indiquent avoir aperçu, lors de cette même nuit, des lumières brillantes et un ballet d'hélicoptères dans le ciel.

Au cours des 3 jours qui suivent l'incident, l'état de Betty Cash se détériore si vite qu'elle est admise aux urgences dans un hôpital des environs. Les premiers symptômes sont des brûlures. Mais lors de son séjour dans cet hôpital, Betty ne confie à personne sa rencontre avec l'ovni, et le personnel médical la considère comme une victime de brûlures classiques. Betty souffre aussi de vomissements et de diarrhées, et surtout de graves troubles de la vue — ses yeux sont si enflés qu'elle reste aveugle pendant une semaine. Des cloques se forment sur son cuir chevelu ; elle perd ses cheveux.

Vickie Landrum et son petit-fils sont sujets à des symptômes similaires, mais à un degré moindre. Tous les deux ont les yeux enflés et la peau couverte de "coups de soleil". Ils souffrent, comme Betty, de vomissements et de diarrhées.

Procès (1981)

Au bout de quelques mois, Betty Cash et Vickie Landrum font appel à Peter Gersten. La thèse avancée par l'accusation, qui attaque le gouvernement, est la suivante : le vaisseau aperçu par les 2 femmes n'est pas d'origine extraterrestre, mais appartient à l'USAF. Gersten exige pour ses clientes des dommages et intérêts s'élevant à 20 millions $, au titre des préjudices subis (soins hospitaliers divers, notamment pour le traitement de cancers présentés comme issus des radiations reçues lors de l'incident).

Cependant cette action en justice s'avère longue, exténuante, et finalement vaine. Les représentants de tous les organes officiels démontrent à la justice l'absence d'implication de l'armée américaine, quel que soit le scénario envisagé. En dépit de la plainte de Cash et Landrum, aucune enquête officielle n'aura jamais lieu.

Le procès se tient en 1986, où les représentants de l'USAF et de la NASA indiquent ne posséder aucun appareil susceptible de causer ce genre d'empoisonnement aux radiations (exposition aux ultraviolets, micro-ondes et rayons X), auquel on attribue la responsabilité de cancer déclaré chez les victimes. Aucune des personnes ayant pu observer l'appareil, y compris les 2 victimes, ne sont autorisées à témoigner. Les plaignants sont déboutés, parce que n'apportant pas la preuve de l'appartenance de "l'ovni" au gouvernement américain. Depuis, l'affaire s'est perdue dans les méandres des administrations de l'armée et de la justice. Ce fiasco juridique discrédite Cash et Landrum aux yeux de l'opinion publique.

Enquête

John Schuessler consacre plusieurs années à enquêter sur l'affaire. Il en sort un ouvrage (non-traduit en français) dans lequel il propose l'hypothèse suivante : les hélicoptères appartenaient à des unités militaires basées à Fort Hood (Waco, Texas) ou bien provenaient d'un porte-avions ancré dans le Golfe du Mexique à cette époque. La flotte de Chinook CH-45 ne faisait que surveiller l'ovni. Selon son hypothèse, les extraterrestres étant en grand nombre sur Terre, et bien que le gouvernement américain soit en contact avec eux, ce dernier ne peut les empêcher d'aller et venir à leur guise sur notre planète. Ces extraterrestres ne seraient pas ici pour nous détruire, mais pour exploiter nos ressources. Les américains ne pourraient alors pas faire grand-chose, à part surveiller leurs sorties et compiler des statistiques. Ce compromis forcé servirait de toile de fond à l'affaire Cash-Landrum. Pour étayer sa thèse, Schuessler tente de joindre des reponsables du gouvernement américain, en vain. Un pilote d'hélicoptère se présentera à lui pour lui donner des détails sur ce qui s'était passé cette nuit-là, mais se rétractera ensuite.

Ce cas, connu aujourd'hui comme le Cash/Landrum, est décrit par certains comme ayant eu lieu dans le contexte du projet Redlight, notamment en raison de la présence d'hélicoptères accompagnant l'ovni.

Betty Cash meurt en Alabama le jour du 18ème anniversaire de l'événement, le 29 décembre 1998, à l'âge de 69 ans.

Références :

 

Peter A. Gersten

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Peter A. GerstenGersten vit à Scottsdale (Arizona) et est depuis longtemps intéressé par les histoires d'ovnis. Avocat autorisé à pratiquer dans cet état ainsi que dans l'état de New York où il est alors membre junior d'un cabinet d'avocats du Bronx, il commence par se spécialiser dans les cas de meurtre.

GSW

Après que le Congrès ait voté le FOIA, Gersten écrit à diverses organisations ufologique pour leur proposer d'utiliser cette loi pour obtenir des documents de la CIA liés aux ovnis. Si ces organisations payaient les frais, il ne ferait pas payer ses honoraires d'avocat.

Le GSW, un petit groupe ufologique de l'Arizona, finit par répondre positivement. Le 11 Septembre 1977, Gersten engage une poursuite FOIA en Court Fédérale contre le CIA et au nom du GSW. En plus de demander une "copie certifiée conforme" du rapport de la Commission Robertson de la CIA tenue début 1953, Gersten demande également tous les documents de la CIA liés à 600 incidents impliquant des ovnis. La CIA répond le 17 août 1978, demandant que Gersten modifie sa demande en une "recherche raisonnable" mais diffusant l'ensemble des documents de la CIA liés aux ovnis. Gersten accepte et la Court ordonnée à la CIA de mener cette "recherche raisonnable" en 90 jours pour publier tous les documents qu'elle pourrait trouver, ce qui est fait le 15 Décembre 1978.

CAUS (1980-1984)

Gersten à co-fondé le CAUS et et dirige après le départ de Zechel. Il mène une nouvelle action en justice contre la NSA en 1980 [Action civile n° 80-1562], qui ramène près de 135 documents liés aux ovnis.

Cash-Landrum (1981)

En 1981, Au bout de quelques mois, Betty Cash et Vickie Landrum font appel à Gersten. Celui-ci attaque le gouvernement, à l'appui de la thèse suivante : le vaisseau aperçu par les 2 femmes n'est pas d'origine extraterrestre, mais appartient à l'USAF. Gersten exige pour ses clientes des dommages et intérêts s'élevant à 20 millions $, au titre des préjudices subis (soins hospitaliers divers, notamment pour le traitement de cancers présentés comme issus des radiations reçues lors de l'incident).

Cependant, après un autre procès remporté contre la CIA en 1983 pour obtenir 57 documents [Action civile 83-2718], Gersten s'éloigne et le CAUS vit une période de quasi-inactivité.

Greenwood en roue libre (1984-1998)

En 1984, Larry Fawcett et Barry Greenwood ont l'idée de publier une mise à jour du Clear Intent sous le sceau du CAUS. Ils demandent l'autorisation à Gersten de raviver l'association et son bulletin. L'accord de Gersten reçu, une nouvelle version du bulletin Just Cause apparaît en Septembre, avec Fawcett comme éditeur et Greenwood comme rédacteur-en-chef. Parfois paraît avec le bulletin un CAUS Washington Report (CWR, qui s'arrêtera en 1992 après une douzaine de numéros) de Larry Bryant, donnant son point de vue sur des sujets ufologiques. Pendant plus de 13 ans, l'ensembles des décisions et opinions du CAUS sont alors en fait celles de Greenwood, Gersten ne s'en occupant plus du tout. Pendant quelques années Fawcett part lui aussi, en Floride, laissant les commandes à Greenwood.

Coup d'état (1998)

Début Janvier 1998, Greenwood apprend que le CSETI de Steven Greer publie une série de lettres ouvertes avec les adresses d'organisations, dont le CAUS, alors que ni Greenwood ni le CAUS n'ont jamais soutenu le CSETI. Il trouve même à côté du CAUS un numéro de téléphone, mais celui d'un chargé de relations publiques du MUFON. Greenwood n'ayant pas accès à Internet à l'époque, il demande au responsable du site, Steven Bassett, de supprimer toute référence au CAUS.

Le 18 Janvier, Gersten annonce reprendre autorité sur le CAUS de manière rétroactive depuis le 1er Janvier pour faire du CAUS une organisation efficace et activiste dédiée à la fin du secret sur le cotnact extraterrestre et ajoute J'espère reprendre là où Barry a laissé tomber et qu'il devra être consulté pour toute déclaration au nom du CAUS.

Gersten engage même Steven Bassett comme consultant pour le CAUS, entâmant une connexion CAUS-CSETI/Greer. Greenwood envoie sa démission à Gersten. Gersten accepte et annonce une nouvelle publication de Just Cause.

Le 25 Janvier 1998, Greenwood quitte le CAUS et sa revue Just Cause.

Références :

  • The Ultimate Secret (série de pseudo fiction sur Internet)

 

 

John F. Schuessler

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Schuessler Official UFO  vol. 1, n° 6, p. 24, février 1976
Schuessler

Schuessler détient une maîtrise en Etudes du Futur, Prospective Technologique de l'Université de Houston, Clear Lake. Ingénieur en aérospatiale chez Boeing à Houston, Shuessler est à partir de 1962 Schuessler est impliqué dans le programme spatial de vol habité. A partir de 1965 il fait des recherches sur les ovnis et est un des membres fondateur du MUFON en 1969 dont il fait toujours partie du comité directeur et administre le comité médical, composé de consultants displômés dans le domaine médical. Il écrit de nombreux articles pour Skylook et le MUFON UFO Journal.

Cash-Landrum (1981)

A partir de 1981, Schuessler consacre plusieurs années à enquêter sur l'affaire Cash-Landrum. Il en sort un ouvrage (non-traduit en français) dans lequel il propose l'hypothèse suivante : les hélicoptères appartenaient à des unités militaires basées à Fort Hood (Waco, Texas) ou bien provenaient d'un porte-avions ancré dans le golfe du Mexique à cette époque. La flotte de Chinook CH-45 ne faisant que surveiller l'ovni. En fait les extraterrestres étant selon son hypothèse en grand nombre sur Terre, et bien que le gouvernement américain soit en contact avec eux, il ne peut les empêcher d'aller et venir à leur guise sur notre planète. Les extraterrestres ne seraient pas ici pour nous détruire, mais pour exploiter nos ressources. Les américains ne pourraient alors pas faire grand-chose, à part surveiller leurs sorties et compiler des statistiques. Ce compromis forcé servirait de toile de fond à l'affaire Cash-Landrum. Pour étayer sa thèse, Schuessler a tenté de joindre des reponsables du gouvernement américain, en vain. Un pilote d'hélicoptère se présentera à lui pour lui donner des détails sur ce qui s'était passé cette nuit-là, mais se rétractera ensuite.

Il est un des directeurs de l'UFORC, membre du comité de conseil scientifique du NIDS et membre associé du CUFOS.

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19/07/2007
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