Vitesse supraluminique dans la science-fiction

 

Vitesse supraluminique dans la science-fiction

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Les voyages à une vitesse dépassant la vitesse de la lumière sont fréquents dans les œuvres de science-fiction mettant en scène des voyages spatiaux. Ils sont nécessaires pour l'auteur afin de permettre la rencontre de différents peuples et une action à des points éloignés d'une même galaxie.

Les explications parfois données dans ses œuvres sur le voyage supraluminique peuvent se fonder sur des recherches scientifiques valides, mais elles conservent un certain mystère accepté par le lecteur ou spectateur car le moyen trouvé facilite le déroulement de l'intrigue.

Sommaire

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Exemples [modifier]

Cinéma [modifier]

Littérature [modifier]

Dans la série de bande dessinée les Mondes d'Aldébaran de Leo, les vaisseaux utilisent un processus baptisé Benevides Tranfert pour dépasser la vitesse de la lumière.

Dans La Guerre éternelle de Joe Haldeman, les astronautes utilisent des collapsars pour se rendre instantanément d'un point de l'espace à un autre, distants parfois de milliers d'années-lumières.

Dans Crest of the Stars et Banner of the Stars, d'Hiroyuki Morioka, l'univers plan est un univers parallèle par lequel passent les vaisseaux spatiaux pour parcourir de grandes distances en un temps très réduit.

Séries télévisées [modifier]

  • Babylon 5 : l'hyperespace accessible par des points de saut et dans lequel les vaisseaux naviguent grâce à un réseau de balises dont l'origine est inconnue des peuples de la série.
  • Galactica et Battlestar Galactica : les voyages en hyperespace se font par le biais de "sauts" hyperluminique. Il n'y a pas d'effet "tunnel" comme on peut le voir dans d'autres séries de science-fiction.
  • Star Trek : les vaisseaux se déplacent grâce au phénomène de distorsion (Warp).
  • Stargate SG-1 : la vitesse supraluminique est utilisée par les vaisseaux spatiaux et dans le réseau des portes des étoiles alimentées par un matériau imaginaire, le naquadah.
  • Le Festin des dieux (1991), collection 2004 « Coetquen »

Voir aussi [modifier]



07/10/2007
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