Les OVNI en SUISSE - Partie 1

 

Les ovnis en suisse

 

 

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La "Gazette de Bâle", rédigée par Samuel Coccius,"étudiant en Ecritures Saintes et en arts libres, à Bâle, dans la patrie, en août de l'an 1566", rapporte, dans le patois d'alors, que le 7 août de cette année-là, à l'heure du lever du  soleil, "on a vu dans l'air beaucoup de grosses boules noires qui se dirigeaient à grande vitesse et très rapidement vers le soleil, puis qui firent demi-tour, s'entrechoquant les unes les autres comme si elles menaient un combat; un grand nombre d'entre elles devinrent rouges et ignées, et par la suite elles se

consumèrent et s'éteignirent".

 


Comme le montre l'illustration d'époque ci-contre, l'observation eut lieu à Bâle; l'image montre la place du "Münster", la cathédrale, avec l'Antistitium.  

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Des sphères lumineuses seraient apparues au-dessus de la même ville le 27 juillet à 19 heures et le lendemain à 16 heures.

(Bruno Weber: Wunderzeichen und winkeldrucker, Ungraf Verlag Dietikon, Zürich, repris dans Christiane Piens: Les OVNI du passé, Bibliothèque Marabout)


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29 septembre 1571, Bâle.

 

Le journal Neue Zeitung rapporte qu'une sphère noire est apparue et resta pendant toute la journée visible de partout, couvrant le soleil comme cela se produisit en 1567.

(Bruno Weber: Wunderzeichen und winkeldrucker, Ungraf Verlag Dietikon, Zürich, repris dans J. Scornaux et C. Piens: A la recherche des OVNI, Marabout)


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"Discours merveilleux et espouvantables des signes et prodiges qui sont apparuz au ciel sur la ville de Genefve le 21e jour de décembre 1578" est le titre d'une plaquette publiée par G. Stadius, mathématicien du duc de Savoie et astronome connu de ce temps. Il y décrit des phénomènes étranges qui se seraient produits dans le ciel de Genève. Il s'agit de la description d'une "comète surmontée d'une petite croix".
Une autre brochure parue en 1620 intitulée: "Effroyable bataille appercueue sur la ville de Genesvre le dimanche des Rameaux dernier..." raconte :


"On a veu deux soleils, l'un rouge et l'autre jaune qui se sont entreheurtez...Un peu après est apparue une nuée longuette comme un bras, venant du costé du soleil, laquelle s'est arrestée près dudict Soleil, de cette nuée est sorty un grand nombre de gens habillé de noir, et armez comme gens de guerre... et puis voilà 
qu'arrivent des nuées jaunes comme du safran, desquelles nuées sont sorties des réverbérations ressemblant à des grands chapeaux haults et larges et s'est monstré toute la terre jaune et sanglante... Le soleil se dédoubla et tout se termina en une pluie de sang.


La présence d'une croix dans le ciel de Genève est encore signalée le 28 juillet 1621, croix qui jetait des flammes comme pour embraser la ville et ses alentours.

 

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En 1619, à Flüelen, un énorme objet allongé et de couleur de feu est vu près d'un lac par le professeur Christopher Scherer, préfêt du canton d'Uri: "M'étant attardé sur le balcon pour admirer la pureté du firmament, je vis un brillant dragon de feu sortir de l'une des cavernes du mont Pilate et se diriger rapidement vers Flüelen à l'autre extrémité du lac. Il était énorme, sa queue longue et son cou tendu...Il laissait derrière lui, en volant, de nombreuses étincelles...Je crus d'abord voir un météore, puis, en regardant plus attentivement, je fus convaincu par son vol...que je voyais un véritable dragon."


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Le 4 novembre 1704, on signale en Suisse des nuages lumineux se déplaçant à grande vitesse et disparaissant à l'horizon.


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Une procession de "globes immenses" survolent la Suisse le 2 novembre 1761.


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M. DE ROSTAN

 

Un rapport d’un très singulier phénomène observé sur le disque solaire dans certaines parties de l’Europe et pas dans d’autres.

 

Le 9 août 1792, M. de Rostan de la Société Economique à Berne et de la Société Médico-Physique à Bâle, alors qu’il calculait la hauteur du soleil avec un quadrant, à Lausanne, pour vérifier un méridien, remarqua que le soleil ne donnait qu’une faible luminosité, qu’il attribua aux brumes du lac Léman. Il dirigea vers le soleil un télescope de quatorze pieds muni d’un micromètre et fut surpris de voir le côté est du disque solaire comme éclipsé de trois doigts environ dans une sorte de nébulosité enveloppant un corps opaque cachant le soleil.

En l’espace de deux heures et demie environ, le côté sud de ce corps, quel qu’il fut, sembla se détacher du soleil. L’extrémité nord de ce corps, qui avait la forme d’un fuseau de trois doigts de largeur et neuf de longueur, ne quitta pas la partie nord du soleil. Ce fuseau se tenait continuellement en avant du soleil, se déplaçant de l’est vers l’ouest à une vitesse n’excédant pas la moitié de celle à laquelle se déplacent les taches solaires, car il ne disparut pas avant le 2 septembre, après qu’il eut atteint le bord ouest du soleil.

Pendant ce temps, M. de Rostan l’observa chaque jour, c’est-à-dire pendant presque un mois.

Au moyen d’une «camera obscura» il délimita les contours de l’objet, qu’il envoya à l’Académie Royale des Sciences à Paris.

 

Le même phénomène fut observé à Sole (Soleure? - GREPI), dans l’évêché de Bâle, situé à quarante-cinq lieues allemandes au nord de Lausanne. M. Coste, un ami de M. de Rostan l’observa là-bas au moyen d’un télescope de onze pieds et constata que la forme de fuseau était identique à celle observée par M. de Rostan, mais n’était pas tout à fait aussi large, ce qui pouvait être dû au fait qu’approchant de la fin de l’apparition le corps commençait à se retourner et à présenter son bord.

 

Une circonstance encore plus remarquable était qu’à Sole il ne répondait pas au même point du soleil qu’à Lausanne. Il avait par conséquent une considérable parallaxe, mais il n’est pas facile de savoir ce qu’est un corps extraordinaire placé entre le soleil et nous. Ce n’était pas une tache solaire car son mouvement était beaucoup trop lent. Ce n’était pas non plus une planète ou une comète, sa forme semblant prouver le contraire.

En un mot, nous ne savons pas à quoi avoir recours dans le ciel pour expliquer ce phénomène et, pour ajouter à l’étrangeté de la situation, M. Messier qui continuellement observait le soleil à Paris pendant tout ce temps, ne remarqua aucune telle apparition!



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(Annual Register, vol.9, p. 120 et 121)

 

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Le 23 mars 1763, on aperçut à l'occident de Lausanne, une demi-heure après le coucher du soleil, une lumière en forme de colonne verticale qui, à la hauteur d'environ 10 degrés, se courboit de manière que sa partie supérieure faisoit avec l'horizon un angle à peu-près de 35 degrés & avec la partie inférieure un de 125 degrés: cette partie coudée n'avoit pas plus de 3 degrés de longueur, tout le phénomène avoit environ 2 degrés de largeur et se terminoit par l'un & l'autre bout en pointe.


La couleur de ce phénomène approchoit fort du jaune orangé, elle étoit beaucoup plus faible aux deux bouts et aux bords; on distinguoit aisément les couleurs, malgré un nuage assez clair qui coupoit horizontalement la colonne lumineuse en deux endroits.


Le phénomène entier dura environ trente minutes; & avant que de disparoître, il devint d'un rouge fort clair.
Ce détail est tiré de l'observation qu'en a faite M. de Rostan et qu'il a communiquée à l'académie.
(Histoire de l'Académie Royale des Sciences 1763-66, p. 73, Obs. de physique générale II, cité par Jacques Costagliola in Epistémologie du phénomène ovnien, L'Harmattan éditeur.)

 

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Le 11 mai 1811, à 8h35, à Genève, de nombreuses personnes dont des membres de la faculté des sciences, ont soudain vu un flash de lumière dans le nord-est. Ce flash prit ensuite la forme d'un fer à cheval.. Il s'avançait vers l'est et semblait être deux fois aussi haut que les montagnes du Jura.
Un témoin qui l'examina au téléscope affirma que ce trait lumineux était composé de plusieurs parties séparées.


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Du 6 septembre au 1er novembre 1831, le Dr Wartmann et le personnel de son observatoire à Genève remarquent, nuit après nuit, d'étranges corps lumineux. Ces corps ne furent observés nulle part ailleurs.


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Le 8 août 1849, à 15 heures et dans un ciel sans nuages, l'astronome de Gais (Suisse), Sir Robert Inglis, observa des milliers d'objets brillants, semblables à des flocons de neige. Le phénomène fut visible vingt-cinq minutes mais aucune de ces lumières ne tomba au sol. Le domestique d'Inglis, crut apercevoir des formes d'ailes sur certaines d'entre elle.

(Charles FORT, "Le livre des Damnés", Ed. des Deux Rives coll. "Lumière interdite", Paris, 1955)


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Avril 1860


A l'observatoire de Zürich, les Anglais Herrick, Buys-Barlott, et de Cuppis, suivirent les évolutions d'un phénomène céleste. Il s'agissait de très nombreux petits corps noirs.

(Jean Sider, "Les armées fantômes", p.280, citant Charles Hoy Fort, "The Complete Books of Charles Fort", p.220, citant "L'Année Scientifique", 1860-25)

A l'observatoire de Zürich, le 27 avril 1863, le Dr Wolf voit un grand nombre de disques brillants venant de l'est. Certains ont des queues, d'autres ressemblent à des étoiles.


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1896 Arolla


L'auteur Aleister Crowley faisait de la marche en montagne quand soudain il vit deux petits hommes. Il leur fit signe mais il ne semblèrent pas y prêter attention et disparurent parmi les rochers.

(Magic without tears par Crowley)


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Le 3 janvier 1898, la Tribune de Genève rapportait l'information suivante:

 

"Dans la région de Fribourg, un objet a été vu de Romont, mardi soir, vers 20h30. Il était bien moins grand que celui qui avait été remarqué le 13 octobre dernier. Il a été observé pendant environ 15 à 20 minutes. Sa grosseur: celle d'une belle étoile. Son apparence: celle d'une boule de feu, tantôt plus rouge, tantôt plus blanche. Il a commencé à apparaître au-dessus du Gros-Mont, circulant en tous sens; il a ensuite suivi, dans l'espace, la direction de Romont jusqu'à peu près entre Berlens et Mézières, mais toujours à une grande hauteur, puis il est reparti dans la même direction et a disparu derrière le même massif de montagnes."


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Un soir d'été 1919, pendant les grandes vacances, F. S. 12 ans, et un copain plus jeune sont assis sur le mur du préau de l'école enfantine de la rue de Montchoisy, à Genève. Leur attention est attirée par la présence de la lune, au-dessus d'eux. Elle leur paraît insolite, parce que plus grosse que d'habitude, donnant l'impression d'être plus proche, et de couleur orangée. Soudain, elle disparait à une vitesse vertigineuse derrière les frondaisons au sud de la rue.

 

Affolés, ils courent chez leurs parents en annonçant avec terreur que la lune est tombée. Impressionné par leur sincérité, le père de F.S. téléphone le lendemain à l'observatoire, où bien sûr on lui répond que la lune est toujours en place, et que rien n'a été signalé.


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En 1969, après avoir lu dans le journal "La Suisse" des articles consacrés aux soucoupes volantes, une lectrice prend sa plume et elle raconte:

 

"J'ai vu à Azeindaz une telle apparition et quelque temps après, j'avais mis sur papier mes impressions comme suit, sans jamais les avoir soumises à un journal ou à une autre personne:


En 1947, fin juillet, j'ai vu ce qu'on a appelé une "soucoupe volante".


A Azeindaz, un soir de très beau temps, j'étais assise vers 20 heures contre le mur de la maison de mon frère, côté Tour d'Azeindaz. Soudain, je vis apparaître dans le ciel, haut au-dessus de ladite Tour, un disque lumineux. Il était de la grandeur de la lune (la grandeur est difficile à évaluer, maintenant j'ai l'impression qu'il était plus grand), d'un brillant blanc-argent, comme l'aluminium, teinté légèrement mauve-bleu-clair, et accompagné de boules vertes et rouges. Le plus caractéristique était son mouvement de descente vers les crêtes, tournant lentement sur lui-même, comme tombent les feuilles en automne. L'apparition était très belle, j'étais très émue, elle disparut derrière la Tour d'Azeindaz, dans le précipice vers Solalex. Tout le mouvement durait à peu près 15 à 20 secondes, si ce n'est plus. Ce qui était aussi caractéristique, c'est que l'objet avait l'air de foncer sur moi, de "venir" de très haut. J'allai vers les autres pour leur annoncer cette merveilleuse vision extaordinaire, mais personne ne faisait attention et on me répondit même de façon très évasive. Je n'en ai plus parlé, mais je m'en souviens très bien..."


(Marlise Flotron, Lausanne)


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Le 8 août 1947, la Gazette de Lausanne, citant le Corriere del Ticino, mentionne une communication de son correspondant à Locarno:


"Lundi passé, vers 3 heures du matin, un globe lumineux a été aperçu dans le ciel, accompagné d'un sifflement très aigu, traversant l'horizon d'est en ouest et qui disparut derrière le Pizzo Ruscada. Plusieurs pensent qu'il s'agit d'une des fameuses "soucoupes volantes" et d'autres affirment qu'il s'agit d'un météore d'une grandeur exceptionnelle."


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Le 13 septembre 1947, la Gazette de Lausanne titrait: "Sont-ce des soucoupes volantes ?"


"Des personnes dignes de foi, domiciliées à La Rosiaz, à Lausanne, ont assisté vendredi soir, à un curieux phénomène. Elles ont vu vers 18 heures, traversant lentement le ciel de la région de Villeneuve jusqu'au-dessus d'Evian, une grosse étoile très brillante. Vers 19 heures, une deuxième étoile traversait le ciel dans la même direction, mais en "s'accrochant" cette fois-ci à la Dent d'Oche, où elle resta plusieurs minutes avant de disparaître.
"Ces témoins insistent sur le fait que ces lumières aérienne se mouvaient beaucoup plus lentement que des étoiles filantes. On ne peut s'empêcher de rapprocher ce récit de l'affaire des soucoupes volantes, sans d'ailleurs en tirer aucune conclusion."


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Le lundi 12 mai 1951 à 16 heures, plusieurs centaines de personnes massées sur le quai de Corcelles, à Neuchâtel, ont observé la mystérieuse apparition dans le ciel, à très grande altitude, d'un objet brillant se propulsant par brusques périodes et laissant dans son sillage une traînée blanche. Le phénomène, visible à l'oeil nu, se prolongea durant un quart d'heure. Après quoi, l'engin décrivit un demi-cercle dans l'espace et se renversa, présentant aux regards la forme classique d'une soucoupe volante parfaitement ronde. Puis, en une fraction de seconde, il s'élança à la verticale dans le ciel à une vitesse prodigieuse et disparut! Parmi les centaines de témoins figurait le professeur Alfred Lombard.

 

(Jimmy Guieu, Les Soucoupes Volantes viennent d'un autre monde)


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Le 7 août 1954, vers 16 heures, l'attention de centaines de Zurichois fut attirée par un objet brillant dans le ciel, qui put être observé aux jumelles par un capitaine de l'aviation helvétique. Celui-ci rédigea un rapport à l'attention de ses supérieurs, dont voici la traduction:


"Concerne: l'observation d'un objet volant non identifié

J'estime de mon devoir de porter à votre connaissance cette observation d'un O.V.N.I.

- Date: 7 août 1954
- Lieu et heure: Zürich, 16h15
- Temps: 5/8 couvert. Plafond: 1300 m. Vent d'ouest de 60 km/h au-dessus des nuages.
- Durée de l'observation: environ une minute, avec jumelles militaires.


- Circonstances: de la fenêtre de mon appartement situé près de la place de Schaffhouse, j'observais des avions de sport qui tournaient autour de la ville. En même temps, je suivais un ballon d'enfant qui, poussé par le vent, dérivait vers l'ouest, en direction du lac, gagnant sans cesse de l'altitude jusqu'à devenir un point minuscule.


Soudain, dans la même direction que le ballon, j'aperçus un disque sombre, de la grosseur d'une pièce d'un centime, qui semblait se trouver immédiatement sous le plafond de nuages. Je crus d'abord qu'il s'agissait d'un ballon plus gros. Mais curieusement, ce disque, à la différence du ballon, n'était pas déporté par le vent.
Je me saisis aussitôt de mes nouvelles jumelles et observai ce qui suit:

 

- La forme de l'OVNI ressemblait d'une manière frappante à celle d'une soucoupe renversée. Son épaisseur était environ le sixième de son diamètre. On pouvait très nettement distinguer une large couronne ronde entourant une surface circulaire, dont le diamètre représentait environ la moitié du diamètre de l'objet. Il ne m'a pas été possible de déterminer si la surface circulaire à l'intérieur de la couronne était creuse ou non.
La couleur de la large couronne changeait constamment, passant d'une teinte argentée au rose, puis au bleu. La pureté pâle des teintes était frappante. Lorsque la teint passait au rouge, les contours de l'OVNI semblaient imprécis et incandescents. Mais ils restaient nettement délimités tant que la teinte était argentée ou bleue.
L'OVNI tanguait légèrement suivant son axe vertical, à la manière d'une toupie sur le point de s'arrêter. A des intervalles d'environ quatre secondes se dégageait derrière lui une fumée brun foncé, qui se dissolvait aussitôt dans l'air.


Après avoir observé l'OVNI pendant une minute environ, je supposai qu'il resterait quelque temps encore sur place et allai au téléphone avertir un ami. Je ne pus malheureusement pas l'atteindre. Lorsque je revins à la fenêtre, l'OVNI avait disparu. Je continuai à scruter ce secteur du ciel avec mes jumelles. Lors d'une éclaircie momentanée, je pus encore distinguer un minuscule point brillant.


Il m'est très difficile d'estimer la grandeur de l'OVNI, mais elle ne doit pas être supérieure à quinze mètres. Sur l'échelle des jumelles, il occupait quatre graduations. Compte tenu de l'angle d'observation, de 225° environ, et de l'altitude de l'ovni, le calcul permet d'aboutir au même ordre de grandeur."


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Les mercredi 18, jeudi 19 et vendredi 20 août 1954, les habitant de Coire (Grisons) purent observer, entre 18h30 et 19h30, une boule de métal brillante volant à l'horizon en direction d'Ilanz, à une altitude d'environ 3000 mètres, puis disparaissant soudain en vol vertical.


Ces constatations ont été faites par des personnes différentes et indépendantes l'une de l'autre.

Pendant la même période, cinq mystérieux engins ont été vus, volant en formation, pendant la nuit, dans l'espace aérien compris entre le Säntis et le Lac de Constance.

 

Mercredi soir, peu après 20h, un disque rouge et jaune a été observé, pendant une dizaine de minutes, au-dessus de Stein-Sackingen.

 

Samedi 21 août 1954 à l'aube, des habitant de la Hardturmstrasse, à Zürich, observèrent deux objets brillants dans le ciel, entre Dietikon et Zürich, dont l'un vint survoler le centre de la ville. Ces objets avaient l'apparence de disques brillants, de couleur rosée au centre avec des bords clairs. Ils ont été vus de 04h50 à 05h05. Ces soucoupes volantes étaient animées d'un mouvement giratoire propre. Elles disparurent ensuite en un vol rapide en direction du sud-sud-est.


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Au petit matin du 21 septembre 1954, entre 4h50 et 5h50, un Zurichois aperçoit depuis la Hardturmstrasse deux objets qui décrivent de grands cercles au-dessus de la ville. Puis l'un s'immobilise au-dessus de l'autre.


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Dans la nuit du 24 au 25 septembre 1954, entre minuit et deux heures, plusieurs personnes de Saint-Léonard (Valais) ont assisté à un phénomène remarquable. Elles ont observé haut dans le ciel un objet lumineux qui se déplaçait, allait, venait, changeant de couleurs. Il était plus gros qu'une étoile. Des automobilistes ont confirmé le récit de ces personnes.


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M. Hans Studer, d'Oberdiessbach, rapporta qu'avec beaucoup d'autres personnes, en fait des centaines de témoins, il vit un triangle blanc planer à quelque 3000 mètres au-dessus du terrain d'aviation de Berne, ce 26 mai 1956, lors d'un meeting aérien international. Entre 16h40 et 17h10, les spectateurs observèrent ce triangle, sur lequel un point noir était visible dans chaque angle. Au moyen de puissantes jumelles à prismes, on distinguait très nettement la rotation de quelque chose au centre de l'engin.


Aucun appareil des patrouilles en démonstration, qui volaient en rase-mottes, ne se risqua à l'approcher.


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Été 1957 - voir plus bas.


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Le 16 août 1958 à 17h, une douzaine de personnes sorties sur le lac Léman par un temps idéal virent descendre du ciel une lueur intense.Elles arrêtèrent leur bateau lorsqu'elle vint planer à 15 mètres environ au-dessus d'eux. Elle avait la forme d'une soucoupe de 10 mètres de diamètre avec une cabine comportant plusieurs fenêtres à sa partie supérieure. Le disque extérieur, au-dessous de la cabine, tournait. Comme il descendait vers l'eau, il se créa un courant perceptible. On ne nota aucun bruit ni occupant. Après plusieurs bonds à mi-hauteur, l'engin s'éloigna à une vitesse "incroyable".

Jacques Vallée: Chroniques des apparitions extra-terrestres


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"Alors que nous nous rendions en break au culte du soir, vendredi (29 janvier 1960), une chose oblongue, comparable à une torpille ou à un cigare gigantesque, a subitement traversé la route, à hauteur d'homme, en avant du cheval, sans que celui-ci ne s'effraie, ce qui est vraiment étrange", écrivit à sa nièce Mme Marie Morgenthaler, d'Ursenbach dans l'Emmental.

 

"L'enveloppe de cette espèce de torpille paraissait composée de bandes horizontales colorées et lumineuses", précisait-elle. "Les couleurs étaient émouvantes et jamais, jusqu'à cette apparition, je n'en avais vu de pareilles. J'ai le sentiment qu'elles ne sont pas de cette Terre. La torpille est arrivée à travers les champs: cela ressemblait à un phare de véhicule. La chose passa ensuite entre deux fermes qui bordent la route, et ce n'est qu'à l'instant où elle a débouché devant nous que nous avons vu ce que c'était. Et figure-toi que cette torpille est entrée en silence dans le flanc de la colline, de l'autre côté de la route."

 

Dans un post-scriptum, Mme Morgenthaler ajoutait:


"Nous avons vu dans le journal du lendemain qu'un objet lumineux avait été vu à la même heure, dans le ciel de Berne."

 

Les vieux du pays d'Ursenbach soutiennent qu'autrefois, les "bonshommes de feu" avaient une prédilection pour l'endroit où M. et Mme Morgenthaler ont vu cette torpille lumineuse, et que les témoins qui les y avaient vus se manifester étaient nombreux.

 

Et c'est à une lieue de là, du côté de Madiswil, qu'un phénomène singulier affectait les meules de foin d'un paysan. Sa petite fille, Mlle Minna Bühler, évoque ses souvenirs:

 

"C'était avant 1910. J'avais huit ans. Mon grand-père, agriculteur à Ursenbach, avait un pré proche du village de Madiswil, soit à près d'une heure de marche de la ferme. C'est chez mon grand-père que je passais toutes mes vacances. Or, en période de fenaison, j'avais pour tâche d'apporter le goûter aux faneurs: du tilleul, du pain et du fromage, que je transportais dans une poussette. A propos du pré de Madiswil, j'avais entendu parler de mystérieux envols de tas de foin, phénomène qui devait se produire régulièrement depuis nombre d'années. Si j'ai bonne mémoire, les tas s'envolaient d'un endroit précis, situé dans l'angle que formait la jonction de deux ruisseaux. J'arrivai donc un après-midi aux abords du pré, quand je vis mon grand-père courir vers un tas de foin.


- Retenez-le ! cria-t-il, et je le vois encore tentant de retenir avec sa fourche une masse de foin qui s'élevait dans les airs. Le foin était secoué comme si quelqu'un s'était trouvé sous le tas, cherchant à l'emporter. Le tas monta rapidement si haut que mon grand-père et ceux accourus à son aide n'arrivèrent plus à l'atteindre... Le foin s'envola par-dessus la cîme des arbres et disparut à nos yeux. Je me souviens qu'il ne fut jamais retrouvé. Pour mon grand-père, le phénomène était plus agaçant qu'impressionnant."


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Le soir du 3 août 1965, trois jeunes Biennois furent témoins du passage au-dessus de leur ville d'un étrange objet circulaire.

 

"On aurait dit une tranche d'ananas en rotation. Elle était légèrement inclinée et se déplaçait à très vive allure du nord au sud, longeant le Jura en direction du lac, à mi-hauteur de la montagne. Nous avons eu l'impression qu'elle frôlait les toits du quartier de Beaumont. Brusquement, elle a stoppé entre Bienne et Vigneules et, au même moment, elle a passé du jaune au rouge foncé. A l'arrêt, en une fraction de seconde, elle a opéré un renversement, c'est-à-dire qu'elle a pivoté de 180°, nous cachant ainsi son côté luminescent. Nous ne voyions plus que la bordure rougeâtre de l'engin, comparable au plus mince croissant de lune.


Alors, après un "démarrage" foudroyant en direction de l'est, modifiant ainsi sa route de 90°, l'objet se dissipa soudainement comme s'il venait d'éteindre ses feux. Sept à huit secondes seulement se sont écoulées entre le moment où il est apparu au-dessus des gorges du Taubenloch et celui où il disparut au-dessus du lac."

 

Deux jours plus tard, le 5 août, l'un des jeunes gens aperçut vers 22h45, deux disques ou sphères luminescentes qui traversèrent le ciel en quelques secondes d'un horizon à l'autre, du sud-ouest au nord-est.

C'est véritablement le pic d'une vague qui se concentra sur Bienne à la fin de l'été 1965, car le lendemain soir, ces mêmes jeunes gens ainsi que d'autres observateurs réunis pour parler de ces étonnantes observations, purent voir passer douze objets en formation dans le ciel nocturne. Il était minuit trente-cinq, le 7 août, quand une "escadrille" d'objets ressemblant à des boutons de nacre fila en formation de losange du nord-est au sud-ouest. Tout à coup, l'objet fermant la formation passa en tête et, mettant le cap à l'est, fut suivi par les onze autres "boutons" dans cette nouvelle direction, sans qu'aucun changement n'intervienne dans l'alignement à l'intérieur du losange. Le tout dura une dizaine de secondes.

 

Les témoins commencèrent alors à veiller systématiquement la nuit, scrutant le ciel en compagnie du journaliste qui rapporte ces événements, Gilbert Bourquin. Et le 16 août, à 22h45, leur opiniâtreté est récompensée par l'apparition d'une silhouette qui deviendra familière bien des années plus tard aux ufologues: celle d'un triangle opaque, bordé d'un trait lumineux extrêmement fin, semblable à un fil d'argent. A l'intérieur de chacun des angles scintillait un point lumineux. La grandeur du triangle était à peu près celle d'un petit avion volant à trois ou quatre cents mètres d'altitude. Venant du sud-ouest, l'objet mystérieux effectua un grand virage au-dessus de la ville avant de s'évanouir subitement.

 

Les nuits suivantes furent également fertiles en observations, sans que les témoins pussent réaliser le moindre cliché de ces phénomènes, la luminosité étant trop faible. Le radar de l'aéroport de Genève-Cointrin fut contacté, mais à 130km de distance, son champ n'était pas en mesure de détecter un objet volant au-dessous de 2700m, et rien de particulier ne fut signalé.


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Pendant qu'à Bienne, les apparitions se succédaient, à quelques dizaines de kilomètres de là, au Hartlisberg près de Thoune (canton de Berne), un homme de 60 ans, M. P.S., vécut ce 7 août 1965 une curieuse expérience:

 

"J'ai cru que c'était un cochon de lait qui tombait du ciel... Quoiqu'il en soit, la chose qui venait d'atterrir à vingt mètres devant moi, au beau milieu du chemin, en avait, dans l'apparence du moins, le contour et les proportions: environ 60 centimètres de long et à peu près 25 centimètres de haut à son point culminant. J'ai couru dans la direction de la chose bizarre, mais celle-ci s'est dégonflée comme un ballon de baudruche. Plus précisément, la chose parut disparaître dans le sol. Du reste, c'est vraisemblablement ce qui est arrivé. J'ai frotté une allumette. Je ne rêvais sûrement pas. Mais je n'ai pas trouvé la moindre trace de mon cochon de lait..."


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Après avoir assisté à la traversée du ciel biennois par une escadrille d'objets inconnus, un professeur de mathématiques à l'Ecole de Commerce, M. L. rédigea ce rapport circonstancié:

 

"- Mercredi 15 septembre 1965, aux environs de 23h51 (!), du balcon du 6e étage de l'immeuble restaurant de la Bourse, Bienne, façade nord. Observateurs: M. G.B., journaliste; M. A.J., ouvrier des Chemins de Fer Fédéraux; M. C.H., fils de restaurateur, et le soussigné.

 

Conditions météorologiques: clarté en provenance d'un quartier de lune non visible pour nous; ciel dégagé.

Durée: 3 à 6 secondes (différente selon les observateurs).

 

Observation: escadrille de 6 à 8 "appareils aériens", survolant la chaîne du Jura en droite ligne ou en une légère courbe, dans un silence absolu, à une vitesse fantastique, du sud-ouest au nord-est, soit de gauche à droite pour les observateurs, progressant de 60° d'arc en 3 à 6 secondes seulement ! Escadrille en "V", pointe en tête, dont chaque objet est composé pour l'essentiel de deux ailes, légèrement en flèche, le corps de l'engin étant apparemment très court. Tous les "appareils" sont lumineux, d'une luminosité égale; en tout cas, les ailes étaient entièrement lumineuses. C'est là, éventuellement, l'explication selon laquelle seule une partie de l'objet était visible. En conséquence, la forme de l'objet est peut-être totalement différente de ce que nous avons vu, n'ayant pu voir que la partie lumineuse..."

 

Après avoir éliminé méthodiquement tous les objets et phénomènes connus pouvant donner l'impression d'une apparition insolite, M. L. conclut qu'il pourrait s'agir soit d'armes secrètes propulsées par un dispositif silencieux (ions, protons), soit d'objets extraterrestres.


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Un collégien de Gy dans le canton de Genève, a observé le 29 mars 1967 entre 19h30 et 20h un objet elliptique de couleur jaune plutôt foncé "comme un fallot-tempête" qui se déplaçait plus lentement qu'un avion au-dessus du Jura, à une altitude estimée de 2300 à 3000 mètres, et dont le diamètre apparent était celui d'un poing. Le ciel était étoilé, et le vent nul.


"Je sortais de chez moi. J'aperçus cet engin qui se déplaçait vers le nord-ouest.Une fois qu'il est arrivé au- dessus du Jura, il s'immobilisa 3 ou 4 secondes, puis il est parti en direction de Genève pendant 15 secondes; il a fait marche arrière, il s'est arrêté au même endroit que la première fois; il a continué sa route dans la direction opposée à Genève, puis il est revenu à son point de d'arrêt. Ensuite, il est revenu vers le sud-est pendant 15 secondes, puis il est reparti vers le Jura derrière lequel il a disparu. L'objet semblait tourner sur lui-même. Il avait une petite échancrure de chaque côté (au-dessus et au-dessous)."   

 

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1817 Brent - Montreux

 

Dans la nuit du 17 au 18 juillet 1967 ce vaisseau spatial a survolé toute l'Europe et a été signalé partout. Ayant travaillé fort tard comme d'habitude, je promenais le chien vers 1h du matin ou un peu plus.


Je vis alors dans le lointain ce qui je pris d'abord comme une comète, puis l'objet poursuivant son vol en ligne droite se rapprocha. Subitement il pivota à angle droit et vint sur moi, passant le toit, en ralentissant beaucoup sa vitesse, ce qui me donna le temps de bien l'observer.


L'effet était féerique, car du corps central se dégageait comme un feu d'artifice de flammèches rouges, blanches, vertes et orangées. Une queue d'une luminosité semblable à celle d'une comète baignait le tout et formait une immense traîne.


A l'avant, une boule d'une luminosité intense, mais qui faisait corps avec l'objet, comme son phare pourrait-on dire. Cette boule était précédée d'une antenne avec au bout une petite lumière blanc verdâtre. Peu de gens l'ont remarquée, ne prenant garde qu'à la boule éclatante et énorme.


Des personnes ont dit qu'il y avait un éclairage à feux clignotants, elles ont mal vu, les lumières étaient celles des hublots à feux fixes.


Après avoir passé sur le toit et la cour, ceci très lentement, l'objet reprit de la hauteur et s'éloigna rapidement en direction des Rochers-de-Naye. Il progressait sans bruit, et ce silence et cet étincellement lui donnaient un aspect fantastique.


(Observation de Mlle L. Mercier)

 

N.D.L.R. - La diffusion des informations est la seule manière de fournir des éléments à leur étude. Cette observation constitue une pièce de plus à apporter à un dossier déjà lourd. Le témoin dit que l'objet a pivoté à angle droit ce qui constitue un fait remarquable s'il est bien exact. La direction de la trajectoire est environ de 299° (NO) à 119° (SE) et s'inscrit dans la trajectoire générale de phénomène de l'époque.
LDLN - Contact lecteurs cinquième série N°5 - janvier 1973


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Peu après minuit, dans la nuit du mardi 10 au mercredi 11 octobre 1967, alors qu'il contemplait le ciel en savourant une dernière pipe, M. Othmar Willi, 37 ans, célibataire, d'Oberehrendingen, dans le canton d'Argovie, a vu trois objets de forme cylindrique (dans une position verticale), surmontés d'un petit cône, descendre du ciel et venir stationner à une cinquantaine de mètres de sa maison, à cinq mètres environ au-dessus d'un champ de maïs. Les cylindres étaient hauts de 10 mètres et avaient un diamètre de quelque cinq mètres, estime M. Willi.
"Les trois cylindres tournaient lentement, car je voyais défiler les petites fenêtres carrées illuminées. Il y en avait deux rangées dans la moitié supérieure des engins. Les petites fenêtres brillaient d'une lumière que je ne suis pas en mesure de définir, car je n'ai jamais rien vu de semblable. Et il y avait ceci encore: les cylindres émettaient un son étrange, pas désagréable, et qu'on pourrait comparer au ronronnement d'un essaim d'abeilles..."

 

"Tout à coup une trappe s'ouvrit sous l'un des engins, raconte M. Willi, et je vis apparaître une corde au bout de laquelle était suspendu un récipient de forme ovoïde. Le récipient - car je suppose qu'il s'agissait d'un récipient - s'arrêta au niveau des épis du champ de maïs. A cet instant, il fut entouré de lumière et, chose curieuse, cette lumière qui, logiquemnent, aurait dû se propager au sol, n'éclaira que le récipient. Tout cela ne dura qu'une minute environ. Le récipient fut remonté à bord et les trois cylindres démarrèrent brusquement et s'éloignèrent à une vitesse folle... Je me suis tâté... Non! je ne rêvais pas. Au contraire, j'ai eu quelque peine à m'endormir."

M. Willi, ouvrier dans une grande entreprise de la région, ne put aller inspecter le champ de maïs avant que ce dernier ne fût fauché, trois jours plus tard.


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1967 - 1968

 

Lu sur La Tribune de Genève du 29 décembre 71:

 

Le radar de Cointrin (aéroport de Genève) déctecte des OVNI.

 

...Nous avons fait une enquête (à propos des météorites) au Centre de contrôle régional de Cointrin où M. W. Maeder nous a dit:


"Non, on ne les détecte pas sur les écrans. Elles ne renvoient pas les échos du radar".

Mystère à 18.000 mètres.

 

Mais on nous apprit que le contrôle radar régional qui "balaie" la région selon un rayon de 150km environ (de Turin à Dijon) a détecté de curieux objets non indentifiés.


M. Jules Laurent, contrôleur radar de profession, et qui fut chef de contrôle pendant dix ans, nous a raconté quelques souvenirs qui vont faire rêver les amateurs de soucoupes volantes.


M. Laurent se garde bien d'employer l'expression. En technicien et observateur, il se contente d'appeler cela des OVNI. Il y a tout de même un mystère à 18.000m d'altitude.


"Les observations remontent à trois ou quatre ans, dit-il, lorsque nous avions encore le radar primaire qui envoyait une onde, laquelle était répercutée par n'importe quel objet volant. Aujourd'hui, avec le radar plus perfectionné, nous ne recevons l'écho que de la part d'avions équipés d'un répondeur sur code. Donc on ne sait plus si les phénomènes se produisent toujours.


J'ai vu à plusieurs reprises - et je n'étais pas le seul témoin - des passages d'objets volants qui nous ont surpris d'abord par leur vitesse et leur cap. Nous avons fait les calculs. On s'est alors aperçu que ces objets volaient à Mach 5 ou Mach 10, c'est-à-dire à des vitesses qu'aucun avion n'atteint actuellement. La rapidité avec laquelle ces objets traversaient l'écran radar ne laissait aucun doute: il ne s'agissait pas d'avions. De plus, ils venaient de O-N-O et se dirigeaient toujours vers E-S-E...".

 

Des explications:


...Selon M. Maeder, il s'agirait de phénomènes techniques à l'intérieur du radar même. Mais tout le monde n'est pas de cet avis.


Selon les rationalistes il s'agit de morceaux de fusées qui, peu à peu, perdent de l'altitude, sont détectés lors de leur passage à basse altitude avant d'être désintégrés...

 

N.D.L.R. - Les explications sont "rationnelles". A priori les SV n'existant pas, ce ne peut être qu'autre chose. Chi lo sa? dirait-on à Turin. Il est certain que la direction privilégiée indiquée n'infirme pas l'hypothèse du morceau de fusée. Mais il suffirait de quelques morceaux non conformistes qui auraient circulé d'E et O pour que l'hypothèse n'ait plus aucune valeur. Gageons qu'une autre explication "rationnelle" serait fournie.

LDLN N°125 - Mai 1973


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Au mois d'avril 1968, M. Gilbert Bourquin, journaliste à Bienne (et auteur du livre L'invisible nous fait signe), a observé vers 20h30 d'abord, 2 objets se déplaçant en direction de Bâle, puis un moment plus tard, 7 à 8 objets suivant les premiers. Une demi-heure plus tard, 2 objets revenaient en sens inverse. Ces objets étaient très haut dans le ciel, lumineux. Avec M. Bourquin se trouvait un pilote militaire qui a déclaré n'avoir jamais rien vu de semblable.

 

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La Feuille d'avis de Neuchâtel du 11 mai 1968:

 

Un lecteur habitant le Pertuis du Sault, aperçut cette nuit vers 23h une importante lueur céleste qui avait la forme d'un oeuf. Elle était suivie par une plus petite. Toutes deux se sont transformées insensiblement en un long cigare de forme ellipsoïdale. Cette apparition suivait une trajectoire Ouest-Nord.


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Villaz-la-Sage - 26-9-68

 

J'ai vu les mélèzes se coucher sous le vent, nous dit Mme Gaspoz, mais j'étais surprise de ne rien ressentir moi-même. J'ai entendu à ce moment un grand bruit rappelant une fusée de feu d'artifice en plus fort. Levant la tête j'aperçu un objet de forme ovale, à deux cent mètres environ dont un tiers était phosphorescent. Il pouvait avoir 20 mètres de diamètre , et montait verticalement à grande vitesse. A la hauteur du Sassemaire, il partit à l'horizontale, et disparut en quelques secondes. Prise de panique, je partis rejoindre ma fille Raymonde qui elle a seulement entendu le bruit.
Communication du GEOS Suisse

LDLN - Contact lecteurs - quatrième série - N° 3 - juillet 1971


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Un apprenti et ses parents ont rapporté avoir admiré pendant une vingtaine de secondes une boule lumineuse le 10 novembre 1968 à 20h15 à La Chaux-de-Fonds. L'objet était rouge vif au centre, et rouge très pâle dans les bords. Il se déplaçait plutôt lentement (vitesse estimée à 100 km/h), à une altitude d'environ 600 mètres, suivant une direction nord-est / sud-ouest, quand une accélération foudroyante l'a fait disparaître en une fraction de seconde ("on ne put le suivre des yeux").


Les témoins sont sûrs qu'il ne s'agissait pas d'un avion parce que la lumière (éblouissante) était trop grande (diamètre apparent: une pièce de 5Frs) et qu'il n'y avait aucun bruit de moteur.


"- Nous avons été émerveillés par cette étrange apparition. C'était vraiment quelque chose de formidable !"


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   Le 6 décembre 1968 à 15h50, trois témoins observent pendant quelques secondes dans le ciel de La Chaux-de-Fonds un objet ovoïde de couleur argentée et du diamètre apparent d'une punaise tenue à bout de bras, volant à grande vitesse de l'ouest vers le nord, puis virant au sud.

 

 

 

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Chêne-Bourg (banlieue de Genève), le 27 septembre 1969:

 

- J'ai fini mon travail dans un établissement public vers 4h20 et je raccompagnais mon frère qui habite en bordure de la route de Jussy. Tout à coup, à une distance que j'estime à trois kilomètres, nous avons vu une curieuse lumière évoluer dans le ciel. Cela ressemblait à un abat-jour, de couleur orangée, et paraissait jeter des rayons de temps à autre. Nous nous en sommes approchés à environ 1 kilomètre en roulant en direction de Jussy. L'"objet" est descendu dans notre direction. J'ai eu tellement peur que j'ai filé à toute allure avec ma voiture. Un peu plus tard, nous l'avons revu au-dessus de Bel-Air. Cela se déplaçait sans faire le moindre bruit. J'ai raccompagné mon frère à son domicile; il avait aussi peur que moi. Je suis rentré chez moi et j'ai encore regardé depuis mon balcon: la chose était toujours là, montant, descendant, se déplaçant horizontalement, à faible allure. Elle m'a finalement été masquée par un immeuble..."


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A Lausanne le 15 décembre 1970

 

Vers 8h30 le matin, rapport de M. Tyrode.

 

M. F. Mouron, monteur électricien, se trouvait à cette heure-là sur son lieu de travail, au carrefour de la rue Vinet et de la rue Valentin. Passionné de photo, il porte toujours sur lui un appareil Minolta 16 (mini format de 16mm) et il l'avait sur lui ce matin.


Il regardait côté E de la ville, les premières lueurs du jour apparaissaient et l'on devinait le soleil à l'horizon. Devant lui se profilaient les deux tours de la cathédrale et à sa droite la vue s'étendait en direction du lac Léman (au S). (A Paris le soleil se lève à 7h39 TU. Paris est à 2°20 E, Lausanne à 6°38 E, soit 4°18 plus à l'Est. Le soleil, théoriquement, se lève 18 minutes plus tôt, soit à 7h21, qui correspond à 8h21 légales. Si l'on ajoute l'effet du relief, le soleil n'avait pas encore paru, seul le ciel était éclairé).


Tout à coup quelque chose apparut dans le ciel qui retint l'attention de M. Mouron, un objet se déplaçait. Ne perdant pas un instant, il sortit son appareil photo et tout en ne cessant pas d'observer ce qui se passait il prit le plus de clichés qu'il put. Il y en eut quatre de très valables, qui son numérotés de 1 à 4 dans l'ordre des prises de vues successives.


L'objet avait une forme lenticulaire (le cliché fait apparaître plutôt une forme de losange qui ne nous étonnerait pas outre mesure), plus renflée sur le dessus. Son aspect demeura invariable durant tout le temps de l'observation, ainsi que le montre la série de clichés de l'arrivée au départ, si l'on peut dire, dans le champ de l'observation.


Il paraissait y avoir un reflet sur la partie supérieure. L'objet étant vu à contre-jour il pourrait s'agir d'une lumière ambiante propreSon parcours s'effectuait dans un silence total, bien que l'objet se situait à basse altitude et relativement proche du témoin.


La taille apparente semble considérable: elle est égale à la largeur de la tour en diagonale, dont nous ne connaissons pas la mesure hélas, mais qui se situe à 500m environ du témoin.


Le témoin dit que l'objet se voyait sous une taille apparente à la montre-bracelet tendue à bout de bras, soit 25mm à 0,60m. Mais ce n'est pas effectivement une mesure mais une approximation. A 1m l'objet se présentait selon une tangente de 41,7mm, à 500m il aurait mesuré 20m. La dimension exacte de la tour aurait permis une appréciation de la distance de l'objet, basée sur l'approximation de l'angle par le témoin, en l'absence de cette mesure on ne peut que conjecturer qu'il se trouvait assez proche, disons à environ 500m.


L'objet apparut à gauche de la cathédrale, se rapprocha du témoin jusqu'à dépasser l'aplomb de la tour, puis s'éloigna. La trajectoire jusqu'à la tour est à peu près horizontale, peut-être un peu descendante, et franchement montante par la suite. Le premier trajet s'effectua assez lentement sur un plan presque perpendiculaire au champ de vision passant par la cathédrale, puis l'objet amorça un virage brusque en partant dans une direction perpendiculaire à la première, accélérant sa vitesse, s'élevant très sensiblement, disparaissant très rapidement dans le ciel.


La durée totale de la visibilité fut de l'ordre de 15 à 20 secondes.


Ce fut une chance inouïe d'avoir pu réaliser cette série de clichés dans un temps aussi bref, avec cette présence d'esprit. Toutes nos félicitations à M. Mouron.



Cliquez pour agrandir

 

Analyse des photos

 

Les négatifs de ces photos ont été très agrandis pour avoir une image valable de l'objet. Ils ont été examinés et étudiés par un photographe spécialisé à Lausanne, qui a délivré le certificat suivant:

Certificat d'authenticité. - "L'analyse des photos de l'objet observé le 15 décembre 1970, au-dessus de la cathédrale de Lausanne, ne révèle aucun défaut ni trucage du négatif".


Expertise conduite par M. Claude Ratton, photographe professionnel à Lausanne.


Lausanne le 3 mars 1972.

 

M. Mouron explique les raisons pour lesquelles il s'est écoulé autant de temps entre le développement des clichés et l'analyse des négatifs. Ayant parlé de ces photos à diverses personnes, celles-ci, unanimement, lui ayant ri au nez, il a conservé pour lui seul ces clichés et ne les a montrés que lorsqu'il a rencontré quelqu'un qui le prenne au sérieux. Ce fut le Groupement Vaudois d'Astronautique qui le premier s'intéressa à ces photos. M. Mouron me remit alors les doubles de toutes les pièces en accord avec ce groupement.
La publication de cette information est faite avec l'accord du Groupement Vaudois d'Astronautique.
LDLN - Contact lecteurs cinquième série N°4 - novembre 1972


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Dans la nuit du 11 au 12 février 1971, le ciel était clair au-dessus du Valais, et plusieurs personnes observèrent, de Thyon et de Verbier, un objet plus grand et plus brillant qu'une étoile, de forme ovale, se déplaçant dans le ciel, et restant par moments complètement immobile. A Verbier, des gens sortirent des établissements publics pour voir l'engin.


- Je ne crois pas que ce soit un météore, déclara un pilote qui observa le phénomène longuement à la lunette. En effet, son immobilité complète m'étonna. L'engin envoyait par instants de tous côtés des feux de toutes les couleurs. Soudain il se remit en mouvement et disparut dans la nuit."


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Un étonnant phénomène apparut le soir du 9 août 1971 au-dessus du Jura, qui fut visible aussi bien de La Côte que de Genève, et semblait se situer à peu près au-dessus de la Dôle.


Selon les observateurs, le phénomène se présentait sous la forme d'une série de points lumineux multicolores, dont l'intensité croissait et décroissait à intervalles réguliers. Un habitant de Nyon affirma avoir vu cette apparition insolite à cinq reprises, entre 21h30 et 22h10. Un observateur du service météorologique de l'aéroport de Cointrin confirma avoir également vu quelque chose qui, de toute évidence, ne semblait pas être un avion.


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Pratteln Le 30 novembre 1971 de 21h30 à 21h55.

 


J'ai observé durant 25 minutes une boule rouge aussi brillante qu'une étoile normale, aussi grosse qu'une pièce de un centime française. Elle est d'abord restée stationnaire, puis elle m'a donné l'impression de s'éloigner et s'éteindre complètement. Du lieu où j'observais la boule à son emplacement il y a 2km. Elle se trouvait au-dessus de la colline marquée d'une flèche sur le croquis.



15/11/2007
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